Prologue : Un destin souillé

Le nord du pays d'Elfaime est un désertique territoire glacé, où la neige et le blizzard font la loi. Un petit village des elfes noirs y a tout de même été érigé, où les survivants de cette race menacée vivent dans l'acalmie et le tourment. Et c'est couché sur la pallissade de ce village que vous vous éveillé, un matin où une petite neige douce tombe. Vos vêtements sont sales, mais vous avez eu la chance de tomber sur un épicier peu prudent la veille au soir, et vous vous êtes régalé. Deux rats se chicanait un morceau de fromage à vos pieds, avant de s'enfuir derrière une maison. Vous vous levez, vous étirez, mais êtes surpris par des gouttes de sang qui luisait à travers la neige blanche. Vous êtes sûr qu'elles n'étaient pas là la veille, car elles sont pourpre, et de toutes façons, vous ne vous souvenez pas avoir vu du sang la veille. Non seulement que celui-ci n'est pas sec.
Vous vous levez donc, ramassez vos affaires, pour remarquer que le sang tourne au coin de la ruelle pour continuer dans la grande allée. C'est avec étonnement que vous contemplez cette étrange scène.

Je me dirige vers la grande allé et je jette un regard furtif sur elle afin ditentifier soit la menace soit la victime.

Étant en hiver, l'éclairage est plutôt sombre, et les villageois sont plus tapis dans leurs médiocres habitations. Mais, il y a tout de même une certaine activité. Personne ne vous prête attention, et du même coup, personne ne semble être blessé. Au contraire, les traces de sang continuent jusqu'à la porte du deuxième bâtiment à votre droite, qui se trouve à être l'auberge. Les traces de sang se dirigent vers l'intérieur, par la porte d'entrée.

je me dirige vers la et jouvre la porte discretement.Si elle est véroullier je la défonce avec un bon coup de pied.

Elle n'est pas vérouillée, l'auberge est ouverte, et même qu'il y a plusieurs personnes qui parlent ici et là sur des tables de diverses sujets. L'aubergiste vous voit et vous souhaite la bienvenue. À première vue, il ne semble pas y avoir de blessé, et surtout, il n'y a pas de sang dans l'auberge. Les traces s'arrêtent à la porte d'entrée.

je me dirige vers laubergiste et je lui demande se qui c,est passé tout en regardant s'il a l'air de me mentir.

-S'est passé? De quoi me parlez-vous jeune voyageur?: vous répondit-il, l'air plutôt préoccupé et troublé.
Il vient pour ajouter quelque chose, mais un hurlement se fait entendre du fond de la salle. Toutes les conversations s'arrêtèrent d'un coup, pour vous laisser voir un homme, un homme du Nord, un des alliés de votre race, entrain de battre une femme elfe noire, habillée simplement d'une petite robe de tissu. L'homme du Nord, quant à lui, est certi d'au moins deux colliers de perles, et d'une boucle d'oreille en or.
Il ramassa la femme étendu par terre pour la frapper contre le mur. L'aubergiste se précipita alors vers eux, pour arrêter ça, mais il se fait arrêter par deux autres hommes du Nord, qui l'immobilisent.

sans aucune ésitasion je tire une fleche dans le dos de l'homme du nord qui est en train de batre la femme et je rebande aussitot mon arc pour le pointer sur un des deux autre homme.

La flèche va se planter dans le mur, juste au-dessus de l'épaule de l'homme du Nord. Par contre, celui-ci lâcha la femme, la jetant par terre, et s'avança vers vous, faisant entendre sa grave voix:
-Dis-moi, le nabot. Tu es un de ses pauvres fouilleurs de poubelles qui font en sorte que notre monde est souillé d'une tache sombre. Viens ici que je te donne une râclée.
Les deux accolytes lâchèrent l'aubergiste, qui tomba par terre, mais le riche les arrêta:
-Laissez-le moi. Un voleur de grain en moins, ce ne sera pas de trop, et je suis tanné de tenir cette province de l'Est. Le sang me manque. Je crois que je vais me régaler du tien.
Il sortit d'en dessous de sa cape un marteau, assez rudimentaire, mais qui pouvait faire des dommages.

parfait j'accepte ton combat (meme si jai po le choix ) mais je te turai alors FAIT TA PRIERE MON GARS et je decoche ma fleche en plein dans son ventre. ensuite je me dirige vers la porte en courant et je cour une courte distance dans la rue avant de rebander mon arc et de le pointer vers la porte.

Votre vitesse est l'élément qui l'a complètement destabilisé. Même les personnes qui assistaient à la scène n'en revenait pas de leurs yeux (et ils en avaient vu d'autres). Vous prirent la flèche de votre carquois, et la seconde après, elle était dans le rein droit de l'homme du Nord, le traversant de part en part. La femme était illuminée, et l'aubergiste complètement estomaqué. Tout comme l'un des hommes du Nord. Par contre, pendant que leur chef agonisait, s'enlevant la flèche du corps, l'autre acolyte vint sur vous, avec un couteau.

Je cour vers la porte et je sors en courant .ensuite je me retoune et je bande mon arc en direction de la porte.

Votre sortie se fait sans problèmes. La neige dehors ne vous brouille pas la vue, et vous vous retournez en un clin d'oeil. Le haillon de la porte reste quelques secondes vides, avant que les trois hommes du Nord, en même temps, en sorte et vous charge dessus, ayant, vous, l'arc toujours bandé.

je tire sur un des acolite avant en pleine tete avant de disparaitre dans une ruelle.Rendu au bout de la ruelle je me retourne larc bandé et s'y je les apercois je tue le premier de la ligne.

Ta flèche touche l'acolyte, mais dans l'épaule. Le sang coule à gros bouillons, mais celui-ci continue sans arrêt d'avancer. Les Hommes du royaume de la Brume sont réputé pour leur incroyable endurance. Vous partez dans la ruelle, et bandez l'arc. Les deux hommes qui vous suivent, essouflés, à bout de jambes, et complètement dépassés par votre vitesse, tout comme par votre rapidité de réaction apparaissent du coin de la ruelle. Votre flèche part et siffle jusque dans le torse d'un desa accolyte. Le coeur est touché, et celui-ci s'écroule, mort (28xp). Le riche homme s'arrête, paralysé par la peur.

je l'acheve sans hésitation tout en bandant mon arc sur l'autre en lui disant :Fait ta priere mon gars!et je lui tire une fleche.

Ses yeux se remplissent d'une peur sans nom. Il voit sa dernière heure arrivée. Le mouvement de votre main se saisissant de la flèche, qui lui avait paru si rapide l'instant d'avant, était devenu très lent, mais il n'avait aucun moyen de réagir. Sa vie défilait devant lui, et vous lâchîtes la corde de l'arc, laissant la flèche s'incruster dans le corps du riche seigneur, créant une deuxième ouverture béante dans son corps. Le choc le fit s'agenouiller, et il vous regarda longuement. Son corps tomba sur la droite, et s'affaissa. (30 exp.)
La ruelle semble à nouveau silencieuse, mais à peine ayez-vous fini de reprendre votre souffle que vous receviez un coup de pied derrière la tête (-3 pts) qui vous envoya tomber deux mètres en avant de vous. Le troisième acolyte, toujours vivant, vous avait attaqué par derrière.

je me releve aussitot avec la plus grande vitesse dont je suis capable et je me retourne linstant dapres et je lui lance un bon coup de poing dans le ventre afin quil manque dair pendant quelques seconde.

Vous rampez vers l'avant à une vitesse ahurissante, avant de vous relevez aussi aisément, de fait de vous retrouver face à face avec votre assaillant. Vous préparez un coup de poing bien visé dans l'estomac pour y couper le souffle, mais au lieu d'atteindre sa poitrine, c'est dans la puissante paume de sa main qu'atterit votre coup. Votre force, en temps qu'elfe noir, a ses limites, et celle des Hommes du NOrd est grandement supérieure à la votre. Celui-ci referme son poing, et vous projette dans l'autre sens, où vous atterissez dans les poubelles. (-3 pts) Dans un grand rire, il dit:
-Comme c'est interessant. Le faut-rien va mourir dans sa propre maison. HAHAHAHAHA!!!
Ceci dit, il sortit d'un fourreau un grand couteau affûté.

j'escalade la ruelle c'est a dire une maisoné a proximiter de ou je suis je monte sur un toit.si je ne peux pas grimper j'évite son coup avant de sortir de la poubelle en lui donnant un coup de pied join.

Dans le mur juste à côté de vous, vous remarquez de nombreuses briques mals mises les unes sur les autres qui pourraient faire de très bon escaliers. Sans tarder, vous sautez, 1, 2, 3, 4, et vous arrivez sur le toit. Encore une fois, votre rapidité destabilisa votre adversaire, qui, pendant quelques temps, ne savait pas où regarder.

je bande ma fleche dans sa direction et je lui tire dessu .si je voit quil évite ma fleche ou que je le manque je lui dit amene toi espece de poule moullier .

La flèche lui prend l'épaule alors qu'il venait à peine de retracer votre position. Il poussa un long grognement effrainé, et retira vivement la flèche roujoyante de sang de sa peau. Des gouttes, comme celles que vous aviez vu dans votre petite ruelle le matin même, tombe maintenant sur la terre battue, recouverte d'un lit blanc. Il monta vivement son couteau vers vous, et vous pointe d'une haine féroce:
-Ton nom sera souillé! ELFE! Ta famille sera maudite, et ta descendance sera stérile. Le mauvais sort te suivra dans toutes tes entreprises, et l'on te reniera comme la peste. Sois maudit, pour avoir détruit pour toujours, le fragile traité qui règnait entre les elfes et notre sage race! SOIS MAUDIT!!!
Sur ce, et avec tout le courage qu'il put rassembler, il se transperça le coeur, en guise de preuve à la véracité de sa malédiction. Il s'agenouilla lourdement, avant de tomber, mort sur le côté. (14 exp.)* Sur le toit de la maissonnée, vous apercevez une petite foule, dont l'aubergiste et la femme battue, se dirigeant vers vous.



*Lorsque vous participez à un combat, et que vous affaiblissez considérablement un ennemi, mais que vous ne le tuez pas, et que c'est une autre personne qui le fait, vous vous ramassez le nombre de points d'expérience égal au quotient du nombre de personne y ayant touché divisé par le nombre d'expérience original.*

Je me dirige vers la foule et du haut de mon toit je leur cris:LES HOMME DU NORD NE NOUS RESPECTAIS PAS ET NOUS NE POUVIONS CONTINUIER COMME SA CEST POURQUOI LE TRAITER ENTRE NOS DEUX PEUPLE EST BRISER NOUS DEVONS DES MAINTENANT FORMÉ UN GROUPE DE COMBATANTS ,ET CE GROUPE AURA POUR MISSION DAGIR DANS LOBSCURITER ET DE TUÉ LE PLUS DHOMME DU NORD POSSIBLE SANS QUE CEUX SI NE SOIT ALLERTER A MORT LES HOMME DU NORD!!! qui est volontaire ?vous dever etre asser furtif pour ne pas vous faire remarquer et ceux qui veulent nous aider mais qui ne peuvent se battre vous pouver nous aider financierement.

La foule, qui grossissait à chaque secondes, vous acclama fortement. Les gardiens, et même le seigneur du petit village, vinrent acclamer votre courage et votre intrépidité. Vous descendites du toit, et à peine aviez-vous posé le pied par terre que la femme elfe noire que vous aviez sauvée venait vous embrasser, en vous acclamant, mon héros, mon sauveur. De nombreux villageois furent volontaires, et quelques-uns présentaient de l'argent pour le projet. L'aubergiste vint aussi vers vous. Il s'approcha, et vous chuchota:
-Je sais ce que vous cherchiez dans l'auberge. Les gouttes de sang que j'ai nettoyé. Et bien, c'est un voyageur, un rôdeur, plus précisément. Un homme de l'instar. Il est passé ici car il était blessé. Nous sommes toujours galants avec les hommes de l'instar, et donc je l'ai guéri, et il est reparti. En partant, il m'a dit qu'il devait trouver un compagnon. Un elfe, ou un homme, capable de le guider et de l'accompagner. Et si j'en trouvais, je devais lui envoyer au Nord, dans une grande caverne, tout au fond. Il dit que seul le vrai compagnon d'on il a besoin sera capable de le trouver. Mais pour l'instant, vous semblez occupé à vous défendre contre les hommes du Nord. Je veux juste que vous fassiez attention. Ce n'était pas les seuls hommes du Nord dans mon auberge. Il y en avait deux autres, qui servaient de messager. Quand il ont vu leur seigneur se faire tuer, ils ont mis les voiles pour le royaume de la Brume. Faites attention. Peu importe, vous êtes notre héros aujourd'hui. Vous nous avez sauvez. Je vous sers à boire et à manger, ainsi qu'une chambre gratuitement ce soir. (80 exp.)*
La femme repartit.


*Expérience d'accomplissement et de quête