Prologue : L'instance de la survie

Le Royaume des Bois Argentés est principalement constitué de grandes forêts de feuillus, claires et luxuriantes, et non-sombres comme au Nord, chez les elfes noirs. Les feuilles laissent passer un filet de lumière éblouissant rendant les bois très agréables. L'agriculture, étant peu pratiqué chez les elfes sylvains, fait en sorte que la forêt n'a pas été défriché, et même, que le territoire n'a presque pas été peuplé, sauf sur le bord des cours d'eau. L'ouest du royaume est collé sur l'Instar, avec lesquelles les elfes ont de très bonnes relations.
C'est donc non loin du village le plus à l'ouest, dont vous êtes originaires, que vous finissez de vous entraîner sur un manequin de bois, assez loin dans la forêt, à environ un mille à l'Est du village. Vous finissez d'essuyer vos gouttes de sueurs, lorsque derrière vous, les feuilles craques, malgré que le son semble venir d'une agréable distance.

Je me retourne avec un air intrigué. Je brandis mon arm devant moi en position de defence, j'avançe lentemment vers d'ou le son viens

Après quelques instants, vos fines oreilles réussissent à déduire que c'est quelqu'un, seul, qui court en votre direction, les feuilles craquant sous ses pieds, se raprochant de plus en plus rapidement.

Je reculs a une distance du bruit, toujours en position defence, j'attend que le denommé se pointe

Vous attendez quelques instans, prêt à toutes éventualités. Les pas se rapprochent de plus en plus. C'est alors que de derrière les buissons sort un elfe sylvain en pauvres habits, à moitié brûlé. Ilétait en sueur, mais visiblement heureux de vous voir. Vous le reconnîtes: c'était un des esclaves de la maison de votre père. Il faisait surtout office de messager. Il vous dit brièvement:
-Je savais que je vous trouverais ici. C'est terrible. Le village a été attaqué Maître. Votre père est blessé, vous devez venir à son recours.
Il vous regarda avec pitié, attendant votre réponse.

Je baisses la tête.puis la relève.
- Oui j'y vais tout de suite, veu tu venir avec moi?
Après sa reponse j'empoignes mon sabre et je fonces vers le village.

-Vos demandes sont des ordres maître. Je vous suivrai jusque dans la mort.
Vous partez, l'esclave sur vos talons. Vous étiez au moins à une lieue du village, et même à la course, ça prendra au moins une bonne quinzaine de minutes. Vous fatiguez un peu lorsque vous arrivez en vu du village. Vous vous voyez obligez de marcher, vu la longue course que vous avez faites, mais lorsque votre maison enflammé, et votre père ensanglanté entrent dans votre champ de vision, vous semblez amenez d'une certaine poussée d'adrénaline qui vous permet de courir. Vous allez dans le village, complètement ravagé, mais votre père tousse encore du sang. Il est vivant.

-non merde...
Je cours de toute mes forces vers le village pour aller aider mon père

Vous sortez de la forêt, et arrivez à la porte de votre grande maison où se trouve votre père. Il tousse lentement du sang, et se met les bras en protection lorsqu'il vous voit arriver, pour bloquer tous les coups qu'un nouvelle assaillant pourrait lui donner.

- Père
je le prend dans mes bras pour le soutenir

Il eut un mouvement de recul, le fait d'entendre le mot ''père'' lui redonna confiance, et il écarta les bras pour voir son cher fils. Il murmura votre nom, mais l'esclave se rua derrière la maison, en hurlant:
-Attention Maître!!!
Derrière vous, un homme, qui semblait être de l'Instar, tenait fermement une dague, et vous regardait béliqueusement.

Je me retourne. Je sorts mon sabre. Je le regarde avec un regard de tueur:
- Pourquoi avoir fait ça? C'ÉTAIS QUOI VOTRE BUT ?!?!

-On a des ordres: répondit-il. Il vous assaillir les villages elfiques de l'Ouest du Royaume des Bois Argentées, et tuer tous les habitants. Je croyais que mon travail était fini, mais je peux voir qu'il reste la vermine que tu es et ton esclave.
Il ne fonça par contre pas.

-...vous êtes vraiment con, vous rompez un alliance en temp de guerre, pauvre naze...
Je fonce pour lui enfonçer mon sabre dans le haut de son épaule gauche (ou il y a la veine)

Il fut prit par surprise par votre coup, mais mis son couteau juste à temps. Il fit dévier la lame à gauche pour lui-même se tasser à droite. Pendant que vous repreniez votre équilibre, il sauta sur votre père.

Je tourne sur moi meme et lui enfonce mon pied dans les côtes pour ensuite planter mon sabre dans son torax

Il vit le coup venir, et sauta, mais perdit équilibre en réattérissant et dû reculer pour ne pas tomber.

Je fonce sur lui en fesant un enchainement de coup direct visant ses points vitaux

Il n'a pas le temps de se reprendre que votre lame lui tranche le bras qui tenait sa lame. Il hurla, en tombant sur les genoux. Votre esclave vous applaudit.

- Merci, mais nous avons pas de temps pour cela
Je le prend par le collet
- Que voulez vous a notre village, homme !

-J'ai... J'ai.... J'ai reçu des ordres... d'Araf... d'Araf... l'ombre.... l'ombre nous menace.
Il bégayait sous la douleur de son bras et votre esclave arrêta subitement d'applaudir.

J'accheve l'home et je me retourne aussitot pour voir si il c'est passer quelque chose a mon esclave et mon pere

Vous avez l'homme au coeur, qui s'écroule dans une dernière respiration. (26 exp.) Autour de vous, à l'exception de votre père, mort à présent, et de votre esclave, toujours immobile, il n'y a personne.

Je regarde mon pere avec tristesse. puis je regarde mon esclave
- on peut pas vrm y changer quelque chose on doit partir d'ici et trouver le coupable de tout cela, a présent tu n'est plus mon esclave mais mon compagnon<je pose ma main sur son epaule
- prend les armes de ce brigand moi je vais chercheer ceux de mon pere
je pars dans ma maison

-J'en serais honoré: répont-il immédiatement.
Il part prendre le couteau du brigand, alors que vous entrez dans votre belle maison. Le hall est tout détruit, les beaux meubles qui la constituait sont détruits, mais surtout, l'armoire vitrée dans laquelle les armes de votre père étaient cachés étaient toutes brisée, et il n'y avait aucune arme à l'intérieur.