Prologue : La frontière naturelle

Votre route dans les plaines du royaume de l'Instar vous a éloigné de votre sanctuaire. Vous êtes près du grand fleuve séparant le royaume de la brume de celui de l'instar, où un avant-poste de l'Instar y a été érigé pour la surveillance du fleuve. Vous vouliez descendre vers le sud, où la capitale des hommes de l'Instar se situait, mais vous êtes intrigués par les hurlements qui s'élève de l'avant-poste, ainsi que les flammes que vous voyez à l'horizon. Vous êtes environ à cent mètres au sud de celui-ci, dans la plaine déserte, à l'exception d'un loup qui hurle vers le ciel son triste cri.

Le feu avais pris mon attention depuis longtemp, le feu étais l'élement de la vie, la chaleur humaine. J'admirais les flames lorsque un cri de loup me ramena a la réalité.
- ..., sa m'a laire d'un feu d'habitation... OH MERDE

Masef pars a courir vers le feu, bien qu'il savais que il pourrais pas etre d'un grand secours

Votre course vers le feu vous mène au petit avan-poste. Les hurlements ne cessent, et les flammes grossissent. L'avant-poste est attaqué. Les quelques défenseurs de l'instar qui combattent contre les envahisseurs, qui semblent être des Hommes du Nord, voient leur nombre réduire à chaque minute. Les femmes fuient par l'entrée qui donne vers les plaines, et donc, vers vous. Le loup repartit vers la forêt à l'Est.

Je jeta un regard sur le loup, qui , furtivement, s'en alla vers l'est. Je ne peux qu'admirer cet animal qui un de mes ancêtre a nommer le loup en honneur a son nom de famille. Je ferma les yeux et tourna ma tete vers les paysanne fuiyant la ville. Je crouru vers les femmes et leur dis d'aller se cacher dans la foret a l'est avec moi.

La plupart vous ignore, continuant à s'enfuir vers le Sud. Par contre, quatre entendent votre appelle, et grâce à votre faible carrure et les trait durcis de votre visage, reconnaissent que vous appartenez à leur race. Elle se précipite vers vous, et vous suivent vers la forêt.

en voyant les femmes approcher j'étais content, enfin des gens qui écoute, je courra vers la foret en cherchant des yeux le loup qui devais, se terré quelke part dans les broussaille de la foret.

Le canin ne s'était pas enfuit à toutes pattes. Il continuait à marcher vers la forêt. Les hurlements ne semblaient pas l'énerver. Les femmes partirent à courir, mais s'arrêtèrent lorsqu'elle apercevir le loup.
-Oh non! s'écria l'une d'entre elle. Il y a un loup. Quelle soirée de calamités, comment avancerons-nous?
Une autre, un peu plus allumée, vous interpella:
-Mon sauveur, éliminez cette créature atroce. Je vous pris.

J'approche e lui tranquillement en lui montrant que je ne veu pas lattaquer, je met mon baton dans mon dos(je sais parfaitement que je esais me defendre avec mes mains donc...)
J'approche de lui pour le toucher utilisant mes connaissance pour apprivoiser u animal

Il vous ignore, continuant d'avancer vers la forêt impunémant. Les femmes, impressionnées par votre courage, vous suivent en vous lançant quelques acclamations. Vous arrivez à l'orée de la forêt, où le loup s'arrête soudainement, vous tournant la tête, montrant des crocs dégoulinants de baves.

Jai deja vue sa, c'est pas la premiere fois que un animal SAUVAGE montre ses dents.
Je me baisse pour moin imposer ma force pour montrer que je lui ve pas de mal. Je le fixe pour pas qu'il crois que je suis faible et qu'il mattaque

Pendant quelques temps, ils vous fixent dans les yeux. Son regard est plein de haine, d'une haine d'être seul, d'haïr ceux qui sont aux alentours, ceux qui ont la méprisable habitude de vous dégrader. Vous êtes comme dans une sorte de communications visuelle avec lui, lorsque vous entendez derrière vous:
-Allez-y. Mettez-lui le couteau sous la gorge!

Alors, le loup détourne son regard du vôtre, et à toutes jambes, s'élance sur l'une des femmes, qui part en hurlant.

Je me retourne et impose le respext au loup en lui assénant un coup de baton de frene sur les jambes, pour qu'il puisse plus se deplacer facilement

Votre geste passe pour lui inaperçu, et le loup sauta, pour aller accrocher sa mâchoire dans le cou de la femme qui vous avait encouragé en dernier, pendant qu'elle poussait son dernier hurlement. Les trois autres partirent dans tous les sens en hurlant. Sans s'en occuper, le loup commença à défigurer la femme, mangeant chaque parcelle de viande fraîche qu'il pouvait trouver sur ce corps. Les cris avaient cessé à l'avant-poste, mais le feu était toujours présent. Vous étiez seuls, vous et le loup.

-...
- Mais merde c'est quoi ton probleme, pourquoi tu la tuer, jaurais pu te trouver de la bouffe a place -.-

*Décourager*

Votre remarque ne l'atteind pas. Il continue à se régaler gouluement. Vous entendez le frotement de ses dents contre les os maintenant à découverts de la femme défunte.

Je penche la tete vers la droite tout en le regardant, je regarde autour de moi pour voir si quelkun a vue ensuite je sort mon baton en position combat
- Tu me laisse pas vrm le choix
J'avance lentement ver lui

(J'ai oublier de le marquer mais mon bonhomme est bipolaire, ya un coté calme et froid, et une plus a la style *naruto ou zack*

Lorsque votre voix vient lui frémir aux oreilles, le loup cesse de manger, et ne fait que vous regarder. Votre avancement ne le dérange point, et vous êtes complètement seul, ou du moins, vous ne voyez personne. C'est alors qu'un son de trompette retentit, et que le loup, alerté, partit d'un bon dans la forêt, suivant le son, qui n'arrêtait pas.

Non surpris par la trompette, je tourna pas le regard du loup, qui aussitot qu'il partit a cause de la trompette. Je courru pour le suivre

La poursuite vous envoya dans la forêt. VOus pouviez suivre aisément le loup, qui ne courrait pas exessivement vite. Il contuait, de plus en plus profondément dans la forêt, alors que les premiers rayons de soleil commençait à apparaître. Soudain, le loup arrêta, devant une clairière, juste sur les rives du grand fleuve. C'est alors que vous avez vu des dizaines de navires du NOrd qui accostaient sur la côte. Le loup s'arrêta et comtempla les grand hommes musclés descendre des navires. Il vous regarda ensuite, et son regard menaçant s'était transformé en des yeux doux, faisant presque pitié. C'est alors qu'agilement, il alla derrière un des gros arbres, et lorsqu'il revint, il était accompagné d'un louve, et de deux petits louveteaux, sachant à peine marcher. Encore une fois, il vous regarda avec ses grands yeux.

je lui fais signe si il veu me suivre, et je lui montre la foret, ou sinon je lui demande ce qu'il veu

Il reste avec les autres loups. Il protège et couvre ce qui semble être sa famille, en regardant méchament les hommes du Nord qui débarquent sur la côte. Son regard reflète la peur, mais surtout la pitié d'aide. Il semble vouloir vous dire qu'il veut que vous le protéger. Selon les légendes urbaines, les hommes du Nord sont réputés pour être des monstres envers la nature. Ils adorent faire des tapis et des couvertures avec toutes les peaux d'animaux qu'ils trouveront. Ce loup en a peut-être déjà été témoin.

Jessais de trouver un petit trous pour cacher la famille du loup, quand jai trouver un bon spot je lu montre de maider a creuser un terrier

La terre est plutôt incrutée de racines et de roches. Il y a peu d'endroits plausibles à creuser, même que vous n'en voyez aucun. C'est avec étonnement que vous et les loups entendez un bruit de corne,vers le Sud. Les louveteaux s'affolent, de même que les hommes du Nord. Ceux-ci, à peine débarqués de leurs navires, empoignent leurs multiples armes. Vu que vous en êtes originaire, vous reconnaissez aisément le cor de votre nation. Mais celui-ci venait de l'Est, et non du Sud. Ce qui signifie qu'il ne passerons pas par la forêt. Ils doivent se rendre vers l'avant-poste attaqué, et ils ne sauront rien de l'invasion qui a eu lieu ici. La louve et les louveteaux s'affolent, mais le grand mâle viens se joindre à vous. Il se frotte sur vous, avant de férocement montrer les dents aux envahisseurs.

Je sort mon baton, ferme les yeux. et me place en position combat
- c'est le temp de leur montrer a quel point ont aimes nos terres
Je regarde le loup dun regard assurer
- montre leur a quel point tu veu proteger ta famille
Jatend un signe daccord de s apart

À nouveau, au loin, résonna le cor de l'Instar, au même moment que votre loup qui poussa à son tour son hurlement terrifiant. Il sauta vers l'avant, et fut à la vue des ennemis. Le cor résonna à nouveau, et sans comprendre, sans que vous puissiez y faire quoi que ce soit, tous les hommes du Nord s'enfuirent d'un coup dans leurs navires, mais ne quittèrent pas la rive. Sur l'un deux, vous apercevirent une baliste, chargé, qui visait le loup.