Prologue : La loi du sang

L'été est à la fleur de sa saison. La chaleur de cet après-midi vient vous frapper le visage, pendant que vous arrêtez votre marche vagabonde sur la route parsemée de pissenlit qui y poussent sans raison. À votre gauche, vous voyez le grand Océan de l'Ouest, s'étendant à l'infini. Vous revenez d'un village aux bordure du fleuve faisant office de frontière entre l'Instar et les Bois Argentés. Vous vous êtes arrêté pour prendre une bouffée d'air frais venant de l'océan. Cet air salé et délicieux au nez que certains aiment tant. Mais c'est alors que de devant vous, vous entendez un henissement de cheval.

Moi je vais voir qui arrive avec son cheval mais furtivement

Vous vous cachez derrière un arbre, et vous voyez une agréable petite famille de marchands, avec leur charette, qu se rend vers l'Est.

J'vas voir les marchands amicalement et j'mapelle monsieur x

L'homme, qui semble être le père de la famille, vous regarde amicalement, et vous dit:
-Bonjour jeune voyageur. Avez-vous besoin de transport? Vous pouvez venir avec nous si vous voulez.

Oui je cherche le légendaire Ocelot. J'ai eu pour mission de le tuer

L'homme, avant gai et aimable, devint froid et distant. Il vous scruta longuement, et recula, en vous répondant:
-Je ne sais pas de quoi vous parlez. Allez vous en. Je ne veux pas que mes enfants aient affaire à voir des tueurs. Foutez le camp.
Et il continua sa route sur sa charette.

Je dis je suis le légendaire Ocelot. pis je les tues

L'homme semble alors terrifié, et vous le décapité facilement. Par contre, la charrette, ayant le contenu récouvert d'une toile, se met à bouger. D'en dessous sortent trois soldats armés.

Je me camouffle dans la nature et j'attend que tout le monde parte

Avant de me camoufler je présente mes excuses à la famille

Les trois gardes t'ont vu. Ils te foncent dessus pour t'attaquer. La famille ne veut pas de tes excuses. Les gardes sont de l'armée. Ils te recherchent pour criminalité.

J'affronte les trois gardes à l'épée. si je ne peux je m'enfuie vers la forêt et me camoufle dans celle-ci

Vous décidez de combattre les trois gardes armés. Un premier vous fonce dessus, son épée prête à s'abbattre.

J'y donne un coup de pied deins couilles pis j'l'achève

Vous réussissez à lui atteindre les parties, et il se plit sur lui-même. Alors, avec votre épée, vous le transpercez. (22 expériences) Les deux autres vous foncent dessus.

je donne un kick dans les couille de l'un mais affronte l'autre pas affaibli et ainsi de suite

Vous essayez de donner votre coup, mais l'autre l'ayant prévu, il vous arrête la jambe, la prend, et vous fait tomber. (-1 PDV) Vous êtes en mauvaise posture, par terre, à leur merci.

Je me relève et tranche la tête de l'un

Vous venez pour vous relever, mais l'un des soldats met son pied sur vous, et vous êtes bloqué au sol. L'autre vous lance une roche. (-2 PDV)
(Enlève tes points de vie dans ta feuille de personnage)

Je plante mon épée dans les couilles d'un soldat

Vous n'atteignez pas les parties, mais le tibia, ce qui est suffisant pour le faire reculer. Il gémit, pendant que son compagnon vous court dessus. VOus êtes toujours par terre.

Je me relève et prépare une contre attaque pour celui qui charche sur moi

Vous tentez de vous relevez, mais celui-ci arrive trop rapidement, et il vous fonce dessus. Vous n'avez le temps que de bloquer, alors que vous êtes à genoux. Vos deux épées s'entrechoquent.

Je lui donne un coup de pied au tibia et je l'achève.

Vous le cognez au genou, et il s'engourdit. Il lâche la force sur son épée, et avec un aller-retour de votre lame, vous le décapitez. (22 exp.) À votre grand étonnement, le chariot n'est plus là, et il reste un garde, qui s'enfuit, boitant, vers l'Ouest.