Livre I : Un même et seul ennemi

Après 72 heures de voyage et de cheval, vous, Madas et Feredar, arrivîtes aux portes Sud d'Imias, fermées par la herse et gardé par deu gardes. En route, Madas avait repris des forces, et il avait surtout changé un peu d'aspect. La vitesse de récupération de cet homme vous semblait complètement incroyable. Feredar, aux blessures mineures, avait réussi à s'en sortir bien, malgré le voyage. Quant à vous, vous êtes arrivé à la capitale en pleine forme, sans aucune égratignure. Vous voulûtes emmener Madas à l'infirmerie pour qu'il puisse récupérer complètement, mais celui-ci refusa, considérant cette journée trop importante. Effectivement, vous étiez au matin du 16 septembre, la dite date de la lettre donné à Araf par le seigneur. Vous aviez une tâche importante à faire, et vous deviez tout d'abors entrer dans la cité.

Je me dirige vers la porte et je laisse parle Feredar si le garde pose des questions.

Effectivement, le garde vous arrête, et vous demande la raison de votre venue à Imias. Feredar, comme réponse, pointe Madas:
-Mon pauvre ami a été blessé lors d'un assaut de brigand, alors que nous étions commercialement en route vers le Sud. Nous venons ici pour trouver une bonne et sécuritaire infirmerie.
Il était satisfait, et répondit simplement:
-Je vous comprends. Les brigands ne cessent de nous causer du soucis. J'ai bien hâte qu'une expédition s'en débarrasse.
Il vous ouvrit la herse.

une fois passer la muraille, je propose de se diriger vers la château pour demander audience au roi.

Madas et Feredar sont d'autant plus d'accord. Vous vous devez de vous rendre le plus rapidement possible chez le roi. Vous prenez donc la route vers l'immense bâtiment, semblable à une cathédrale, mais avec trois tours. Les grandes rues étaient peu bondés dans votre secteur, mais c'est à l'Est que le peuple s'était rassemblé pour une foire commerciale. Mais c'est alors qu'en avant de votre groupe, trois hommes, enccapuchoné et sombre, vous arrêtèrent. Celui du milieu vous dit:
-Vous n'irez pas plus loin, voyageurs. L'un de vous détient le bien de notre maître.

Je regarde Feredar avec incompréhension.

Celui-ci ne semble pas plus comprendre, mais Madas, avec ses yeux vifs et perçants, fit un tour d'horizon, et laissa ensuitson regard sur les trois hommes. Il vous adressa la parole sans toutes fois vous regarder:
-Je crois que votre lettre ne soit un bien très prisé. Les brigands ont de l'avance. Ils sont déjà dans la cité. Partez, la vie du roi est en grand danger, j'en ai peur.

Je regarde Madas pour lui indiquer que j'accpte, puiss Feredar pour l'incitewr à me suivre. Finalement, je pars dans l'autre direction, tentant de couper par une ruelle pour semer les trois brigands. Je ne cours pas, mais presse le pas.

Les brigands s'agitent lorsque vous leur tournez le dos. Mais Madas, malgré ses blessures, sauta de son cheval, et sortit une longue et fière épée. Feredar le supporta, il ne viendrait pas avec vous. En tournant le coin, vous entendîtes des entrechoquements de lame. En débouchant de la ruelle, vous arrivîtes sur une rue assez immense, mais peu bondé, qui donnait directement sur l'escalier, et donc, le palais.

Je me dirige en vitesse vers les portes. S'il y a des gardes, je leur dit que j'ai un message très urgent pour le roi et que sa vie est en danger ainsi que la mienne.

En arrivant au haut des escaliers, des gardes vous arrêtent effectivement, et vous disent :
-Le roi est déjà en audience. N'essayer d'accéler le processus. Du monde comme toi qui s'inventent des raisons pour passer les premiers, j'en ai déjà vu. Tu attendras pour ton audience comme les autres. Tu devrais passer dans quelques minutes.

Je met ma main sur la garde de mon épée.

-La vie du roi est en danger, et je ferai tout pour le protéger. Je te provoque en duel, et je provoquerai en duel tous ceux qui se mettront en travers de mon chemin.

Je le regarde d'un air de défi.

-Calmez-vous. Vous semblez très sérieux à ce que je peux voir. Peu importe, vous souffrirez des conséquences de vos actes.
Il ouvrit la porte, et vous laissa passer. Mais la consternation vous tomba comme une enclume sur le dos. Une dizaine de garde courrait vers le bustre du trône. Un homme et un loup s'y tenait, éberlués, au pied du bustre, et un autre, un couteau ensanglanté à la main, debout, fièrement sur le bustre. Finalement, il y avait un cadavre, sans tête, en haut du bustre, et une tête, avec une couronne tombée, au pied de l'homme au loup. Vous arriviez trop tard. Les bandits vous avaient devancés.

Mon sang se glaça: Je me fichait pas mal que le roi soit mort, je ne le conaissait pas. mais ça faisait partie duplan de Razan, ça ne pouvait être que mauvais. Je déguaine mon épée, et hurlant de rage, je fonce vers l'homme au couteau.

Vous parcourez la longue salle d'audience à toutes vitesses, alors que les gardes foncent déjà vers l'assassin. L'homme au loup hurle des insanités à l'assassin, et son loup court vers lui, mais l'assassin empoigne son couteau et déchire le flanc droit de l'animal, qui tombe sur le pancher. Il leva la main, alors que l'homme au loup court sur lui, et dit :
-Mes gardes, protecteurs du royaume, je vous ai libéré d'un tyran, d'un homme qui vous exploitaient. Je vous demande de rejoindre mes rangs, et d'assassiner cet homme, véritable cause de l'attentat.
Il disait ça en pointant l'homme au loup.

-C'est impossible, il n'est même pas armé, hurlai-je! Alors que cet homme tient un couteau ensanglanté à la main. Le véritable coupable, c'est toi.

Je pointe l'homme au couteau avec mon épée, le regardant avec mépris.

-Comment oses-tu affirmer libérer le peuple de la tyranie? Tu tentes d'obtenir le trône en assassinant le roi. Je vais faire couler tes entrailles sur ce tapis.

Je ponctue cette dernière phrase d'un mouvement d'épée intimidant.

Deux gardes foncent alors sur l'homme au loup, et l'assassin vous regarda avec mépris:
-Emparrez-vous de celui-là aussi. Il n'est que sombre, et dérisoir. Il doit mourrir. Il est une menace pour le royaume des hommes, il est une menace pour la prospérité de l'Instar. Tuez-le.
Trois gardes vous foncèrent dessus, alors que deux autres foncèrent sur l'assassin. Les trois autres étaient métigés.

Je me place en position de combat. Lorsque le premier gardse arrive, je fait une feinte en direction de la tête puis je frappe dans l'aine. Je tente ensuite d'esquiver les autres gardes pour me retrouver entre eux et l'assassin, et non que ce soit eux qui soient entre moi et l'assassin. Si je réussi, je cours dans sa direction pour tenter de l'éliminer avant qu'il ne fasse plus de tors.

Votre feinte fonctionne, et avec agilité, vous frappez votre adversaire, qui tombe par terre, sans toutes fois périr. Voyant le sort de leur camarade, les autres gardes ont quelques hésitations, mais l'un d'eux fut plus vif, et ne vous laissant pas passer. Il lève son imposante lance et charge sur vous. Du coin de l'oeil, vous voyez qu'il y a une grande bataille entre gardes sur le bustre royal, mais surtout, le soldat sans armes, portant son loup dans ses bras, boitant vers vous.

Je constate que lassassin est occupé avec certains gardes, il ne pourra donc s'enfuir pour l'instant. L'homme au loup semblait contre l'assassin, donc de mon côté. Je tente tout d'abord achever le garde blessé si je le peu, puis, espérantobtenir un précieux allié dans ce chaos, je tente de faire une percée en direction du maître du loup.

Vous transpercez le coeur de votre ennemi avec une facilité étonnante. (36 exp.) L'homme au loup, le transportant, arrive vers vous, sans qu'il y ait le moindre problème. Il s'en vient vers vous, et dépose son loup dans un coin, avant de vous dire:
- On doit le mettre hors d'état de nuir, sinon le cas va s'aggraver meme a l'échelle mondial Je suis prêt pour la victoire ou la défaite, je suivrai la voie de la justice meme si c'est la voie de ma mort

J'éclate de rire tout en poursuivant mon combat contre mes deux derniers ennemis.

-J'ai promis à ce salo qu'il saurait bientôt ce que ça fait d'être manger par les vers, et j'ai tendance à toujours tenir mes promesses. Je suis avec toi.

Je tente d'en finir le plus vite possible avec mes deux ennemis, pour pouvoir me charger du vrai respossable de ce chaos.

L'un d'eux fonce sur vous alors que vous vous placez.

Je souris en combattant.
- J'ai horreur du language des nobliaux. J'ai tendance à préférer ce qui est franc et direct. Au fait, je m'appelle Rey. *
J'esquive son coup d'un bond arrière puis je riposte d'un coup visant le point fatal le plus acsessible.



* Réponse au commentaire de Massef (naelynd).

Voyant le garde foncer, Masef, à une grande rapidité, vient faire trébucher avec sa propre jambe l'ennemi, qui tombe par terre lourdement. Profitant de la sortie, vous lui transpercez la poitrine, lui faisant cracher du sang. (26 expériences) L'autre arrive aussi, mais tenant deux longues épées, et semblant plus coriace.