Livre I : Un allié destabilisant

C'est après un long voyage à travers plus de la moitié du royaume de l'Instar que vous arrivez finalement à Imias, la capitale de votre royaume natale. C'est une ville gigantesque, comme jamais vous en avez vu auparavant. Juste la vu des murailles, des meurtrières et des imposantes tours vous intimides. Votre loup, ayant repris une allure fier, malgré la perte de sa famille, et votre maître que vous protégez, qui vous a dit s'appeler Gereher, n'a pas changé.
Vos multiples arrêts sans bataille vous ont permis de refaire parfaitement votre santé, et vous arrivez frais et dispo dans la ville, qui étonnament, la herse principale, la herse Est, fermé. Le garde vient à votre rencontre, armé jusqu'aux dents.

Je m'incline et laisse mon compagnon parler

Étrangement, ce fut le garde qui parla en premier, même si Gereher avait essayé de parler:
-Qu'est-ce qui vous amène dans Imias, voyageurs?
Alors, Gereher répondit:
-Je viens demander audience au roi, car je dois régler des affaires d'argents au niveau de ma seigneurie, à l'Ouest, qui ne sont toujours pas réglées et dont j'aimerais vivement me débarrasser.
-Et votre ami?
-Il m'accompagne. C'est un garde-du-corps. Avec les bandits qui courent, on n'est jamais trop prudent.
-Bien, c'est justement la raison pour laquelle les déplacements hors et dans la ville sont limités, mais vous me semblez honnêtes, mon seigneur, passez. Il prit quelques temps à ouvrir la herse, et deux hommes, de l'autre côté, se tenaient debout.

ont entr dans la ville et je suis suremment impressionné par la ville qui doit etre mafoie, gigantesque

Les deux hommes à l'entrée vous ignorent, et vous entrez dans la cité. C'est une gigantesque ville, complètement construite en pierres et en ciment, très luxueuse, avec des rues et des chemins pavés, ainsi que des dizaines de milliers de passants un peu partout, fouinant les magasins, les marchés et les boutiques. Gereher se retourne vers vous et vous dit:
-Je dois aller voir le roi. Auriez-vous le plaisir de m'accompagner? Je me ferais un honneur de vous présenter. Votre animal peut venir, bien entendu.
Curieusement, peu de personnes s'approchaient de vous. Disons que votre loup créait un certain émoi dans la cité. Mais les gardes n'en faisaient. Ils avaient déjà vu des ours et des chimères entrer dans cette ville.

- Avec plaisir
Je me retourne vers mon loup pour le rassuré pour ensuite suivre le gars.

Il semble heureux de votre décision, et se rend de ce pas vers le centre de la ville, où vous pouvez voir une énorme forterresse de pierre, avec des fortifications métalliques. Vous le suivez, passant entre les marhcands et les paysans de la ville. Vous semblez être dans la grande allée, quand soudainement, votre compagnon tourne par une petite ruelle, qui coupe directement vers la forteresse. Vous passez entre des déchets, des chats de goutières et même quelques mendiants avant de resortir de la ruelle, pour arriver juste devant la porte immense, massive, faite en métal noir. L'édifice, contrastant le blanc avec la porte, était d'une pierre blanche, complètement polie, qui donnait un aspect divin au bâtiment. Du côté d'où vous étiez, trois tourrelles immenses s'élevaient dans les airs, telles des être divins, surveillants la cité. Gereher s'arrêta vous laissant s'avourer le moment en vous disant:
-C'est une des plus beaux édifices d'Elfaime, avec le palais du roi elfe et la mine du maître duc des nains. C'est tout de même fou tout ce qu'un homme peut accomplir, n'est-ce pas?

En comtemplant l'edifice je lui dis:
- Un homme seul peu rien changer, mais cet edifice est la preuve que ensemble ont peu acomplir de grandes choses....continuons notre chemain

Vous fîtes un pas, mais votre compagnon vous interrompis:
-C'est ce qui est le plus ironique avec ce palais. C'est que chaque pierre a été assemblé et empilé par un seul homme, le roi lui-même. C'était un cadeau qu'il voulait faire à sa première femme, mais elle est morte de maladie avant qu'il ait fini, alors il décida de construire une maison divine pour sa sépulture. Il trône à cet endroit depuis 12 ans, et c'est il y a douze ans qu'il empila la dernière pierre. Selon certains, ça faisait 30 ans qu'il travaillait là-dessus. Mais chacun à son temps, et lorsque le tien est terminé, il faut qu'il passe à un autre.

-...
sans me retourner vers mon compagnon je dis
- Alors ce roi doit etre bon

-Il est très persévérant, mais surtout, il aimait beaucoup sa femme. Sa mort l'a par contre rendu plus sombre. Peu importe, allons-y.
Il monta les marches de marbre que étaient devant le palais. Les gardes vous laissèrent passer, et vous entrèrent. C'était une immense salle d'audience. Un immense hall, bien plus long (environ 80 mètres) que large (environ 15 mètres). Étrangement, aucun garde n'était à l'intérieur, et un siège solitaire était disposé à l'autre bout. Un homme était dessus, mais ses traits étaient peu distinguables vu votre éloignement. Gereher vous fit signe de le suivre.

Je laisse les evenement se derouler

Vous le suivez docilement alors qu'il marche fièrement sur le grand tapis rouge vers le monarque, froid, mais majestueux. Ses cheveux étaient cachés par une couronne d'or, certie de diamants et d'émeraudes. Son visage, rond, doux, jeune et sans rides, montrait la vigueur de sa jeunesse et de sa force physique. Les traits de son front montrait son lassement. Une grande cape pourpre, royale, le ornait, tombant très loin derrière ses talons. Ses habits de roi, grande robe rouge et pantalon orné de symboles de puissance, lui donnait des airs supérieurs. Il vous vit avancer, et se leva debout. Vous arrivez à quelques pas des grandes marches qui montent vers le trône, lorsque Gereher s'agenout pour saluer. Vous faites de même. Le roi vous fait signe de vous relever, et Gereher commence à parler :
-Bonjour, et bon matin, mon humble et puissant roi, fleur de notre royaume. Je viens demander ta grâce et ton aide dans une entreprise.
-Présente-toi: coupa le roi.
-Je suis Gereher, seigneur d'un clan, non loin de la côte. Je voudrais savoir si vous pouviez nous prêter de l'argent, car nous manquons. Je rembourserai, bien entendu, avec les intérêts indiqués.
-Le royaume manque d'argent, et je ne prête plus. Avec les problèmes des bandits qui se tracassent, je ne peux me permettre qu'il manque d'argent.
Gereher prit un sourire, qui vous semblait mauvais, mais sans haine. Il monta une marche, deux marches, et monta tout le bustre du trône pour arriver à la hauteur du roi. Ce dernier ne sembla pas offusquer, et les gardes ne bougèrent pas. Vous fûtes tout de même surpris de la témérité de votre protégé.
-Veuillez descendre, mon sujet : clama le roi.
-Un roi qui craint pour lui-même est un tyran, et donc, pas un roi. La monarchie qui vous contrôlez est trop puissante. Le royaume n'a aucune liberté, vous avez tout pris.
-Redescendez, et ne parlez pas ainsi de mon régime politique : dit fortement le roi. Je vous défends de me critiquer.
Gereher rit doucement, pendant que les gardes s'agitèrent :
-Un mort, ne peux pas... défendre.
Un instant passa. La tête du roi roulait à vos pieds.

* changement de personnalité
-...
je le regarde
- POURQUOI TU LA TUÉ C'EST QUOI TON PROBLEME !!?!?!?!?!
- tu crois que tu va ten sortir ?

Gereher tenait fermement le brillant couteau dans ses mains, et la dizaine de garde fonçaient sur vous et lui. Mais il ne s'en souciait pas. Il leva la main, et cria:
-Moi, Araf de la côte, a sauvé le royaume de la tyrannie. Je reprends le contrôle de cette nation, en l'honneur d'un peuple libre. Je reprends le contrôle d'une nation perdu, voué à un triste destin, car voyez-vous, des dizaines de milliers d'hommes du Nord déferlent depuis la frontière nordique, ravageant les villages et les cités.
Sa voix se radoucit pour vous parler :
-J'avais besoin de vous, mon ami... pour avoir un meurtrier... à ma place...lorsque tous les gardes seront morts...
Soudainement, la porte s'ouvrit, laissant voir un homme, un soldat, ainsi qu'un garde. Du coup, le soldat fonça.

- MAIS T DEBIL! RATÉ DE LA VIE C COI TON ?&%?& DE PROBLEME !!!! UN ROYAUME PAS ROI C PIRE QU'UN ROYAUME DANS LA &?%&% JE VAIS TE DEFONCER LA GEULE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
J'ordonne a mon loup d'attaquer le tueur et je fonce de toute mes forces pour lui air un coup de poing dans l'estomac pour lui couper le souffle et ses moyens

Votre loup fonce en sautant, mais Araf prend son poignard, et tranche tout le flanc droit du loup, qui le fait tomber en gémissant. Il dit:
-Mes gardes, protecteurs du royaume, je vous ai libéré d'un tyran, d'un homme qui vous exploitaient. Je vous demande de rejoindre mes rangs, et d'assassiner cet homme, véritable cause de l'attentat.
Alors, six des dix gardes s'arrêtèrent, et réfléchissèrent. Après quelques instants, deux d'entres eux fonçaient sur vous alors que vous montiez l'escalier.

Je prend mon louop et jessais de me frayer un chemain vers mon allié de derniere seconde (ben)

Araf est présentement occupé avec les gardes qui ont gardé votre cause, et par chance, ceux qui vous poursuivait on foncé sur les autres gardes, vous laissant quelques temps. Votre loup est assez lourd, mais votre force, et surtout votre liberté de mouvement vu votre absence d'arme vous permètes de le soulever aisément, et de le descendre du bustre. Le chemin vers le soldat est libre.

*changement de personnalité
Je cours vers le soldat et lui dis
- on dois le mettre hors d'état de nuire, sinon le cas av saggraver meme a l'échelle mondial
je retourne pour voir les gardes et me retourne vers le soldat en deposant mon loup dans un coin
- Je suis prêt pour la victoire ou la défaite, je suivrais la voie de la justice meme si c'est la voie de ma mort

En mode combat jattend la reponse de mon *compagnon*

Il éclate de rire, et vous réponds:
-J'ai promis à ce salo qu'il saurait bientôt ce que ça fait d'être manger par les vers, et j'ai tendance à toujours tenir mes promesses. Je suis avec toi.
Sur le coup, il se retourne vers les deux ennemis, prêt à combattre. L'un d'eux fonce sur lui.

Je souris puis je hoche la tete affirmativement
- sa laire que jaurai pas a parler le bon noble aec toi hein ?
, en voyant le garde foncer vers lui je le fais trebucher pour qu'il puissent l'achever

Voyant le garde foncer, vous, à une grande rapidité, venez faire trébucher avec votre propre jambe l'ennemi, qui tombe par terre lourdement. Profitant de la sortie, Reyand lui transperce la poitrine, lui faisant cracher du sang. (26 expériences) L'autre arrive aussi, mais tenant deux longues épées, et semblant plus coriace.

Je recul vers reiy puis je fonce vers l'Homme en fesant un feinte decoup de poing a gauche puis un puissant coup a dsroite (sur sa geule)

Rey fonce le premier pour donner un coup sur ses lames et le destabiliser. Le garde recule un peu, mais avec son épée droite, il réussit à toucher le bras de Rey, faisant une petite coupure. Votre coup de poing arrive ensuite, et votre supériorité numérique réussi à le déconcentrer, et il se mange votre poing dans la figure. Il recule, le nez cassé et sanglant, fou de rage. Rey recule par réflexe, et le garde revient vers vous, mais en même temps, vous perdez pied et vous tombez lourdement par terre. (-1 PDV)