Nostalgie

J'essais de passer ma main a travers. Si rien ne se passe , je quitte les lieu, sans mon nouveau compagnon défunt

Vous passez votre main dans un corps translucide, semblable à un hologramme, qui n'a rien de solide. Devant l'échec, vous changez de directions. Vous pouvez prendre le chemin à l'est, près du bâtiment écroulé où vous savez que vous irez vers le château, ou bien le chemin vers le Sud, se dirigeant dans un partie moins connue de vous de la ville. Ou encore vous pouvez prendre vers le Nord-Ouest, qui retourne vers la herse et l'extérieur de la ville.

Je me dirige vers le chateau, moi et oeil-de-nuit toujorus sur nos gardes

(Vraiment désolé, je t'arrête pour un jour car on a de la distortion temporel dans ce que j,avais prévu, on va attendre juste aujourd'hui pour voir si ça va reprendre sa place^^ merci kev.)

Vous partîtes doucement vers le chemin, alors que derrière vous, vous entendez un bruit de quelque chose qui s'affaisse. Vous vous retournez, pour voir Augure, tombé au sol, ses mains le retenant, cherchant sa respiration.

Je retourne a un pas de course vers lui et le souleve pour lui épargner l'effort physique

J'ouvris les yeux avec un éclat foudroyant qui pouvait à lui seul fendre un rocher en deux.

Mes pupilles changèrent de grosseur subitement , pour démontrer encore avec plus de précision l'ampleur de l'impact.

Je resta immobile , après avoir revenu de ce qui me paraissait comme un voyage instantané mais à la fois délirant...

Je constata de ce qui m,entourait à présent. Le décors , quoi que un peu chaotique et loin d'être merveilleux, semblait beaucoup plus paradisiaque que l'endroit où je me trouvait précédemment. Je trouva Masef DuLoup accourant vers moi, il semblait paniquer, paniquer de quoi....?

Je me souvain tout à coup que j'ai trépassé sous ses yeux il y a un instant. J'étais aussi en train de me dire, si je devais révéler ce que j'ai vu et ressenti dans ce 'voyage' si je peu nommer ça ainsi...

Je me découvris un mal au ventre épouvantable quand il me souleva. Bien que j'ai beaucoup d'endurance, la douleur était si intense que j'en laissa échapper un crie de douleur.

:- Ahhhh...!

Mais au moins je l'aurais rassuré, car il sait dorénavant que je suis en vie...

Mais je lui chuchota qu'il avait oublier derrière lui , mes items. Je me devais de les ravoir... Il avait quelque choses d'important....

:- Le livre....La lame....... Va les chercher, il sont... Important...Va...

Et bien que je semblait nier tout ce que l'oiseau géant m'a dit, je ne pu m'empêcher de me rappeler ses paroles et de les considérer à présent.

Je pris donc la décision d'attendre pour lui dévoiler tout ça, afin de voir si il méritait ma confiance et si s'en en valait la peine.

Je ne savais pas si j'allais m'en sortir, mais je ne pu M'empêcher aussi de reconsidérer aussi le fait de M'ôter la vie...Ça aussi j'en parlerais peut-être plus tard.......

Un destin m'attend, mais il est sombre et noir... Je ne sais presque rien, tout est si embrumé. J'en suis découragé... Je veux savoir, je veux connaître ce pourquoi j'ai été fait... Ce pourquoi je vis...

( Jai répondu à l'école finalement ^^ , See Ya ! )

(continuer, c'est a masef^^)

J'écouta les paroles de mon compagnon avec soin, malgré son espèce de resurection (ou si il avait tout simplement pas crevé) il semblait tout de même clair d'esprit et apte a prendre ses decisions.
Je le laissa donc pour ramasser son livre et la lame, je lui tendis le livre et l'amr equ'il convoitait:
- Je crois que je me suis laissé emporté tantôt...voila que je parle tout de seul! Augure je suis content que tu aille bien jai crus le pire...tout mes amis ou compagnons finissent comme ça. En tout cas

Je le saisis doucement par l'épaule et l'examina:
- Tu pense etre capable de me suivre ou tu veux que je t'aide?

(rien a dire)

je répondis avec orgueil, tout en prenant les items

:- Oui , bien sûr...Je vais bien...

je poursuivi de même

:- Mais toutefois...

je marcha lentement et assez maladroitement

:-... J'y est cru moi même , je dois dire...

Je laissa en arrière pensée le fait que je veux me tuer moi même. Mais j'éprouvi de la compassion pour cet homme qui semblait n'avoir eu d'ami qui tienne longtemps... Il vivait seul avec son compagnon(oeil de nuit), peut-être est-ce pour cela qu'il semble être si attaché à son loup... Autant que moi avec Malnoch, avant.....

Mon visage impassible, laissant entrevoir par mes yeux de la détresse. C'est le seul indice que je laissait derrière moi.. Maudit sois mes yeux.

Je dis pour briser finalement le silence

:- Moi non plus depuis ma résurrection, je n'est plus personne pour me tenir compagnie... J'ai sauvé et aidé bien des gens, mais ils m'ont tous laissé derrière moi. (allusion à Malnoch)

Il avait surement plus souffert que moi dans sa vie. Mais moi je comprenait la peur que les gens avait de lui et j'avais souffert un peu moi aussi. Ce personnage commençait à m'intriguer. Mais dans cet élan de compassion et de tristesse, il demeurait que j'avais échappé un indice précieux sur mon identité et mon histoire... Le jour où je suis revenu à la vie...

Oups....

Je continua a marcher et était alerte au cas ou augure perdrait l'équilibre. J'écouta son recit avec intrigue pendant qu'oeil-de-nuit nous devançais a l'affut de tout danger.

Mais je fut ébranlé par un truc: Sa resurection?!:
- Attend... il y a un truc que je saisis pas. Ta resurection augure? Un grand prêtre ta resucité ou... la mort ta crains ou....peu importe, si tu veux m'expliquer je serais très interessé a entendre ton recit. J'ai moi même vécu une panoplie d'aventure...pas les meilleurs d'ailleurs et une grande partie ici même dans cette citée.

Les deux hommes se parlaient tranquilement dans le matin baignant d'Imias, alors que plus loin, vers l'Est, un son tonitruant retentit. Une explosion et des débris se firent voir, et dans le ciel s'éleva un feu violet, impénétrable et profond, qu'Augure reconnu, et qui fit mettre Masef sur ses gardes de manières instinctive. D'un seul coup, la faux lévitant tomba, mais quelque chose avait changée dessus. Au bout de la tige sur laquelle Augure tennait l'arme et sur laquelle les lames étaient fixées, un éfigie de fer noir y était forgé, en forme de corbeau, les ailes ouvertes, menaçant quiconque la regardait. Les formes caractéristiques de l'oiseau n'étaient pas inconnues à Augure.

(DÉSOLÉ MON PORTABLE VA MAL.... JE VAIS ÊTRE PLUS ACIDU CETTE SEMAINE, JAVAIS DIMPORTANT EXAMEN CETTE SEMAINE)


Je resti complètement silencieux, l'arme était charmente... Je l'adorait déjà... Mais toutefois....

Mes yeux écarquillés sur l'objet légendaire que je tenait d'une façon resemblant à l'adoubement du chevalier...

Mais ce n'était pas la même chose... L'ambiance était froide, silencieuse , inquiètante... Le silence pesait lourd... Dans le champs où je profitait de ce moment de pouvoir... je me sentait sélectioné...J'étais choisi, élu. Ça ne fait aucun doute....

Je respirait à peine... On aurait dit un mort en pleine contemplation... Une contemplation qui serait éternel, perdurant ainsi au fil des siècles... Passant de l'homme la statue de minutes en minutes...Étant fixé sur le plus grand moment de sa courte vie, dans une ambiance de mort qui m'allais bien....

Jusqu'à ce rendre compte que ce silence durait longtemps et que Masef était tout aussi éberlué que moi...

Je ne pouvait définivement pas rester ainsi tout le temps... Je me devais de répondre quelque chose à ce coup de destin qui m'avait achevé...

Ma récation allait être éxageré..Mais je changis la colère que j'avais envers mon incompréhension totale, pour une réaction plus spontané...

la colère était la réaction des idiots....Je suis peut-être personne, mais je ne suis pas un idiot . Je le sais....Mais peut-être aussi que les idiots ne savent pas qui'ils le sont....

BREF ! je parli soudain...sans crie égard. Mais doucement

:- Il va falloir m'expliquer un jour......

dis-je avec un soupir tout en levant les yeux vers le ciel déglingué.

Je fini en me retournant vers Masef DuLoup , silencieux...

Je ne pouvait plus me retenir. Je lui fit une grande confidance que je penssais garder pour un avenir lointain...Mais après ce qu'il venait de se produire, j'avais tout mis de coté.

:- Masef DuLoup... je veu mourir......


Encore une fois le destin m'a malmené, au gré des vents qu'il semblait avoir choisi pour moi.....

Encore une fois les bras m'avait tombé, perdu dans mes pensées qui me mettaient en émoi.............

Encore une fois j'usi du regard des consternés, m'éloignant chaques fois de la foi.........

Je semble être finalement prie d'une soif qui ne peu s'étancher,et qui ne cessera que quand quelqu'un me montrera mon vrai chez-moi.....

Augure fit toute une scène a la suite de la faux retombé au sol. Au debut je trouvais ça plutot spectaculaire mais cela me touchais pas vraiment en moi, soudain je compris son sentiment. ce qu'il pouvait bien se passer en dedans de lui.

Quand il dis calmement de lui expliquer la situation il ne s'adressais ni a moi ni a personne, seulement au monde, seul le monde pourrais lui expliquer; ou i a-t-il seulement une explication?
Je me sentais concerné, concerné par la même incompréhension; pourquoi moi même étais'je un démon? pourquoi m'avais-t-on réservé ce sort? Moi qui avais toujours voulu du plus profond de mon âme protéger ce monde de fous avec toute la fureur et la puissance que je possédais..

Augure dis alors la phrase qu'il ne fallait pas dire, la phrase qui normalement m'aurais mis en colere intense; mais aujourd'hui le choc de la ressemblance entre moi et augure m'empêcha d'en fair autant.
Augure: :- Masef DuLoup... je veu mourir......

Je resta pantois un long moment a fixer le ciel toujours d'une couleure mauvatre. J'imaginai une scene. Une scène en noir. Une piece d'église ou augure était pendu, un grand halo de lumiere éclairais la scene et a mon entré dans la piece des corbeau croassais en dégerpissant de la scène morbide. La cloche de l'église sonnait a tout allure tandis que les yeux mort de augure me fxait d'un ton accusateur.

De retour a la réalité je me retrouvai a dévisager augure, je repris mon air normal et dis d'un ton calme:
- Peut-être...mais pas avec moi

Je souris, était peut etre le seul satisfait de ma réponse

Du ciel , on pouvait voir deux hommes isignifiants...Il était assez loin l'und el'autre sur la vallée.... Il semblait être de fier combatant aillant le coeur ,tous les deux, ouverts sur l'autre...Il mourait d'envi de se dévoiler.

De crier l'un à l'autre les impacts du passé qui les ont forgés. Il gardait une gène encore, car cela était expliqué pas le simple fait qu'il n'avait pas confiance en l'autre.

Cete émotion sur la pleine pourait inspirer quelqu'onque la regardant...

Deux hommes devnt l'incompréhension de leurs destin. Qui soutanait de précieux détails qui montraient leurs état d'affection pour l'un et l'autre.



Puis, l'homme au cheveux noirs foncé , équipé d'une faux digne des plus grands seigneurs des campagnes, s'avança en larmes vers l'autre dont le loup restait inerte , comme moi, à observer la scène.

à ma plus grande surprise , il pleurait , mais son visage n'en laissait rien paraître, on aurait ouï dire que l'homme ne savait même pas qu'il était en larme. Mais, trop d'émotion dans chaque pas que Augure fesait, laissait croire que la conscience des larmes sur sont visage.

Puis il prit l'homme au loup , consterné, dans ses bras.

Cela ressemblait de tout évidence à une caresse d'adieu, mais c'était plutôt.....

plutôt....

Une caresse de commencement..........................................................................

l'homme au loup accepta , l'homme au cheveux noir dans ces bras avec puissance. Mais l'homme au cheveux foncé semblait n'en être offusqué, de cette force contre lui.

La VRAI beauté de ce décors , digne des grand peintre de l'histoire, était que les deux hommes étaient dans ....

Dans une intensité absolu......

Ils partagaient leurs premiers moments de vrai amitié de leur vie.......................................

Pour ce qui était de l'homme au cheveux noir, il ne retenait plus ces larmes.... Elles coulairent à flots. à flots sur le visage exsangue , visage d'un homme aillant trop souffert et d'un autre homme u loup aillant trouver refuge pour sa peine , de ne pas être apprécié pas son propres peuple, la violence et la rage.

Il laissairent tomber armes, pleurs, grincement de dents..... Il était dans un beau moment.....Un très beau moment , qu'ils n'oubliraient pas tous les deux.

Mais le pire, de mon point de vue............

C'est que tous cela à comencé à la porte d'une cité.......... Voyez , comment les meilleures amitié s'embrasent.

Il`n'aura suffit donc, que d'une étncelle , por que ce feu s'emflamme de la plus vive des chaleurs.............

Une chaleur qui , pour eux, ne s'étinderaient assurément jamais....................


Comme cela est interessant............. La vie humaine.......Et ses émotions......

La ruelle ne changea guère, mais dans le ciel, on pouvait apercevoir la formation d'un nuage noir, et terrible, dans lequel grondaient de multiples décharges, de plus que l'écho d'une voix caverneuse, venant du point de l'explosion.

c'Est à toi KEvin

ok jva repondre aujourdhui

mon inspiration c la musique pis la jai pas d'ecouteur de dispo pis chu chez mon pere faque =_= c compliqé

J'accepta l'étreinte d'augure, simplement.

Je le serra contre moi mais ne pleura guère , j'étais plutot perdu dans mes sentiments, une sorte de transe, presque imbrisable, presque.

Le ciel devenait noir comme la nuit malgré le statu de ''jour'' que nous étions; de toute facon rien ne m'épatais plus depuis le temps. Je continuai a serrer augure malgré les bruits insésant d'homme et de l'explosion: Cette ville ne nous laissais meme pas entré, elle peut attendre un peu...

un peu...

Une voix caverneuse s'éleva et j'ouvris les yeux soudainement: je ne métait meme pas rendu compte qu eje les avais fermé:
- Augure...ça la peut-être rapport avec ce qui viens de t'arriver... je dis que nous y allons

Mes larmes disparurent d'un coup dans l'étrange neutralité de mon visage.

Je n'avais point honte de mon geste et de plus , Masef DuLoup l'avait accepté.

Après un bon moment , je m'écarta de lui et je me tourna vers l'avant..

Je lui répondit dans une voix sourde

:- Oui. Allons s'y..... Mais, garde ceci pour toi.

Il savait certainement de quoi je parlait , à moins d'être un vrai imbécile.



M'avança le premier vers le creux de la cité, devenu aussitôt , dans un court instant, Très sombre.

D'une noirceur qui m'enchantait déjà...... Je voulait que mon coeur s'assombrisse pour remettre du point sur ma balance intérieur en faveur de la neutralité. Vue mes actes bienfaisant , je me devait de me pencher légèrement du coté du mal.

Je ne savais pas ce que j'allais faire là dedans....Mais cela allait peut-être décevoir Masef DuLoup...

Peu importe...........................

Les deux hommes tournèrent le coin de la rue à laquelle ils étaient, et au même moment, le nuage sombre disparu d'un seul coup, comme le tumulte. En tournant la rue, les deux hommes et l'animal tombèrent sur la place publique, grand cercle vide avec une fontaine à l'éfigie du roi au centre. Des commerces habituellement très vivants délimitent le rond, et au fond le palais royal se dresse dans toute sa splendeur. Mais ce lieu urbain est maintenant le théatre d'incompréhensions, alors que les paysans la parcoure dans tous les sens, et que des soldats patrouillent et font circuler la population.

Mais à cet instant, deux gardes ont l'oeil attiré sur un loup. Ce loup qui se trouve à côté de Masef, et après un échange du regard, ils se dirigent durement vers vous. Arrivé non loin, le plus grand dit :
-Vous là! Qui vous a autorisé à amener cet animal dans la ville!?

Je marche tranquillement au côté lorsque deux gardes s'interpose devant nous. Depuis longtemp exaspéré par les évènement de la Journée, je croisa les bras et étant plus grand que ce garde je devait lui être imposant, donc je repond tout bêtement et sèchement:
- Personne ne m'a interdis d'ammener un loup dans cette ville a ce que je sache: Moi masef duloup me suis toujours promener avec mon loup en ville et jamais sa majesté ni votre chef Galahad ne s'est interposé.

Pour montré qu'il est conscient de l'enjeu de la disscussion, Oeil-de-nuit s'approche d'un pas lent mais majestueux de moi et fixe les garde d'un air neutre

Je resti en suspend , en me faisant passer pour un un simple passant derrière Msef Duloup

je fut très crédible. Et je me dirigea vers la gacuhe avec ma faux en position neutre. Mais

Ils ne savaient pas que je peux bondir ,à cette distance, sur eux si le besoin s'en fait sentir...

Mais j'évita toutefois le regard de Masef, pour qu'il évite de détruire ma couverture...SI mince soit-elle.



(OCC: DÉSOLÉ DU RETARD. JAI ÉTÉ SURCHARGÉ , Désolé encore ^^)