Nostalgie

C'est après quelques temps de marche que j'arriva devant la grande herse nord du royaume de l'instar. J'avais déja combattu un grand nombre d'ennemi ici , une grande guere.. mais c'était il y a maintenant 20 ans. J'ai vécu ici un long , très long moment ... et il y a rey que je connaissais si peu.

J'avança a la herse et cogna dessu pour que quelqu'un m'ouvre

La porte était déserte. Personne en garde à la herse, personne en garde derrière la herse, personne en garde dans les remparts. Personne. Les murs étaient simplement et complètement déserts.

- ça..c'est la chose la plus innabituelle que j,ai vue..

je tempte de trouver une entré autre que la herse mais proche

La muraille est sans faille. D'autre herses se trouvent plus loin, de chaque côté, mais sinon le mur est de béton et fait de la même manière partout. Par contre, vous entendez par derrière des bruits de sabots arrivant.

j'essais de me camoufler le plus possible avec un coin ou un mur quelquonque

L'ouverture qui donne sur une porte fermée est le seul endroit dans lequelle vous pouvez vous dissimuler, mais Oeil-de-Nuit reste très visible. Il regarde un peu autour de lui, ne sachant que faire, alors que les bruits de sabots se faisaient plus forts.

Je lui indique de se cacher lui aussi et je m'accroupis tout en regardant en direction des sabots

Oeil-de-nuit ne voit guère d'autre endroit que dans les herbes qui sont un peu plus hautes. Il va s'y tapir, et se cacher le mieux qu'il peut. Le cavalier apparait alors derrière la colline. C'est un cavalier armé d'un arc, mais qui a toute sa cuirasse avec les emblèmes de l'Instar. Il est suivit de trois hommes, et ils viennent vers la herse, tous vêtus selon l'uniforme de l'armée de l'Instar.

Je decide de libérer la herse et me tasse quand meme loin de celle ci

Votre mouvement est un peu précipité et le soldat en tête arrête son cheval durement et d'un coup en arrivant près de la herse et vous crit :
-Lâchez vos armes, au nom du roi, levez les mains!

-Je n'ai pas d'ordres à recevoir de vous. Vous avez été pris entrain d'essayer de violer les défenses de la cité pour entrer par infraction. Mettez-vous à mes pieds ou vous aurez affaire aux soldats de l'Instar.
Derrière lui, les trois hommes sortirent des arcs de leur dos, paré à prendre une flèche.

Les archers bandèrent leurs arcs, prêts à décocher n'importe quand.
-Je pense plutôt que c'est le contraire, dit le soldat, je ne répéterai pas une autre fois : rendez-vous!

-Vous l'aurez voulu.
Le premier soldat ne fit rien de lui-même, mais d'en arrière, deux des trois hommes décochèrent une flèche qui partit dans votre direction.

Je recoit les flèche dans le corp ( a toi de decider les points de vie perdu) je bouge pas et les regardes en souriant d'un air demoniaque:
- vous avez choisi le mauvais démon a tirer *petit rire profond*

J'arrache les fleches de mon corp et les relance sur eux, je pars en courrant:
- RAAAAAAAAAAAAAAAA

(wow, tu m'étonnes, tu me fais penser avec moi quand j'ai fait tué mon allié)

(-6 PDV) Les flèches vous firent ressentir une intense douleur, mais l'adrénaline de l'action fait en sorte que la douleur se fait de moins en moins sentir. Vous prirent facilement les flèches de votre corps, mais elle se cassèrent. Voyant cela, le dernier garde banda son arc. Vous lancèrent les flèches, qui tombèrent au sol, et partîtes en courant vers le premier soldat, qui déguaina son épée. Derrière, le dernier soldat lâcha sa flèche et les deux autres descendirent de leurs chevaux.

Ma tentative de les effrayer n'ayant pas marcher (on doit rencontrer sa tout les jours du monde avec des cornes qui rit quand ils recoivent des fleches XD) je tempte d ebriser l'épée de mon adversaire avec mon poing de fer ou du moin la devier et lenvoyer au tapis dun coup de point au crane

En empoignant son épée, le premier soldat est secoué et tombe sur le dos, lâchant son arme. Elle vous reste dans la main, et vous l'écrabouillez. Vous sursauté en recevant la flèche sur le poing de métal, qui rebomdit et tomba au sol. Les deux guerriers à pied arrivèrent, dans un élan incroyable de courage bien demandé, vers vous avec leurs épées bien tendues.

Je me retourne et lance le corp de leur ami decédé sur eux pour les distraire et e tempte encore une fois de leur ecraser le crane si ils tombe au sol, sinon je dévis leurs lame pour leurs casser le cou par la suite

Vous finissez carrément le soldat au sol. (+22 exp.) Les autres ralentissent, et sont presque paralysé lorsque vous leur lancé leur camarade dessus. Ils n'attaquent plus, ne bouge plus, sauf pour éviter le coup de corps du cadavre.

Je profite du moment de distraction pour dégeiner mon épée et trancher la tête d'un autre, ou de deux autres, oeil de nuit sort de nul part et tempte d'en mordre un a la gorge

Lorsque vous sortez votre épée, les soldats hurlent, avant de déguerpir. Courant de toutes leurs jambes, ils partent vers le Nord, s'éloignant de la ville.

J'essais de voir ski se passe en regardant autour de moi si quelque chose d'autres leurs avait fait peur