Nostalgie

PS ( IL YA 2 HOMMES UN LOUP ET 1 CORBEAU )


Il voyait dans mes yeux un étrange calme, il ne pouvais rien y transparaitre

Augure regarda son corbeau, et lui dit

:- Et toi qu'en pensse tu ?

l'oiseau répondit de suite encore plus bizarrement

:- CroaKKK !

je repris la parole

:- Tres bien je te suis homme du nom de Masef, ... Moi je me présente Augure , enchanté

Un rictus inquiètant apparut, c'était comme si l'homme ne savais pas sourire (Augure).

Le rictus disparut pour laisser place au visage originel de Augure, calme et plat.


:- J'emboiterais le pas........

Il chuchotta à lui meme ou a l'oiseau sombre

:-Regarde , un loup...hihi....Comme il l'air bien. Bien avec cette homme , et une fidelité si pure émane de lui......

**Rien à dire, rien ne se passe, continuez**

Je l'avais évalué longuement et m'attendais pas a ce qu'il se présente, je fit donc de même aussitot qu'il eut fini malgré l'étrangeté qu'émanait de ce personnage, et je ne fit mine de rien lorsqu'il s'adressa a son corbeau puisque je fesais de même avec mon loup:
- Masef DuLoup, j'ai peut être l'apparence d'un démon mais je suis un fier homme de l'instar et hero de l'ancien temp comme certain disent, mais ça me donne l'impression d'avoir au dessu de cent ans.Bref , continuons notre chemin vers l'intérieur

Oeil de nuit, augure et son corbeau m'enboitère le pas tandis que je pnétra dans la forteresse qui fut si longtemp ma residence. Je marchais a pas lent, j'étais loin d'être pressé lenlèvement du maire du village que j'étais il y a a peine une journée devait être mort et me dépêcher n'apporterais rien, un effet de surprise serait toujours mieu.

Je ne dis rien , absolument rien.....Pas un mot

Je compris l'hypocrésie de son geste et de sa venterie qui se gargarisait lui meme dans ses propres présentation.... Je ne l'aimais point , pour le moment cette homme me fesait l'image d'une grosse brute épaisse qui manquait de frenchise et de retenu, j'esperait pour lui qu'il aimait bien les corbeaux et les poèmes. Si non, je le tuerais .

Bien que ces penssées négatives allaient, rien ne pouvait transparaitre, encore. Voila le seul avantage d'être comme ça.



Je pris mon corbeau ,

Une vague me pris,
javais limpression de me noyer
de perdre conscience du temps pendant un bref instant
je perdit la tete
j'était fou

je dit a mon corbeau tout secoué

et bien plus fort que je l'avais imaginé

Je le nomma........

:- Malnoch !. Tu sera Malnoch. Mon fidel et sombre partenaire...... Je t'aime , Malnoch.

J'était heureux de lui avoir trouvé un nom de maniere auss intensse et incongru, mais je savais moi , que s'était un crie du coeur.¸Seulement , je parraiterais encore plus cinglé que je ne le suis déja au yeux de Masef DuLoup.....Mais j'était heureux mais encore et toujours, ....Impassible.

Je resista pas longtemp a la temptation de tourner la tête pour regarder ce que augure fesait. Je regarda derreire moi tout en avançant et le vit nommer son corbeau. Oeil de nuit ne semblant pas i pretter attention et ne semblait pas vouloir manger l'oiseau: il respectais trop l'union qui les liais , augure et le corbeau.

Je fini par stopper et me retourner pour regarder augure et son corbeau, je croisa les bras non pas mécontentemment mais seulement car je sentais mes bras Las:
- Ça fait longtemp que tu es avec ton corbeau augure? Vous semblez être lié depuis longtemp mais tu viens a peine de lui donner un nom, de plus j'ai jamais vue personne réussir a établir un lien avec une créature carnassière tel un corbeau; je respecte votre talent. Moi même aillant travaillé une grande partie de ma vie avec des animaux et étudié des manuscrit n'a jamais réussis à me fair apprécier de cette sorte d'animal

Je posa cette question d'un ton empreint de curiosité

Les deux hommes et leurs fiers compagnons sont au pied de la muraille, infranchissable à pied. Quelques mètres derrière eux, se trouve la double herse du Nord devant laquelle Masef avait attendu un bon moment. Mais durant la conversation, les deux herses commencèrent à s'élever sans raison, ouvrant ainsi la voie. Il n'y avait personne sur les enclencheurs, et les couloirs à l'intérieur de la muraille n'était pas visible pour les deux hommes.

Je ne dis rien...,je constata que jusqu'à maintenant, j'était plutôt silencieux. Jusqu'en avoir l'air rétissent... Mais ,comme toutes choses en cette terre, il y avait deux coté à la medaille. En effet, ce caractère qui devenai l'automatisme social de mes rencontres, il fesait que perdurer et entretenir le mystère qui entourait les facettes de mon personnage....

J'avais toutefois l'air d'attirer l'attention de Masef DuLoup. Étant poli, malgré cette aire moderément vaniteux, je répondis à l'homme loup

:- Je le connais depuis très peu voyez-vous... C'est pourquoi , dans cette élan de conviction qui m'est encore inconnu, je lui donna son nom. Le croyant , je l'espère, assez fidel pour ne pas me faire regretter mon attachement qui pouvait sembler dissonant,......

pause

:- Veillez serieusement escuser mon ...Mon......Mon apparence plutôt chahutante, je dois vou paraître un peu désaxé....

Mon visage eu l'air a peine penaud, mais éloquent tout de même.

Je vu la porte souverir tout seul et tout

Ma réaction fut de rendre a Malnoch sa première mission, au péril de devoir m'en détacher pour toujours, malgré ma volonté et mon amour.... Mon amour pour cette créature fascinante. Je tandit le bras vers l'avant et me dit dans ma tête se qu'il devait faire. Je lui ordonna de voler pas très loin enéclaireur et de se poser sur un mas et d'observer si un danger ou quelque chose de suspet était à l'Horizon...

Je fini, un fois le corbeau sur le début de son envolé. Je dis cela sous un air pas vraiment différent des autres, mais il avait maintenant une teinte de profondeur dans ma voix qui devain plus rauque.

:- J'ai simplement eu à me pencher sur leurs éxistances et d'y prêter une attention particulière... Ma coupe était vide, j'eu donc beaucoup plus de facilité à oublier les rumeurs et le folklore non fondé et complètement stupide qui les entouraient.........

:- Écoute.......................................En ce monde tu accordes ton attention à ce que tu veu et à qui tu le veu ! Mais souvient toi toujours que RIEN est insignifiant en ce monde, Rien.......

Je quitta mon interlocuteur d'un coup de tête non mal intentionné, mais j'attendais plutôt des nouvelles de Malnoch.

Le corbeau prit son envol au-dessus de la citée alors que la herse finissait son ouverture. L'oiseau choisit comme perchoir la pointe de l'Église qui était un des points culminants de la ville. Il revint peu de temps après, et Augure distingua dans ses traits qu'il n'avait rien vu.

Je ne m'Était pas vraiment interogé sur l'apparence de mon compagnon de l'instant, on ne juge pa ssur l'apparence ou l'habit ne fait pa sle moine a ce qu'on dit : et c'était vrai. Je n'était pas un démon j'avais seulement l'aire d'un démon, je lui fit remarquer.

augure regardais son corbeau:
- Et moi tu n'as pa eu peur de moi, même aucune reticence. Je crois que c'est plus moi qui devrait m'escuser, on a tous vécu une vie différente et la mienne était basé sur des préjugé..moi qui a toujours voulu fair de mon mieu pour le royaume On a tempté souvent de m'assassiner pour simple raison mon apparence...

J'indiqua a augure de me suivre dans la cité puisqu'il y avait rien de suspect, mais jindiqua a oeil-de-nuit de surveiller nos arriere tout de même, et de proteger Augure et son compagnon volant

Nous avancions. Malnoch et moi au coté de Masef DuLoup.

J'tait très heureux que mon corbeau sois ainsi fidel à moi , et sois attentif a l'affection que j'avais pour lui.

Si quelqu'un venait à le tuer. Je serait non seulement pris d'un rage qui dépasserait l'entonement. Mais je ferait preuve d'une laideur incroyable en masacrant l'homme en question, peu importe sa force. Ces créatures sont tout se que je sais de moi, ils sont l'héritage de ma vie précèdente. Ils ont toujours été là , à voler au dessus de moi , même depuis le jour o;u je suis revenu à la vie.

Je dis dans une idée que j'eu et que je ne trouva pas folle sur le coup, mais le problème c'est que je ne 'avais pas introduite, étant comme je suis, cela ne me surpris guère.

:- J'aurai besoin de nouveau vêtement... Ceux que je portes ont déja été usé par l'épouventail à qui je les est volées.... Ils puent aussi, horriblement

ça sonnait comme une affirmation silencieuse dansl e dos de Masef qui avançait toujours dans la cité qui était déserte jusqu'à présent.

Merci Malnoch, me dis-je finalement. Étant reconaissant , de lui et de tout ce qu'il ferait pour moi ddans un avenir rapproché............................................................

Les deux hommes continuent d'avancer dans la cité. Prenant l'artère principal, les deux hommes tombent sur Feredas, qui courent depuis une ruelle vers l'Ouest de la cité. Surpris, il dit sur un ton plus malsain, plus grave et bien moins invitant:
-Comment êtes-vous entré dans la cité? Ressorté immédiatement, nous somme occupés.

Masef pris un aire un peu plus grave et déclara:
- Si il y a quelqu'un qui peut aider dans cette cité c'est bien moi vous savez Feredas que je ferrais tout ce qui est en mon pouvoir pour protéger la ville donc cessez de me regarder de cet air mauvais. Expliquez moi, si vous avez le temps ou sinon partez je vais implement vous suivre. De plus , la porte c,ets ouverte aussitot que voua êtes partie ou presque , nous croyions que c'était vous qui ouvrait

Je resti silencieux et soudain je m'approcha de Feredas. À moin d'un mètre de lui. Je stoppa ma marche silencieuse, qui puisait être menacente en même temps. Je dis sans crie égard et avec des yeux avec un certain délire dedans, une rage qui s'appuiait sur des arguments assez fort pour me pousser à venir lui dire en pleine face. J'avais absolument pas tenu compte du commentaire de Masef DuLoup, j 'avais mon idée derrière la tête

:- Ne t'avise plus de me parler sur ce ton. Ici , c'est le foyer des hommes. Celui qui affirme être le fils de Dieu , l'homme fait à son image, à le droit de passer sans barrière. Ce n'est donc pas toi qui viendra m'interdire l'accès à ma cité.

Je regardi Masef DuLoup de suite et m'exprimma

:- Je te suivrai , si tu veu accompagner ce garde dans la cité. Mais tu devra me promettre de dépensser un peu de ton argent pour m'acheter des chaussures qui convienent et des vêtements à mon aise. Merci.....

Je me retourna vers l'homme et l'observit avec intenssité, sans encore tenir de la réaction de Masef DuLoup. Ça aurait affaibli la force de ma conviction et cette impertinance , si je m'aurais retourner, n'aurait rien donné.

Augure est soudainement secoué, impressionné, par un regard déjà vu. Un regard sombre et profond. Un regard noir, entrevoyé de fumée mauvâtre. Un regard qu'il avait déjà décapitée.... Oui, il en était sûr maintenant, c'était la deuxième fois qu'il voyait ses yeux. Du coup, Malnoch se mit à croasser férocement.

Masef vit l'étrange comportement d'Augure et de son oiseau. Oeil-de-nuit, comme en accompagnement aux croissements, se mit à grogner. Quant à Masef, Feredas lui paraissait plus sombre, plus sérieux et méconnaisable, compte paré à il y a quelques minutes...

Feredas ne bougea pas, et ajouta sur un ton impératif :
-Je vous ordonne de sortir de cette cité, de grands événements se préparent! Ce n'est pas la place de pantins tels que vous Masef.

J'était encore très proche de l'homme qui, eu comme impact physique chez moi , de me créer des yeux éxorbités...

Il eu a peine le temps de finir sa phrase. Je savais que j'allais décevoir Masef DuLoup.

:- CRÈVE !

Je trancha la tête d'un coup de sec, rempli de rage et de pulsion d'adrénaline. J'avais l'effet de surprise, il ne pouvait s'en avoir tiré......

Le corbeau s'envola dans les airs en croasant très fort. J'aodore, le meurtre.

Enfin j'avais peut-être remi la balance à neutre, dans mes actes.....

Oui, il m'avais fait forte impression. Un frisson qui parcourait l'échine dorsal. Le mouvement fut bref mais l'inspiration était là.

Je chuchota par après..:

Un coup d'éclat, l'impardonable , je lui assena.........

Une frison, de l'éxitation........

J'avais envi de sang, la beauté à l'état sanglant..........

Peu importe l'importance qu'il avait pour certain, je peu vous promettre qu'il en restera rien...................

(jveu savoir ski arrive avant de reposter, brod)

L'impact fit l'effet d'une explosion. Feredas bougea à peine lorsque Augure bougea, et lorsque la lame aurait du trancher la tête, il y eut une explosion. La faux d'Augure se perdit dans la fumée grisâtre impénétrable. Mais en quelques instants, le nuage se dissipa, et Feredas, les yeux alertes, en position de défense, tenait fermement de ses deux mains la faux par la tige, bloquant Augure à toute attaque.

Au moment ou augure frappa Feredas je ressentis une rage soudaine mais aussitot que celui ci disparu dans la fumé et revint avec la faux de mon compagnon entre les mains je compris
Ce n'était pas le vrai Feredas, il avait effectivement péris le jour ou j'étais la et témoins de son enterrement; Les yeux sombes qu'il avait et son attitude qui n'était rien de lui le prouvait. De plus sa puissance aurait du décroître avec l'âge et non s'accroître et Feredas ne possédait aucune magie , aucune.

Oeil-de-nuit grogna et se lança sur l'allié de Feredas a ses côtés en lui aggripant la gorge de ses crocs, je M'élança a mon tour vers feredas. D'un pas de sprint je partis a tout vitesse et me mis a la gauche d'augure pour frapper Feredas en plein visage de mon poing de Fer pendant qu'il tenais la faux d'augure.

(va falloir tu reponde a chaque coup brod pour dire si on touche ou pas)

:- Vate faire foutre, dis-je avec un sourire impertinent et haineux

Sans savoir que la cavalerie arrivait, j'ordonna à Malnoch de foncer sur sa figure afin de le déconcentrer, et si possible de lui arracher un oeil.

Quant à moi, je forca la faux pour qui sois forcé de la retenir à deux main, si non. Je lui enfoncerait dans le ventre.

je chuchotta face à lui...

:- Je n'en est déjà vu, des créatures comme toi....Et vous retournerez dans votre enfer avec les mystères que vous apportez. Je veu d'une vie normal.

:- Crève

je redoubla de force, esperant que la charge des 3 amis le tue. (L'ayant remarqué)

OOC : Masef, ya pas d'allié Feredas, il est seul. Je sais pas ou t'as vu un allié?

Feredas tenait fermement entre sa main la faux, malgré les pressions d'Augure, il ne lâcha pas. La force d'Augure n'était pas suffisante pour contrer celle de Feredas. Quant à Malnoch, il vint vers son ennemi, mais aussitôt, il s'arrêta, quasiment au visage de celui-ci. Masef, arrivant d'un bond, vint pour frapper Feredas, mais à son grand étonnement, alors qu'il était sur le point de lui broyer les os du crâne, sa main tomba dans le vide, traversant le corps fluide, et imprésent de Feredas. Celui-ci n'avait aucune consistance, se traversait sans problème. Masef, dans l'élan, perdit pied, et tomba en roulade, et se retrouva au sol derrière Feredas. Le soldat se mit à parler :
-Intéressant mon cher Augure. Je connais ce corbeau, il était à l'un de mes confrères qui était en mission dans le Sud. Le tuer t'as peut-être aider, mais il reste la propriété de Dieu, et nul ne peut vaincre Dieu.
Malnoch déparalysa, et redevint mobile. Il battit doucement des ailes, et vint se poser sur l'épaule de Feredas.
-Je ne pense pas que quoi que ce soit change la situation maintenant, j'ai été caché trop longtemps. Mais Masef, (il ne te regarde même pas) je sais de quoi tu es capable, et donc je sais que ta détermination peut aller loin. Je dois m'assurer que tu ne causeras aucun problème.
Brusquement, il arracha la faux des mains d'Augure, qui ne pouvait rien faire malgré toute sa détermination. Feredas la pointa vers le ciel :
-Je priverai aussi la Mort de son arme.
Et incroyablement, elle s'envola vers le ciel, et vint se mettre à planer et à faire du sur-place au-dessus de la tête de Feredas, environ 10 mètres au dessus. Celui-ci sortit une épée, non plus grise et métallique, mais bleu et d'une profondeur infinie. Il fixa ardament Augure des yeux, et il partit à la course vers lui, avec Malnoch qui prit son envol en charge après avoir croasser férocement.

je tomba au sol et repris mon équilibre . Je me releva rapidement et pris une charge puissante vers Feredas, mon expression faciale changea subitement:
- FEREDAS RETOURNE DONC EN ENFER ESPÈCE DE GROSSE MERDE , TU NE MERITE MÊME PAS DE RESTER AVEC TON ÂME DANS CE MONDE

Je fonça de plus en plus vite et mon loup m'accompagna a la charge:
- RAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA

Bien avant que Maef eu sa réacion du moin exagerée. Je perdis pied moi même.

J'ignora la dernière remarque que la créature m'avait faite, fesant allusion à l'arme de la mort.... Encore des phrases que je ne pouvaient comprendre....

Je tomba à genoux au sol, directement face à la créature qui me chargait dessus. j'était tout simplement dépassé par les évènements qui se produisaient. Quel genre de vie j'avais mené pour qu'une créature pareille sache mon nom. De plus, la trahison de mon corbeau adoré exaserbait mon sentiment de désespoir.

L'anéantissement pouvait facilement se lire , sur ce visage qui n'était désormais qu'un épaves qui affichaient plus que la dépression, mais bien l'incompréhension

Il N'en dégagait pas de pitié, au contraire. Mais je voulais mourir, j'avais tant essaier de me trouver un but dans la vie, mais on dirait que mon ancien objectif m'a ratrapé et me tuera.

J'en demeure pas moin impassient, au contraire. Je préféres mourir, que de courir au trousse de ma mémoire et d'en assumer les blessures du coeurs, comme celle de Malnoch m'a faite......

Si Msef DuLoup venait à me sauver, je me tuerais probablement avec l'arme qui tomberait du ciel. J'était exasperé de me chercher.

Dans mes dernières seconde de , peut-être vie, je me mis à songer à ce que pouvait avoir l'air l'effet de mourir. Je ne tarderais sans doute pas ;a le connaître. Je savais ce que revenir à la vie fesait, mais non mourir.

je me perdi dans mes pensées, je fit ma , peut-être, dernière poèsie. Je me concentris et parla à voix basse ,mais , de circonstence, plus fort que d'habitude
:-

La vie n'a de sens que quand on lui en donne, sufit que on s'y abandonne......................

Quant à moi, je suis différent, je vis sur la mémoire des gestes et des parôles de mon coïncident.................................

Mes pas sont avides de sens et de vérité, d'une mélodie qui bat en son sens et mérite d'être écouté...................

Tout ce que je laisserais derrière moi aujourd'hui sera oublié , car je vis constament sur mon vieux gagné............

PERSONNE DONC NE PEU M'EXPLIQUER !!!!!...........................................................

Puis Masef passa à l'attaque.

Masef partit à toutes vitesses vers son ennemi. Feredas atteint par contre Augure avant que Masef ne puisse l'atteindre. L'épée surnaturelle vint s'enfoncer sans pitié dans la poitrine de Augure, alors que le corbeau arriva près du visage, croassant cruellement, furieusement.

(Augure, retourne dans le sujet Un poète parmi les citadins)

La lame de Feredas redevint immédiatement de fer et de métal dure. Masef arriva très vite rapidement et son poing de fer vint, à son grand étonnement, frapper un crâne solide et vivant. La tête du soldat fut fraccassé, et le corbeau se volatilisa simplement. Feredas tomba au sol. Mais le plus étonnement, c'est qu'en tombant, il traversa le corps translucide d'Augure.

Je repris équilibre et continua a crier, n'aillant pas repris mon calme:
- AUGURE?! AUGUUUURE!? MERDE!!!...

Je me retourna et observa les alentours, inspectant les moindres recoins. Sur un dernier accès de rage je pris le corp de Feredas et le lança de toute mes forces le plus loin possible, m'accroupissant par la suite en regardant le corp tombé.

Oeil-de-nuit vint me rejoindre et licha mon menton une fois puisque j'étais accroupis. Je repris mes esprits:
- Oeil-de-nuit...que ce passe-t-il? Il y a longtemp que j'aurais dû quitter ce monde..je n'y comprend plus rien et personne ne veux de moi d'ailleur..


J'inspecta le ''corp'' d'augure et demanda a oeil-de-nuit de le sentir

Avec une force incroyable, vous prenez le corps du garde rendu solide et vous l'envoyez sur un mur un peu plus loin. Mais soudainement, dans son envol, le corps vint percuter l'une des poutres du bâtiment, et un craquement sourd se fit entendre. Sur le coup, vous ne fûtes pas capable de dire si c'était la poutre ou la colonne de feredas qui avait craqué ainsi, mais bien vite, vous remarquâtes que ce fut le deux. Le corps en miette du garde retomba au sol, alors que le poutre tenant le bâtiment céda, et une série de craquement s'ensuivit, la structure tenait à peine.

Alors, vous voyez le corps d'Augure, toujours livide, translucide, et intouchable, immobile en position debout avec une épée d'une noirceur impénétrable dans le corps.