Masef DuLoup : L'ombre du passé

Je n'essais pas plus de voir quelque chose et me rend a mon loup, il m'avertira si quelque chose arrive

Un mal pesant semblait rôder autour de vous. Tout était relativement calme, mais il y avait un sentiment d'effroi qui se faisait sentir. Oeil-de-nuit était sur ses gardes, mais cela paya, car dès qu'il la vit, il lui sauta dessus. Tombant du ciel, une chauve-souris de 2 mètres d'envergure arriva sur Oeil-de-nuit qui évita brillament. Elle revint sur lui.

Je tenta de sauter sur la chauve souris pour la plaquer contre le sol et avec mon poing de fer lui éclater la tete contre le sol a coup de poings

Vous réussîtes à prendre les deux ailes, mais vous aviez clairement sous-estimé la force de la chauve-souris, car elles se mit en gigoter affreusement fort avant que vous arriviez au sol, et elle s'échapa. Vous tombâtes au sol, mais remarquèrent que les ailes était faites d'un os dur en haut, mais d'une mince couche de cuir faible dans les ailes. Elles lui permettaient de se tenir en équilibre. Comme un tic, elle s'envola un peu plus loin et revint à la charge sur Oeil-de-Nuit, vous êtes au sol, et le brouillard se dissipe doucement.

(Pas croc-blanc, oeil-de-nuit XD)
Je me releve mais seulement accroupis et je sort mon épée pour lui couper ou trancher un aile, oeil-de-nuit tempte de lui blesser un aile ou le visage aussi

(dsl^^ avec tous ces animaux, jme perd)
Elle arriva près de vous. Votre coup toucha l'os et votre lame fut déviée. Oeil-de-Nuit mit par contre ses dents sur le cuir de la chauve-souris, et il arracha le morceau. Cela ne saignait même pas, mais dans son élan, la chauve-souris perdit le vol et elle tomba plus loin au sol, culbutant et tentant de repartir à voler.

je saute dessus et lui ecrase le crâne

La créature se retrouve sans défense, et vous lui brisez la tête sans plus de difficultés. Oeil-de-Nuit recracha le morceau de cuir, et le brouillard finit de s'estomper sur le village. Le calme était revenu, comme si rien ne s'était passé. (+18 exp.)

- Plus le temps de nieser, direction ''Au pied des Alizés, et au Nord du Bois de Vendravel''

Masef decolla avec une course lente pour se rendre le plus rapidement possible a sa destination

Alors que vous étiez sur le point de partir, une voix vint vous déranger par derrière.
-Masef! Masef! Où vas-tu comme ça?
Cette voix vous était familière, mais vous ne vous attendiez pas à l'entendre là. C'était celle de l'aubergiste.

Je me retourne:
- Je vais a la source du probleme pour tous les tuer , Pourquoi?

-Vous parlez des brigands!? Vous savez où ils se trouvent!

-Mais où est cet endroit par dieu? insista le tavernier. Toute l'armée pourrait être dépêchée sur ces lieux pour éliminer à jamais cette menace.

(OOC : Belle nouvelle avatar en faite, je l'aime mieux que l'autre^^)

J'allais continuer ma phrase mais e m'interompit:
- L'armée?

-Mais bien sûr : lança-t-il, rendu à votre hauteur. L'armée des hommes d'Imias. Ce serait un très grand jour pour notre nation que celui d'éradiquer à jamais le fléau qui vient pourrir nos terres. Mais pourquoi vous obstinez-vous à ne pas me dire où cela est?!

Aucune parole ne ressortit de la voix du tavernier. Il semblait paralysé, appeuré devant votre déclaration. Tranquilement, il articula durement :
-Vous voulez parler de la cité d'Orongroth?

(du maire? stais pas un tavernier??)

- Aucune idévaise mais c'est la que je vais

Le tavernier semblait terrorisé :
-N'y allez pas. Cet endroit est un cauchemar pour celui qui y va. Il est le siège d'un mal qui pourrit la chair et meurtrit les os. Il vous a mentit c'est sûr. Rien ne peu s'être établi la bas.

-C'est un sacrifice d'y aller seul, enrôlez au moins un ou deux équipiers, des personnes qui pourront vous aider. Je ne pense pas pouvoir, mais dans cette vie, je sais que les malheurs qui trône ce lieu sont immense. Vous n'y gagnerez rien, hormis la mort.
Il se retourna, visiblement inconvaincu :
-Je vais retourner surveiller ma taverne. J'aurai essayé de vous en convaincre, mais vous semblez obstinez. Puisque c'est ainsi, je vais retourner chez moi, ne pouvant que prier pour vous, et espérant vous revoir à mon comptoir...
Et il retourna vers sa taverne.

Je lui lança avant qu'il parte:
- Mouais... de toute manière je ne vois pas où je opurrais trouver de l'aide

Mais vos paroles n'eurent pas réponse parce que la porte de la taverne était déjà fermée. Au centre de l'énigme sans réponse, ainsi que de la cité silencieuse, vous étiez seul, dans le noir, où l'est faisait déjà déviné une aube qui arrivait.

- Personne ne viendra en aide à un démon...

Je remis mon épée dans mon fourreau et ré-entamma ma marche vers cette mysterieuse forteresse .
* Vers ma mort.. qui sais , au moins le monde sera débarassé d'un démon*