Masef DuLoup : L'ombre du passé

Cette bière était la troisième en cette soirée qu'il reposait sur le comptoir du bar, alors que le tavernier continuait son tour des quelques clients qui restaient autour des tables au milieu de cette nuit noire. Masef, se tenant fièrement solitaire, son grand compagnon, le loup brun, à ses pieds grugeant un reste de gigot, étaient tout deux seuls dans leur coin. Les années de gloire étaient malheureusement finies par Masef, et sa victoire passée sur les brigands avait fini de faire le tour de la ville. Malgré tous ces grands exploits, ses cornes éternelles l'avaient rattrapées avec le temps. Il avait fini par sortir d'Imias et il était partit en cette soirée vers le Nord, dans les champs aux Collines, où il trouva une petite taverne dans un village agricole. Il avait prit un bon souper et finissait tranquilement la soirée, méditant sur son passé. Le tavernier revint de son tour et sans même que Masef dise quoi que ce soit, il dit:

-C'était la dernière bière du repas mon cher. Si tu en veux une autre il te faudra payer des suppléments. Je t'en ai déjà donné une de plus.

Masef semblait avoir la tête ailleurs, mais ses esprits revinrent à la réalité lorsqu'un hurlement d'une voix féminine se fit entendre depuis l'étage supérieur, dans les chambres de la taverne. Le tavernier sursauta, apeuré, et les autres clients tournèrent la tête vers l'escalier mais on y voyait rien. Le serveur de bière tourna alors la tête vers Masef, comme lui demandant ce qu'il allait faire.

(:&&&: MON POST C'EST EFFACÉ 2 FOIS)

Masef lanceat un regard amusé au tavernier et dit:
- C'est peut-être pas des cris de douleurs...qui sais hehe...

Voyant que personne ne réagissait a sa *blague* , masef cogna son verre fort contre le table et se leva brusquemment. Son loup, Oeil-de-nuit, se leva a son
tour et se mit sur la défensive:
- J'imagine que c'est encore au démon de s'occuper des vilain, la routine quoi.

Personne ne répondait:
- ... C'est quoi la ...? ah pis au pire ...

Masef entamma sa marche vers les escaliers et commença a les monter en fesant le plus de bruit possible, Oeil-de-nuit pris de lavançe sans fair de bruit, si quelqu'un temptait d'embuscer Masef, il ne s'attendrait pas a recevoir un loup en pleine geule d'avance.

Masef arriva en haut de l'escalier et Oeil-de-Nuit était déjà rendu à flairer le couloir vide. Celui-ci continuait tout droit pendant une dizaine de mètres et tournait par après à droite. Dans l'allée où il était, il y avait 4 portes donnant sur des chambres à la droite. Oeil-de-Nuit renifla bien de dessous de portes à la recherche d'une odeur inhabituelle. Il changea de porte, et de la première sortit un homme, qui sursauta en vous voyant devant sa porte. L'homme était en tenue de nuit et semblait prit d'une peur inexplicable. Il réussit à vous dire :

-Par tous les dieux! Fais m'avez fait peur. Qu'était-ce que ce hurlement strident?

À l'étage on entendait plus rien, mais de la porte au bout du couloir on pouvait voir un ruissellement rouge qui apparaissait tranquilement sous la porte...

Masef ne repondit pas a l'homme mais fixa plutot le sang qui deversais en dessous de la porte:
- Soit cette personne saignais beaucoup, soit l'assassin l'étang par exiprès.

Masef se retourna brusquement et pris l'homme par le collet pour l'accoter fortemment contre le mur:
- Bon, tu sais quelque chose la dessu, mon grand?

Le visage de l'homme devint blême lorsque Masef lui empoigna le collet. Il paralysa quelques instants avant de bégueiller difficilement:

-Mais... Mais... je n'ai rien vu, je n'ai rien fait. J'ai entendu les cris et je suis sortis en courant de ma chambre pour voir ce qu'y s'y passait et vous être arrivé. Je suis innocent je vous le jure.

Il était sur le bord de verser des larmes, votre loup, quant à lui, se mit à lècher le sang au sol. Derrière l'homme vous voyez sa femme, debout avec une lampe, elle aussi terrorisée.

Masef ordonna a Oeil-de-nuit d'arrêter de licher le sang et de cracher ce qu'il avait dans la bouche. Par la suite il dépose l'homme au sol et s'escusa auprès de lui et sa femme brèvemment.

Oeil-de-nuit a ses côté , masef se mis a une distance respectable de la porte (environ 4 metre) et sortit son baton (ça laire j'en est un) pour le propulser a la maniere d'un lancer de son plus fort sur la porte

Le loups, obéissant, recracha une traînée écarlate sur le bois, qui avait pris une consistance gluante avec la bave épaisse. Reprenant sa place près de Masef, il lui laisse la place pour tirer son bâton dans la porte. Pendant ce temps, l'homme retourne, terrorisé dans sa chambre en refermant durement sa porte. Masef lance violamment son bâton dans la porte et la pointe transperce la porte de petit bois frêle. Elle s'enfonce assez loin, mais vous sursautez lorsque de la salle vous entendez un hurlement strident, le même que tout à l'heure, mais plus intense encore, venant de la chambre.

Masef ne broncha pas, il se gratta la joue avec ses grifes accérés qu'il venait de fair sortir:
- Oups... j'espere que j'ai tué personne.

Masef patienta voir si quelque chose allait se passer

Le hurlement s'est tut, le silence est revenu à l'étage supérieur de la taverne. La porte ne bougea pas, et le bâton resta planté dans la porte. Par contre, le ruisselement de sang repartit de plus belle, et Oeil-de-Nuit semblait ronger ses nerfs pour ne pas bouger.

- ...

rien ne se passais et Oeil-de-nuit semblait partit pour vouloir boire tout le sang au sol.

Masef partit en sprint a tout vitesse sur un coup de tete et defonca la porte, son loup le suivais près derriere lui .
Masef en defonca la porte se baissa le plus possible pour pouvoir eviter d'éventuels attaques
Ils étaient tout le sdeux a l'affut de quelconque attaque.

La porte se défonça d'un seul coup, ayant déjà été fendu par le bâton. Elle se fendit en deux à l'horizontal, et levant les bras, Masef accrocha la tête de quelqu'un, mais celle-ci tomba, et dans l'écho de la chute, Masef recula un peu pour éviter les attaques. Rien ne lui tomba dessus, et il put tristement voir la porte défoncée, et dans les débris deux clous, qui avait ressortis de la fendaison, clous rouges, ayant la tête dans deux petites mains moites, et son bâton, ressortant maintenant de la porte, qui était planté dans le dos d'une robe rouge sang d'une femme à la colone vertébrale fracassée.

Masef brise tout les objets dans la chambre pour trouver quelqu'un qui aurait faite ça a cette femme, Oeil-de-nuit reste près de lui.
- MONTRE TOI

Le silence qui répondit à cet appel était troublant même dans la chambre. Rien n'avait bougé, rien n'avait sourcillé. Les oreilles hautes, Oeil-de-Nuit était prêt à entendre une souris manger son fromage, mais il n'en était pas. Il n'y avait que du silence. C'est alors que comme une malédiction, un cri venant de derrière vous, aussi strident que le dernier, vint à nouveau ébranlé la taverne.

- J'EN EST MON VOYAGE DE ÇA, ARRÊTE DE FUIR

Masef sort de la chambre en courrant et enfonce le mur a la place de la porte de la chambre ou il y a le cris

Le cri venait de la chambre de l'homme qui avait sortit la tête pour le voir quelques instants plus tôt. Avec son gant, il enfonça le mur prêt de la porte avec une facilité inconcevable qui lui fit douter de la solidité de l'auberge, mais néanmoins, il tomba sur la chambre de tout à l'heure, la pauvre femme qu'il avait vu étendu sur le lit, un poignard dans la poitrine planté dans un papier sur lequel était écrit en sang

«EN ENFER, DÉMON»

La fenêtre au-dessus du lit était ouverte, laissant passer une brise glaciale.

Masef se calma et pris le papier:
- Tu sais pas a quel point j'aimerais y aller...

Masef pris bien soins de pas toucher a la paume du couteau et demanda a Oeil-de-nuit de renifler l'odeur voir si il ne pourrais pas pister l'homme:
- J'aurais du lui arracher la tête, je suis rendu trop pacifiste...

Pendant que Oeil-de-Nuit reniflait le poignard et laissait quelques coups discrets de langue sur le cadavre, Masef distingua de son oreille fine le son de 2-3 personnes montant les escaliers.

Masef ordonne a son loup de se rouler dans le sang et fair comme si il était blesser pendant que masef prend le couteau et se lanfonce dans le bras pour se laisser tomber sur le sol bruillement:
- Merde... (dis masef aussitot que les gens entre)

Oeil-de-Nuit ne se fait pas prier pour se trémousser dans cette mare délectable et il gémit. Du trou dans le mur vous voyez que se pointe l'aubergiste avec une dague, suivit d'un homme que vous avez vu dans la taverne en bas avec une fourche et de celui qui était dans la chambre quelques instants plus tôts avec une brillante épée. L'aubergiste lance d'un ton bégaillant et incertain:
-Démon, rends-toi, mon auberge n'est pas un cabaret, et tu vas déposer toutes tes armes et nous suivre pour tes meurtres et tes saccages.
Derrière, le sang a engloutit le papier le rendant totalement rouge, et le regard malicieux de l'homme de tout à l'heure vous frappe.

- PAUVRES FOUS, CE N'EST PAS MOI LA MENACE, JE ME SUIS FAIT ATTAQUER

Maseffit un sembalnt de tempter de se relever pour retomber au sol

-Ne l'écoutez pas, ce démon a voulu m'assassiner, j'ai sauté par la fenêtre et il a poignarder ma femme : dit fortement le criminel.

Votre mise en scène semble par contre prendre un peu de place dans l'esprit de l'aubergiste, qui ne passe pas de commentaire.

- POURQUOI DÉMON C'EST TOUJORUS VOTRE ESCUSE POUR NOUS CHIALER DESSU !? JAI PAS ÉTÉ DÉMON TOUTE MA VIE, JAI SAUVER UN ROYAUME !! ARRÊTEZ MOI CETTE COMÉDIE, SI VOUS MAURIEZ PAS PRIS PAR SURPRISE JE VOUS AURAIT ARRACHÉ LA TÊTE EN DEUX TEMP TROIS MOUVEMENT, ET VOUS AURIEZ EU LA PEUR DE VOTRE VIE VOUS SERIEZ PROBABLEMENT ENTRIN DE PLEURER SUR LE COIN D'UN ARBRE DANS LE TERRITOIRE DES HOMMES DU NORD. VOUS NE SAVEZ PAS C'EST QUOI ETRE UNE VICTIME, SALAUD

S'adressant a L'homme au regard malicieu

-Qu'est-ce que cette histoire Jack? demanda l'aubergiste à l'homme criminel.

-Des inventions, regarde-le Albert, il n'est même pas blessé, et son loup non-plus. Il ne font que vous amadouer. Ne me dites pas que vous allez commencer à croire les dire d'un «Démon».

L'aubergiste semblait réfléchir. Mais Jack dit alors soudain :

-De plus, vous voyez bien qu'il a détruit par exprès votre propriété. Les murs, la porte, ce ne peuvent être que lui.

Derrière vous, vous entendez que votre loup change des gémissements de douleur pour des gémissement de demande d'attention.

Je montre ma blessure sans vraiment vouloir fair comme si stais exiprès et porte attention sur mon loup discretement

Vous voyez qu'il porte dans ses dents le papier et les écritures qui étaient là au début sont lisibles en rouges plus foncé, rendu sec.

-Attention, hurla Jack, il communique avec son loup, il va s'échapper.

Jack fonce sur vous, le tavernier ne sait plus quoi penser, personne à part vous n'a vu les écritures du papier.