Livre I : Un même et seul ennemi

Constatant que cet ennemi semble plus habile, je combat plus prudemment, bloquant surtout et chercheant une occasion de le déstabiliser pour permettre à Masef d'agir.

Vous foncez le premier pour donner un coup sur ses lames et le destabiliser. Le garde recule un peu, mais avec son épée droite, il réussit vous à toucher le bras, faisant une petite coupure. (-2 PDV) Le coup de poing de Masef arrive ensuite, et votre supériorité numérique réussi à le déconcentrer, et il se mange son poing dans la figure. Il recule, le nez cassé et sanglant, fou de rage. Vous reculez par réflexe, et le garde revient vers Masef, mais en même temps, il perd pied et il tombe lourdement par terre, le laissant vulnérable.

Je me précipite et je fait tout ce que je peux pour empêcher le garde d'attaquer Masef et me placer devant.

Masef se tasse d'un coup, et en se remettant debout, vous détruisez la colonne vertébrale du garde avec votre épée, qui retombe sur le sol, mort. (28 exp.)

Profitant du répit que j'ai, j'analyse le combat qui se déroule près de l'assassin, je veux savoir combien il reste de gardes de notre côté et combien du côté du noble assassin.

J'en profite aussi pour ramasser une épée d'un des gardes que j'ai tuer, la soupesant pour savoir si elle est plus puissante que celle que j'ai déjà. (Normalement, elle est au moins aiguisée). Si elle est meilleure, je la garde.

Par terre, le garde a une Épée à une main de soldat (+3 at.) Il y en a trois pareilles sur les deux cadavres, dont une qui est abimée.
L'assassin, sur le bustre avec deux gardes, est entouré de cinq cadavres d'autres gardes. Les deux restants semblent de son côté. Du coup, l'assassin leva la main, et cria:
-Je suis Araf de la côte, chef des tribus rebelles de l'Instar, et capitaine du mouvement de liberté. Je viens de sauver le monde d'un tyran, et je viens remettre le pouvoir au peuple, mais je dois tout d'abord éliminer les opposants.
Il vous regarda intensément:
-Gardes, et hommes de la liberté... TUEZ CES TYRANS.
Les deux gardes foncèrent sur vous, alors que Masef fonça sur le plus proche qui arrivait. Araf resta en haut du bustre.

Maintenant équipé de ma nouvelle arme, je m'élance à la suite de Masef en poussant un cri de haine.

Vous prenez chacun un garde. Masef prend celui de droite, et vous celui de gauche. Peu après, c'est le choc. Votre nouvelle épée se heurte à la sienne, et avec une force impressionnante, il vous repousse et vous reculez plus loin. Pour sa part, Masef se débrouille dans une excellente posture. Évitant le coup d'épée du garde en avant de lui, il sauta agilement dans les airs, et ses deux pieds vinrent se briser dans leur figure, les faisant saigner de la bouche et du nez. Les deux gardes reculèrent sous le choc. Par contre, Masef ne réussit pas à reprendre équilibre, et il tombe lourdement sur le sol, sur le dos, vulnérable.

Profitant de la diversion provoquée par Masef, je m'élance vers le plus près pour tenter de lui trancher la tête.

Les deux gardes ont pris le temps de se remettre à l'heure, et ils sont maintenant en mode de défense. Vous foncez sur celui le plus prêt de vous, mais celui-ci bloque. Votre Maîtrise des Épées vous permet de pouvoir exercer une plus grande force sur lui, mais il a les muscles plus développés que les vôtres. Vous êtes donc à forcer, à force égal, l'un contre l'autre. Pendant ce temps, Masef, roule sur le côté, mais en tentant de se relever, l'autre garde lui appuit son pied dan le dos, ce qui le fait retomber par terre, sur le ventre. Le garde leva son arme dangereusement.

Voyant mon allié en très mauvaise posture, je recule et je lance mon épée au garde que je combat, ne visant pas spécialement quelque chose mais tentant seulement de le faire reculer, puis je cours vers le garde qui s'appraîte à porter le coup de grâce en hurlant.
-HÉ! TAS DE FIENTE!!
Espérant avoir créer un effet de surprise suffisament grand pour avoir gagner le temps nécessaire à arriver dessus, je lui saute dessus pour tomber avec lui au sol. Si je réussi tout ça, je lui défonce la figure à coup de poings pour le sonner et le rendre moins combatif, puis je l'étrangle.

Rey pousse, et le garde, surprit de sa force subite, est destabilisé. Pendant ce temps, vous lancez votre épée à l'autre garde, qui le rata de peu, et elle alla tomber sur le sol de marbre plus loin. Ensuite, vous foncez à toutes vitesse sur votre aggresseur destabilisé, et votre coup de poing lui décroche la machoire, et le fait tomber. Du coup, vous vous élancez par terre, et vous l'étranglez. Après quelques secondes, le garde meurt, sans airs. (28 exp.) Mais, c'est alors qu'une intense douleur, terriblement brûlante, vous brûle le creux de l'omoplate. (-6 PDV)

Comprennant que l'autre garde en a profiter pour m'attaquer de dos, je roule pour lui faire face et, plutôt que de tenter de me lever tout de suite, je lui balance mon pied dans les parties particulièrements douloureuses.

Malgré la douleur, vous voulez commencer votre coup pour en finir au plus vite. Le garde, ayant laissé son épée dans votre dos, recule d'un pas. Mais Masef, un peu plus rapide que vous, s'empresse d'hurler des insultes au garde, de le pousser, ce qui le fait basculer, et contre toutes vos attentes, il vous arrache violemment l'épée du dos, ce qui crée une douleur tel que vous ne pouvez garder votre cri, et vous êtes paralysé par la douleur (-8 PDV). Le sang coule à gros bouillons, pendant que Masef tente d'achever l'autre garde.

Me levant en pestant, je me dit que l'idéal serais de me faire un bandage pour arrêter l'émoragie, mais comme c'est impossible de se faire un bandage dans le dos seul, je laisse tomber. Je ramasse l'épée du garde (qui était plantée dans mon dos), puis je regarde autour de moi, cherchant à repérer Araf. Le dernier garde étant désarmé, Masef n'en ferait qu'une bouchée, tandis qu'il était important d'empêcher le chef des bandits de s'enfuir.

Araf reste immobile, mais vous le voyez rire, vous voyant souffrir. Masef vous dit de vous reposer un peu pendant qu'il va s'occuper du garde, et il ne prend pas deux secondes pour foncer sur le garde, terrifié.

J n'écoute pas le consei de Masef et je fonce vers Araf, épée à la main. Mon but n'est pas de le tuer pour le moment, seulement de le désarmer et de l'empêcher de fuir.

Vous montez sur le bustre pour atteindre Araf. Mais alors, il lance à une vitesse ahurissante un petit couteau, qui ne part pas par contre dans votre direction. Il passe à côté de vous sans vous prendre. Vous voyant arriver, il sort une grande épée, et la place pour parer.

Araf*
Homme de l'Instar
Lvl. 3
PDV 92
Attaque 25
Défense 13
Agilité TRÈS RAPIDE
Endurance 9


*Vous vous appretez à combattre un personnage important d'Elfaime, un boss. Vous apprenez ses caractéristiques, pour savoir à quoi vous en tenir.

Comprennant que je ne peut le battre en vitesse, je tente de le battre par la force, me contentant de frapper sur ses coups pour le fatiguer.

Vous arrivez sur lui avec un grand coup d'épée, qu'il évite assez facilement. Il se tasse sur votre droite, tourne sur lui-même, et sortant un poignard de sa poche, viens vous piquer l'épaule sauvagement, votre épaule droite, celle avec laquelle vous tenez votre épée. (-6 PDV) Vous l'échappez dans votre douleur. Masef fonce sur lui, croyant l'avoir de dos, mais Araf lui donne un coup de poing, en tournant encore sur lui-même, le prenant dans le visage, et le faisant tomber du bustre. Lorsqu'il vous voit tous les deux, il rit de vous.

Je me jette par terre en faisant une roulade pour ramasser mon épée puis je me relève en roulant toujours. Une fois debout, je ne répond pas à ses injures et je le regarde fixement, attendant qu'il riposte pour bloquer et l'occuper. Si Masef l'attaque de dos, je m'attend à ce que Araf ne se fasse pas avoir et je me prépare à l'attaquer lorsqu'il se retournera.

Il vous laisse faire vos roulades, et vous regarde tourner. Vous prenez votre épée, et vous éloignez de lui. Masef reprend ses esprits. Alors, Araf dit:
-Même si je suis seul, je ne peux pas perdre face à deux petits vermisseaux. C'est à peine si vous venez de sortir du berceau. N'essayez pas d'empêcher des choses plus puissantes que vous, car elles n'auront qu'une pichenote à faire pour se débarrasser de vous.

J'éclate bruyamment de rire.

-Si vraiment tu ne nous craignait pas, tu nous aurait déjà tué. Tu sais, Zanan était ridicule, mais toi tu es vraiment le plus minable des tas de merde que je connaisse. Même un de la bouse de cheval à l'air plus menaçant que toi. Quelles choses sont plus puissantes que nous? Qu'es-ce que nous sommes censé vouloir empêcher. Le roi est mort, nous ne voulons que te tuer. Tu as donc d'autres idées en tête. Dit moi ton plan et je ne te ferai pas trop souffrir.

À peine avez-vous fini de répliquer que Masef fonce sur Araf. Il tente une feinte, mais Araf l'esquive brillament, et Masef tombe par terre, dans son élan. Le laissant à ses problèmes, il vous répond:
-Tu sais, on m'a dit que deux loyalistes viendraient, venant de nul part, pour me bloquer sérieusement la route. Au départ, je ne l'ai pas cru, mais il fallait que je m'assure que ce ne soit pas vous, car j'ai reçu des instructions spéciales à leur sujet, et je peux voir que vous n'êtes pas des soldats, mais de simples paysans, et maintenant, je vais en finir avec vous.
D'un coup, il sortit de derrière sa cape une très massive épée, ayant l'air très lourde.

-Enfin un peu d'action! Je commençais à croire que ta réputation ne tenait sur rien.

Je place en position de combat avec une pensée pour Feredar et Madas, ceux qui devaient être les deux loyalistes en fait.