Nostalgie

Les alentours sont normaux. Le soleil éclaire de plus en plus les environs, et vous les voyez détallé sur la route. Il n'y a rien de nouveau, rien d'anormal. Par contre, vous entendez derrière vous, en haut :
-Qui va là?
Dans les meurtrière de la muraille, à l'étage au-dessus de la porte, un homme garde vous regarde.

J'essais d'avoir l'aire le plus aristocrate possible et m'inclina:
- Masef DuLoup , Fier hero de la grande bataille de Imias. Pourais-je avoir la permission d'entrer , messir?

-Je vais descendre. Soyez averti que la moindre aggression sera retenu contre vous.
L'homme disparut quelques instant, avant de réaparaitre dans l'ouverture de la porte qui se trouve sur le coté de l'arche d'entrée, de l'autre côté de la herse à partir de votre position. Il s'approche de la herse, vous examine un peu, et dit :
-Je vous connais seulement de nom par votre histoire, mais non de vue.. Désolé, je n'ai pas confiance en vous, je vais aller demander à un vétéran pour vous faire entrer, entretemps, je peux vous ouvrir l'entreherse où vous pourrez vous asseoir.
Il fit ouvrir la herse, qui se leva lentement. De l'autre côté, il y avait une autre herse qui donnait accès à la cité, mais elle resta fermée. Il y avait deux bancs en pierre de chaque coté de l'arche d'entrée dans l'entreherse.

Je decida de rester sur place et fit remarquer a l'homme qu'une vigiliance aussi importante peut être que bénéfique au chateau.

Le garde ne répondit même pas et remonta dans la muraille après avoir refermé la herse. Vous étiez entre les deux grilles, sous la muraille, à attendre au petit matin. Dans votre attente, Oeil-de-Nuit se mit à gémir, comme si quelque chose l'effrayait.

(rester sur place = en dehors des deux grilles XD pour pas me fair pieger)

Je dis a oeil de nuit de rester cacher

(euh... ok j'avais pas compris ce subterfuge, désolé, je te mets entre les deux grilles ou tu veux faire un flashback?)

flash back ^^

-Je vais descendre. Soyez averti que la moindre aggression sera retenu contre vous.
L'homme disparut quelques instant, avant de réaparaitre dans l'ouverture de la porte qui se trouve sur le coté de l'arche d'entrée, de l'autre côté de la herse à partir de votre position. Il s'approche de la herse, vous examine un peu, et dit :
-Je vous connais seulement de nom par votre histoire, mais non de vue.. Désolé, je n'ai pas confiance en vous, je vais aller demander à un vétéran pour vous faire entrer, entretemps, je peux vous ouvrir l'entreherse où vous pourrez vous asseoir.
Il fit ouvrir la herse, qui se leva lentement. De l'autre côté, il y avait une autre herse qui donnait accès à la cité, mais elle resta fermée. Il y avait deux bancs en pierre de chaque coté de l'arche d'entrée dans l'entreherse.

-

Voyant votre refus à venir entre les herses, il dit :
-Bien, en ce cas vous resterez hors de la cité, je vais la refermer.
Il referma la herse devant vous, et remonta dans la muraille pour s'informer. Il vous laissait seul à attendre.

Je dis a oeil de nuit de rester camoufler mais de s'approcher de moi et j'observe autortur de moi si ya kkchose de spécial

Vos yeux n'aperçurent rien d'anormal. Le soleil était caché par quelques nuages, et les plaines autour étaient quasiement vide. Quelques oiseaux sombres voletaient dans les airs, sinon rien de plus. Par contre, Oeil-de-Nuit avait les oreilles baissée, et semblait appeuré.

Je lui indiqua de plus s'approcher et jesseyais de trouver ski allais pas, ce qui lui fesais peur

Vous sentez un ombre planner sur vous lorsque vous communiez avec votre loup. Une force maléfique venant du centre de la ville et qui jette sur tous ceux aillant leurs sens aiguisé une ombre effrayante. Le garde se faisait toujours attendre.

Je regarda ce que le garde fesais et tempta de voir d'où ''l'ombre'' provenait exactement, Oeil-de-nuit ne semblait pas vraiment apprécier

Rien n'était visible, les herses ne donnaient que sur une petite rue assez banale. Soudain, un garde arriva en cours dans cette rue, regardant un peu partout et cherchant. Son regard s'arrêta sur vous, et il lança:
-Eh! Vous! Qui êtes vous?! Que faites vous la?

-Oubliez ça, le prince est en danger, personne ne va vous laisser entrer.
Il se mit à regarder en fou autour de lui à la recherche manifestement de quelque chose.

Augure et l'homme du nom de Feredas arrivent à une cinquantaine de mètres à la gauche de Masef, qui remarque leurs mouvements. Marmonnant quelques choses, Feredas s'exclame en s'addressant en Masef :
-Es-tu devenu si mal pris mon cher ami que tu ailles à revenir ici?

(Masef : L'air de cet homme vous dit quelque chose. Vous voyez en lui comme une image du passé qui revient. Une image de l'invasion d'Imias. Du temps de la première guerre.)

-Mon visage ne te dit rien, Masef. Je suis Feredas.

(Masef : Le nom vous revient immédiatement en tête. C'était le général qui a laissé sa vie lors de la prise de la ville par les brigands. Vous avez assisté à son enterement après votre victoire...)

Feredas semblait éberlué et charmé de revoir Masef. Quand à Augure, il semblait un peu à l'écart.

(Augure : L'homme ne vous dit rien, et Feredas semble étrangement le connaître.)

- Fe...Feredas?! Vous étiez mort ! J'ai assissté avos funéraille !
Masef se repris:
- Désolé, je ...suis content de vous revoir , mais comprenez mon expression !

**

** Je ne fit guère cas de l'homme dans ces retrouvailles, mais je ne pus m'empècher de faire un petit rire narquois, qui fesait que me désavatager , car sur un visage exsangue et impassible comme le mien, celle fesait presque un effet de disconence de voir un rire en surgir.

:- héhé....

Mon corbeau croassa deux fois durant la conversation qui suivi. et qui n'attirait guère mon intèret , donc par conséquent aucune rîme me vaint à l'esprit. Je jetais de petit coup d'oeil surnois aux 2 hommes , de temps en temps. Moi je m'occupait de mon corbeau silencieusement en attendant qu'ils est fini de converser, pour que je puisses enfin entrer dans la cité..



PS: (Ce post est valable pour tout le long de la conversation avec le garde, moi je fait pas grand chose , alors je l'est résumé en un post pour t'y laisser l'exclusivité , n'étant pas conserné ^^ )

-Mon cher Masef! Vous n'êtes pas le premier à en être étonné. J'ai en faite été enterré vivant. J'étais dans un comas léthargique après les lourde blessures de la bataille et les médecins m'ont mal diagnostiquer. Ma femme a fait des mauvais rêves toute la nuit, et le lendemain matin, elle a réussi à convaincre le prêtre de me déterré, et cela faisait quelques heures que j'étais sorti de coma. Je dois tout de même avouer que ma chance a été incroyable, et que pendant ces quelques heures, je voyais l'agonie qui s'envenait. Mais j'ai eu de la chance. Beaucoup de chance.
Son visage revenait maintenant clairement à l'esprit de Masef. Il était le même. Soldat déterminé, amoureux de sa nation et fier homme. Troublant les quelques secondes de silence, l'homme qui cherchait quelque chose à l'intérieur de la cité s'exclama :
-Avec qui parlez vous, homme, ou quoi que vous soyez?!

Un sourrir se plaqua sur mes levres:
- Feredas je serai ravis de prendre une biere avec vous ! Vous devez en avoir des choses à raconter! Moi aussi d'ailleur mais il faudrais commencer par m'ouvrir la porte non?

À la suite de ce que dis l'homme sans rapport dans la discussion je regarda ma calme et dit:
- Homme, et je veux rentrer pour parler et me reposer, esce possible dans cette ville: homme, ou je ne sais quoi?

**

Je fait rien

-Vous parlez avec Feredas!?
Soudainement et brutalement, l'homme en garde vint s'approcher de la grille en hurlant :
-Feredas, êtes-vous vraiment là!?
-Oui, qui a-t-il Menemdro?
-Oublie ces touristes et rentre, le prince a été kidnappé...
Un moment de silence suit, alors que Feredas soupire «Oh mon dieu»...
Il regarde tour à tour Masef et Augure en leur disant sur un ton serrein:
-Je suis désolé, ami(regardant Masef), et... (pause), étranger (regardant Augure). Je vais devoir y aller, je vous conseille d'attendre près d'ici, la cité semble incertaine aujourd'hui, je vais me dépècher.
Rapidement, il retourne vers la porte est, alors que le garde disparait de la herse à travers une ruelle. Vous, deux hommes et un loup, êtes seul devant la muraille.

Je garda le silence un moment et fit sortir oeil de nuit de sa cachette. Je regarda augure dans les yeux:
- Tu veux rentrer dans cette forteresse? Moi je compte rentrer en tout cas et c'est pas eux qui vont nous laisser entrer pour le moment