Nostalgie

Les gardes s'échangèrent un regard bref, et celui qui vous avait addressé la parole dit :
-Je ne vous connait pas, et nous avons déjà assez de problèmes comme ça pour ne pas avoir a nous occuper d'immigrants obsènes. Alors faites sortir cet animal de notre ville ou je m'arrangerai moi-même pour qu'il ne me dérange plus.

Je fit un pas vers lui.

Je souris d'une maniere malsaine et fixa le garde qui venait de fair sa declaration. Je serra les poings et me fit imposant par ma grandeur et ma masse musculaire, mes yeux devinrent soudainements plus noirs, mon expression plus démoniaque malgré mon sourrir:
- Ose menacer mon loup UNE seule autre fois et je te décapite a main nue

Je vit Masef

Masef DuLoup que je n'avais pas connus. Une autre force que je ne me connaissait pas....Reconaître les gens...J'était doué la dedans aussi

Je remarqua donc avec ce nouveau talent ,que je nomma immédiatement: Présomption, que Masef DuLoups était sur le point de se battre...La bagarre avait déjà commencé. Mais , selon moi, c'est quand la première personne donne le coup que la bagarre est dans son point culminant..DIGNE d'un poèsie...

J'avais une image dans ma tête de comment ça allait se dérouler...

ET j'EN SERAIT , le point culminant... À moi cette honneure ....À MOI, LA NEUTRALITÉ

Je dois réequilibrer , égaliser et veiller personnelement à ce que je n'esquinte RIEN...NON RIEN, de mon passé et je ne peu pas arrêter de vivre pour autant, si je le pourais je le ferais...Mais non, donc je dois faire de mon mieux pour garder la neutralité....

La neutralité.



Je bondit donc d'un coup sur le garde qui restait silencieux , d'un coup habile et fatal qui avait été prévu à l'avance.

Une éxcitation folle m'envahi donc...

Tout de suite après, sa sera l'heure de faire de poèsie...Quand le sang sera répendu sur mes vêtements et que tout se beau mélange d'émotion sera encore frais et chaud , en moi...

La forme de la faux vint trancher la jugulaire du garde en un point précis, qui fit l'effet d'un torrent. Aussitôt, le garde tomba dans une marre rouge, et son acolyte sortit son épée en gueulant :
-À la mort! Venez protéger le roi!
Les citadins arrêtèrent de courrir dans tout les sens, et certains accururent même vers le petit. Le soldat armés était seul contre les deux hommes, alors que des villageois en appel arrivaient à toute vitesse.

- À LA MORT ?! Vous me faites rire, vous esseyer de mettre en dehos de votre propre ville des citoyens honnêtes et vous NOUS METTEZ A MORT EN PLUS?!?! mmhmh...ooohaaa..OUAHAHAHAHAAAAAA!!!!

Je bondis, impuissant de mes sentiments, que se passe-t-il ?

* Quesse qui se passe avec moi...*
* J'ai pris possession de ton corp *
* Quoi?! *
* Je te possède...pour l'instant c'est très peu et cela ne durera pas longtemp... c'est rien mais bientôt ton corp sera mon pantacle *
* TAGEULE!! SORT DE MOI!!!!! *

Et il rit, longtemp , longtemp. Puis il disparu, j'étais dans mon corp mais le spectacle qui s'offrias a moi était tout l'inverse de ce que j,aurais fait normalement

J'avais bondis sur le deuxieme garde et je l'avais décapité comme je venais de le suggérer plus tôt...ou étais'ce... lui ? qui l'avais suggérer

OOC: toune du moment, en accord avec louis

J'était si exité , énervé, FÉBRILE . Le sang les larmes , les cries...

JADORE

Je le dis autre part que dans ma tête..

:- J'ADORE !... AHAHAahahaAHAHAHAHAHAHAHAH AHA

je tournoiyais dans tous les sens avec ma faux , entrant dans un danse de coup et de moulinet périeux...J'étais

J'étais emporté par la fureur , la rage , tout ce plaisir que je ressentais...

Un volcan en ébulition...Une pluie de météore.... Tout devenais plus clair, plus lent...

L'adrénaline maintenant.........

c'était un avantage que les hommes ont sur toutes les races du monde... Cette énergie miraculeuse qui les rend à l'affut, fort, rapide, précis.....

Mais imprudent...

J'avais donc succombé à l'adrénaline...

Je fesais des techniques que je n'avais pas souvenir d'avoir appris... Cela venait de la mémoire de mes muscles ont dirait...Bref

Je me laisse emporter , tenter. Par la violence du combat...

Ce qui me fit vraiment étrange de remarquer. C'était, surtout, le faitque l'on oubli tout....Oubli les principes, les moeurs, les lois....

J'avait même oublié...Oublié que je ne devait que tuer 2 personnes...SEULEMENT DEUX !

Trop tard, cette pensé était trop loin derrière l'adrénaline qui m'envahisait.

Trop tard...Ça me coutera donc la proportionnalité de mes actes , que je constaterais après le combat. Je le dois.

Le deuxième soldat tomba dans son cri (ARG, j'avais oublié l'exp; 40 d'exp chacun pour chacun un garde tué - 100 exp. chacun pour accomplissement dans l'histoire), mais la réaction des citadins fut assez surprenante. Au lieu de foncer sur les deux hommes, ils restèrent loin, en particulier d'Augure, qui lâchait des cris rauques. Certains fuyaient, d'autre les surveillaient, mais une chose vint à l'oeil des deux hommes. Un homme, en armure argentée et lourde. Les blasons de l'Instar partout sur sa cuirasses et une immense épée à sa ceinture, qui regardait de très loin, du pied du palais, la scène sans sourciller. Mais des dizaines de soldats s'amassaient au pied des marches d'entrée au palais.

Je stoppa un peu pour regarder la scène, malgré moi, le démon en moi me possédais de plus en plus. Un rictus malveillant se formait à mes lèvres et je gloussa de la gorge. ce gloussement venais de moi : Qu'allait-il se passer ?

Je lacha un cris puissant venant du plus profond des entrailles de l'enfer, il venait en meme temp de la rage de combat du démon à la vue d'ennemis de taille et de mon desespoir face à la situation:
- RAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA

Je me perçus enfin comme le démon que j'étais, mes cornes poussèrent alors un peu, mes griffes sortis, ma peau rougissais, mes muscles ressortaient: La rage du demon dévoilaient mes capacités démoniaques.

Je restai ainsi et fixer l'homme au loin qui nous observais, je lui lança un sourrir encore une fois malfaisant:
- Que compte tu fair avec ces tas de viandes envelopé de casseroles géantes contre un démon et un fous tueur armé d'une faux, connard ?

Devant cet affront, le commandant Galahad s'avança, laissant ses soldats derrière. Il traversa au complet la grande place et passa à travers de la masse de villageois autour d'Augure et de Masef. En arrivant devant les deux hommes, il lança :
« Vous avez tué des membres de l'armée du Roi et citoyens du royaume. Vous serez jugés équitablement si vous ne résistez pas. dans le cas contraire... vous mourrez ici et maintenant. »
Personne autour des deux cadavres ne bouge.

(Ordre des réponses - Masef-Augure-Galahad ou Augure-Masef-Galahad)

En guise de reponse ce corp que je ne contrôlais plus se mis en position de combat si il attaquait j'allais le contre attaquer et oeil-de nuit aussi et dit:
- Ça fait un baille , Galahad, dommage que cette fois ce ne sera pas ta porte que je vais enfoncer: mais plutot ton crane

J'observit Masef DuLoups d'un air plutôt contrarié.

:- Moi ! FOU !?

Je ris tout haut, Oubliant tous les commentaires et les menaces fait à mon érgard.

:- AhhhAhhhAhhhAhhhhAHHHHHHH !

Mòn dernier exclafement fut comme une phase de transition entre mon rire et mon comportement habituel. Donc , ça resemblait à un rire fort mais bref surtout.

On entendait le vent chanter de douces contines. Le bruissement des feuilles sur le pavé...

Je dis en tout soupirant, je pencha la tête vers l'avant

:- Je ne tuerais plus pour le moment...Sauf si vous m'y oubligez.....BIEN que le combat semble inévitable. Je me retires.

Je regarda Masef DuLoup à présent, en levant la tête rapidement. avec un sourire radieux

:- Viens-tu avec moi ?

Je redevins sérieux , devant le regard de Masef DuLoup. Je redarda maintenant, le 'supposément' prénommé 'Ghalaad', TOUT de suite après la menace de Masef et lui parla dans les yeux. Intensément.

:- Toi fou nous la paix...Tes hommes fond la misère avec leurs règles stupides, QUI SOIT DIT EN PASSANT ! Sont inventés au fure et à mesure, dans le but de nuire au confort des voyageurs....Comme ,par exemple, de retirer le loup de monsieur....Il méritait donc un sort comparable pour tout les gens qu'ils ont probablement tué , en leurs refusant... L'ENTRÉE VERS , LA BELLE , LA GRANDE, VILLE D'IMIAS !!...Foutez nous la paix....Je veu vivre. Paisiblement et me retouver....

Reconnaissant Masef, Galahad fut très surpris de le voir ainsi transformé en démon, mais ne se laissa pas attendrir. S'il souhaitait trahir son pays, il devrait en assumer les conséquences. Voyant ses chances de victoire baisser, il dit aux gardes : « Changement de plan. Tuez-les. Faites particulièrement attention à celui-là, dit-il en pointant Masef, c'est un démon. » Le commandant n'avait jamais vu l'autre homme, mais, d'après son comportement étrange et ses propos peu cohérents, il déduisit qu'il devait s'agir d'une sorte de fou. Il attendit quelques secondes pour laisser le temps aux renforts d'approcher, puis, incapable de contenir son désir de trancher la gorge de ceux qui avaient lâchement assassiné ses hommes, des hommes qui ne vivaient que pour le bien de leurs concitoyens, il se lança à un contre deux, prêt à les mettre en pièces à mains nues si nécessaire.

Le voyant foncer tête baissé contre deux machines de guerres qui étaients moi et augure mon démon ne pu s'empêcher un petit ricanement sombre.
Je me placa en defensive puis fonça a la derniere minute vers Galahad et avec mon poing de fer je saisi son épée et le frappa au visage de mon autre poing.

Oeil-de-nuit profita de la distraction pour attaquer galahad au cou

Laissant une chance a augure pour lancer l'offensive...

Je vit Masef DuLoup foncer sur le connard.

Oui le connard. Que je n'aimais point.

Je le tuerais. Je VAIS le tuer

J'avais compris la manoeuvre de Masef DuLoup, donc , j'agirais comme il serait prévu.


Je fit , alors, un bond en avant sur l'homme en pleine charge. Puis, le frappa juste et fort, comme avec le garde, sur le coté découvert de son corp, avec une légère tendance vers le coup.

Je n'avais donc plus le choix....

maudit soit ma vie, MAUDIT SOIT cet homme, ce 'ghalaad'.

Je devrais de TOUTE façon me repentir après, tant pis....

Plus le temps pour la poésie en ce moment ! L'affrontement fera rage......Peut être sonnera le héraut de mort prochaine pour moi....

Non.

Une haine instantannée et inexpliquée annéantissait la raison des trois hommes que pour certains, avaient déjà combattus l'ennemi côte-à-côte. Les trois hommes se foncèrent dessus simultannément, mais l'attaque du côté de Masef et d'Augure était certes mieux coordonnée et mieux balancée. Masef, Augure et Oeil-de-nuit vinrent pour frapper Galahad quasiment mortellement. Mais à ce moment, une lumière blanche, mais aveuglante, vint percer le regard des trois hommes et ils ne purent, aucun d'entre eux, finir leurs mouvement. Cette apparation fut suivit d'une explosion, ayant pour épicentre l'espace entre les deux béligérants, et ils furent expulsé. Galahad fut envoyé vers le palais, et rebondie sur la fontaine, avant de s'écrouler au sol. Masef est propulsé vers un bâtimenet, sur lequel il fait craquer le mur et Augure est projeté plus loin dans la rue d'où lui et Masef venaient, avec Oeil-de-nuit un peu plus loin. (Galahad -8 PDV (résistance grâce à l'armure), Augure et Masef -10 PDV). Au centre, un nuage d'une fumée blanchâtre entourait une silhouette au centre de l'explosion. La fumée finit par se dissiper, et l'on voyait un grand homme, habillé en habit monacal, et un grand bâton poli et taillé à la main certi d'une pierre inconnu en son sommet. Devant l'exclamation des spectateurs un peu partout autour, il leva son bâton, et d'une voix profonde, mais douce, il commença :
-Qu'est-ce que cette haine qui déchire notre ville, commandant, et cela sans aucune raison apparante? (s'addresse à Galahad)

Galahad: Le coin de votre oeil reconnait l'homme. C'est le grand évêque de la ville, béni des Dieu et saint des hommes. Il est respecté de tous et on lui accorde une grande sagesse.

Augure et Masef : Malgré l'énervement et le fait que vous ne connaissez pas l'homme, vous êtes empli d'une sensation de bien-être et de chaleur.

- MAUDIT SOIT TU ENF--- ergh...Arg
Je sentis une douleur au torse jje tomba a genou .

*ÉVEQUE MEURT!!!*
* Quesse que...?*
- JE REVIENDRAI SALAUD!!

Je sentais les démon partir... je repris peu a peu mes esprits maintenant couché au sol. je me releva painiblement et tempta de fixer la lumiere mais c'était intense donc je mis la main devant mes yeux et dis:
- Quesse qui se passe?

Je regarda oeil-de-nuit qui semblait s'en remettre et Augure qui semblait s'en être tiré aussi, je re-regarda le personnage étrange qui venait de s'interposer

Je me levis du sol.

Je marcha droit devant moi, visant le prêtre de mes yeux ébahis et exorbités.

Je m'arrêta net. Je regarda l'homme doté de la puissance divine , sans aucun doute. Sa puissance , était...

Si impressionnante, qu'il a même surgit de nul part pour me mettre hors d'état de nuire.

Je me suis mis a genoux , a un mètre de lui. en silence je parla à voix basse.

:- Accepter mon pardon...Puissant sage... Pardonner mon homicide, mais je devais me rééquilibrer...J'aimerais beaucoup parler avec quelqu'un comme vous messire. Des forces étranges me hantent........


Je pencha la tête vers le sol. Je préférais me faire éxécuter prestement que d'avoir à faire à une telle puissance. Je devais me faire aider...

Désolé Masef.... Nos routes , peut-êtres seront séparés,,,,

Ça commençait si bien.

Galahad était heureux de l'arrivée de l'évêque malgré la blessure que celui-ci venait de lui infliger. En effet, juste avant que l'homme d'église n'apparaisse, il avait un instant senti qu'il était sur le point de se faire tuer par les deux fous et qu'avec sa mort, plus personne ne pourrait arrêter le mal qui rongeait le monde. C'est sur un ton calme qu'il répondit : « Monseigneur, ces hommes ont tué deux soldats et n'étaient pas enclins à cesser leurs actions et à se rendre. J'admets m'être emporté, mais je maintiens que j'ai agi dans l'intérêt du peuple. S'ils n'avaient pas été arrêtés, nul doute que le carnage aurait été d'une bien plus grande envergure. Si vous pouvez leur faire entendre raison, cependant, vous êtes le bienvenu. »

L'intense sensation se faisait de plus en plus sentir dans tous les environs. Une chaleur. Une douceur. Un bien-être. Comme si tous les malheurs du monde s'était envolé. La toge lumineuse du Saint-Homme continuait d'hypnotiser les vivants, alors que de son bras levé, sa vieille voix rouillé se fit écho aux oreilles de tous :
-J'ai vu. J'ai vu le mal qui s'est manifesté dans cette cité. Mais je ne suis pas un guerrier. Je ne suis pas un mage. Je suis un martyr. Un homme de Dieu. Je ne peux tuer, enlever la vie, même si cela est dans le plus grand intérêt pour notre peuple, car toute créature est de dieu, et nos points de vue ne peuvent être pris en compte. Mais je sais aussi que le mal qui s'est réveillé est une puissance incontrôlable et effrayante. Si en plus des hommes, de nature bonne et sobre, doivent se quereller sans raisons, alors c'est la chute de notre peuple. Et c'est la seule chose que je puisse faire. Mgr. Galahad, vous êtes un officier d'Imias, et donc un messager de la paix. Faites preuve de plus de considération, surtout face à des atouts très interessant contre un ennemi apparament invicible.
Il se tourne vers Masef et Augure, toujours aussi calme :
-Quant à vous, jeunes gens, vos péchés sont péchés. Vous êtes ceux que vous avez voulu être. Je ne vous promets pas une rédemption, mais au moins ayez la clémence de ne pas troubler la seule chose à laquelle vous êtes encore attaché. Tentez de la renforcer, ce pourrait être, de toute manière, une façon de répondre à certaines de vos questions les plus importantes pour quelques-uns, car le mal contre lequel nous sommes connait beaucoup de choses sur les malédictions qui peuvent habiter chacun d'entre vous.
Sans s'en aller, le prêtre descendit son bras, et laissa une vague de chaleur bein-faisante emplire tous les coeurs. (Tout le monde gagne +5 PDV)

La rage qui emplissait Augure était si puissante que même une chaleur comme celle-ci ne pu la renverser...

Ce la pesait si dure sur les convictions d'augure...

:- ALLER AU DIABLE !

Dit-il si fort... Il fit un affront , OUI, mais il le méritait selon lui. Il méritait d'entendre quelqu'un se lever contre la dominance psychologique qu'il fesait sur tous les gens..

Il avait offusqué grandement Augure. Il le fixait désormais, d'une haine sans pareille. Personne s'attardait à ces questions, personne en tenait compte. Ils parlaient tous en proverbe et en devinette.S''en était de TROP !

Il Cria ensuite.

:- PERSONNE DONC NE PEU ME VENIR EN AIDE SUR CETTE FOUTU TERRE !!??

Encore plus enragé qu'avant, après un moment, il tourna les talons et s'en alla ailleurs dans la cité afin de se calmer et de reprendre le contrôle.

Il se dit que Masef DuLoup allait surement le suivre et d'essayer en vain de lui venir en aide...Alors il marcha vite et fort.

Ailleurs.

Car, c'est conviction et sa doctrine de neutralité venait d'en prendre un coup...Il devait réfléchir seul dans un endroit sombre...


Aller tous au diable...

toujours abassourdis , je regardais autour de moi car le prêtre ne me répondais guère. J'observa les alentorus jusqua temp que augure cris aussi fort que lorsque je suis en désarrois ou en fureur. Je le vis partir sans me jetter un coup d'oeil. Je décidai de le suivre....

C'est vrai que personne ne nous viendrais en aide, au moins nous pouvions dépendre l'un sur l,autre

je mis la main sur l'épaule d'augure après l'avoir rattrapé:
- Je suis la.. et tu es la
C'était une évidence.
C'était tout ce qui comptait maintenant...

(Ça peut paraitre étrange, mais Augure et Masef m'a vous changer de sujet, donc aller dans L'autre chemin^^)

Le prêtre ne suivit pas les deux hommes, comme personne d'autre d'ailleurs, et ce dernier attendit la réaction de Galahad.

Voyant qu'il n'avait aucune chance de rattraper les deux fuyards, Galahad se releva sans tenter de les poursuivre. Puis, regardant le cardinal : « Qu'aurait-il donc fallu que je fasse, Monseigneur ? Ces hommes sont un danger public. Si nous ne les arrêtons pas, ils vont commetre d'autres meurtres ! Me demandez-vous donc de les laisser agir à leur guise ? »

-Je vous ai dit de faire part d'une plus grande considération. Le meurtre est inutile. Ils pourraient se racheter facilement. Vous avez besoin d'une compagnie discrète et très puissante pour affronter les dangers de la cité du Nord. Ces hommes pourraient être à la base la clé d'un succès quasi-certain.