Augure... d'une vie

*( jtanné de répondre sans arrêt, alors si ce poste la marche enfin tant mieux mais , des beaux post, jen ferais après pasque la, jai vraiment pu l'envi de faire un beau post, merci de ta compréhgension)*

:- Oui .. Je m'y engage, sois en certain jeune homme... Tachons de partir maintenant, la nuit est encore jeune...

Nous prîmes la toute qui s'étendait à nos pieds.


Mais toutefois je noublia pas la requète de l'autre enfant...


Avec le coeur lourd d'avoir promis, laisser moi en paix je vous prie...

Avec ses 2 enfants je dois partir, sur la route du repentir..

Repentir de quoi, tel est la question, seul le souvenir en est la guérison......

Peu importe le moment , désormais à leurs yeux, je suis bien plus qu'un passant...

Les enfants vous suivirent, écoutant vos paroles tranquilement et gentiment. Sortant de la ville, vous vous retrouvâtes dans de grands champs découverts. À l'Est, vous pouviez voir le soleil qui se levait tranquilement, mais dans l'un des champs, il y avait un grand épouvantail, un peu plus de la taille d'un homme, et plusieurs corbeaux perchés dessus, qui se tenait, fiers et solitaires, dans ces champs cultivables.

(c'est quoi qui avais dans le livre)

Rapidement et nerveusement

:- Rester ici les enfants... je dois aller voir cet homme.........................

Je m'attendais a cet habituel regard d'incompréhension de leurs parts. Mais je n'en fit rien.. je marcha alors vers l'épouventail , qui me fesais pensser étrangement à celui qui se trouvais près de mon lieu de résurection.

Le décord était à couper le souffle encore une fois, c'était un panorama plus joyeux et plus coloré que celui de la nuit dernière , près de la taverne.

Les couleurs reflouaient les avènements des roi d'antan, le courage et la force que ça necéssitées pour battir des royaumes comme ceux que l'on vit aujourd'hui... l'épouventail semblait vivant. Il semblait attendre la venu d'un héro sur cette terre isolé. Lui placé si bien au millieu d'un d'écord que l'on pouvait qualifié à la fois cataclismique et fabuleux....




Devant une tel beauté , on ne peu que s'incliner...

C'est l'effervescence des peintres et des poètes, et pourtant si rare sur cet planète...

À chaque jour nous avons droit à un spectcle de la sorte, peu importe les émotions qu'il t'apporte...

Qu'il en sois de votre boulot, pour assister à ça il faut se lever tôt.........

Alors que vous vous agenouilliez, les corbeaux partirent à s'envoler, derrière les chuchotements des enfants. L'épouvaitail restait immobile, malgré toutes les incroyables luminescences, et rien ne se produisait.

( tanné de passer 10 min a poster alors que sa rapporte FUCK ALL E RIEN ... pi en plus mon ordi détruit mon post...)




je reste en genoux devant l'épouventail , et je geule aux enfants de s'en venir vers moi parce que c'est dangereux. j'attend que quelque chose se passe

Les enfants revinrent assez étonés de votre changement subite de comportement. L'épouvantail resta immobile assez longtemps, presque cinq minutes. Rien ne se passait, rien ne changeait, jusqu'au moment ou une brume, sombre, ténébreuse, commença à s'éléver des membres de l'être en paille. Elle s'élévait de plus en plus haut, formant une sombre cheminée noire, noire d'encre.

(EN FIN DE LACTION ' CA SA MÉRITE DE BIEN ETRE POSTER !! ^^)

:- Désolé de me contredire les enfants,..:

:- Retournez vous

:- COUREZ VOUS CACHER

:-... Et si il m'arrivait quelque chose.... restez cachés et attender que ça se passe... Puis suivez la route qui conduit au village la-bas.

De plus en plus près à combattre une éventuel menace... Une âme de poète j'ai , mais je sais désormais que jai des compétences guerrière...

Des cors imaginaires survenaient derrière moi...

Les percussion fesaient rage et présentiment d'un événement inatendu...

Une nouvelle intrigue dans ma miraculé de vie....

Les bois maintenants me poussais a lever ma garde, à tendre la faux et à reculer de quelque pas

Tout les éléments étaient réunis pour que je mène un duel avec ce sois disant épouventail et... et... que j'en resorte vainqueur !

OUI ! J'en resortirais vainqueur , car j'ai maintenant quelque chose à faire.. Ces enfants ont besoin de moi et je ne faillirai pas à ma tâche... C'est tout ce que j'ai comme but, alors autant y persister. Mais le sentiment de danger s'estompa... Je sentais du mystisisme dans cet ombre ténébreuse plutôt que de l'agressivité...

Peut-être me trompai-je ? Mais je préfère d'avantage me fier à ma propre intuition , que de croire l'image populaire des sombres phénomènes mystiques, ténébreux soit-en.....



Selon moi, les gens devraient toujours remettre en question ce que les sociètés et les groupes d'influences disent d'abjections....

Les gens devraient se comporter en humain et non en mouton, malheureusement la paresse les à gagnés et se laissent guider d'un geste prompt....

Les gens devraient éviter la vox populi, et se tourner face à un mirroir, comtempler la personne qui s'y trouve et croire uniquement en lui.....

Mais comme la violence et la pauvreté , sans eux il n'y à plus d'humanité..................................

Dans la fumée, l'épouvantail commença a se consummer. Des cendres noires s'envolaient vers le ciel, et il se dégradait tranquilement. Lorsqu'il fut à la moitié, une tête d'homme encapuchonnée commença à se faire apparaitre. Un homme à la peau sombre et obscure.

Je resta là, quoi que mes convictions étaient maintenant afessé. Ce sentiment de peur revain à la charge avec la vision des choses qui vies avec...

Je resta là , car je ne pouvais m'éfondrer après un tel discours.

OUI avoir un esprit de guerrier est bon ..... Mais il n'à que de valeur qu'avec le COURAGE

Le courage est la valeur des guerriers, plus son courage est grand plus il ets légendaire !

Qu'il en sois de mourir........... C'est avec ce genre d ecourage que des contes et légendes son nés......

Donc, je resta la malgré tout les risques que je couraient, au péril de ses enfants, au périls de ma vie, de mon destin......................

l'effort que sa me demandais de rester là , fesait trembler mes jambes , pourtant assez musclé, sans doute était-je un guerrier avant ma résurection....

Je ne savais pas ce qui m'attendait , et j'était assez près à l'affronter.......... Mais pourvue que ça tarde pas à arriver , car mon courage menaçait de lacher à tout momment..................

Aucune poésie me vain en tête.... Pour cette première foi........ La force que sa demandait de rester debout (genoux fléchis) devant la créature, fesait en sorte que l'inspiration restait tapie...

l'heure était à la sueur , aux larmes et au sang et non aux sérénades et contes !

Vous entendîtes des gémissements qui ne vous dérangèrent point derrière vous, alors que l'homme continuait de se découvrir à travers les brume sombre. Peu de temps après, l'épouvantail s'était complètement évaporé, et un homme a la peau sombre, la tête couverte d'un couvre-chef et avec une grande toge noir, une épée a la ceinture, se tenait à genoux et murmura :
-On... On me dérange?

Rassuré que cette créature, ou du moin je pouvais l'appeler ainsi pour le moment...

Bref, j'en était assuré , car au lieu de me sauter à la figure comme une créature sans cervelle le ferais , il a aborder la conversation.

Je répondis , avec certitude , avec mon visage toutefois neutre

:- SI je vous est dérangé , je m'en excuse. Mais je dois vous expliquer ma présence , par l'attirance que j'avais envers votre avatar , l'épouvantail....

un Moment de lunatisme suivis , comme si je parlais à un vulgaire passant, ou peut-être ne savais-je pas à quel danger je fessai face, mais j'opta pour la diplomatie. J'attendais sa réaction avec peur et impatience....

Du ciel descendirent plusieurs corbeaux qui vinrent se poser autour de l'homme, croissant fortement et terriblement. L'homme répondit d'une même voix stagnante et immobile :
-Comme ça mon épouvantail t'interessait. Sâche que ses vêtements sont ceux de la dernière femme que j'ai mangé hier soir et que la paille est en faite de la peau... que j'ai trouvé sur des passants. Ils me permettent de me purifier... Aimes-tu toujours autant mon épouvantail, fou!

De devoir répondre à une question me réconforta encore , car sa impliquais logiquement qu'il voulait me parler , si il voulais absolument ma mort , je le serait déjà... Je répondit à sa question

:- Je ne vous cacherez pas ma peur monsieur, mais je dois vous avouer que je crois connaitre pire que la souffrance qu'implique de mourir de votre main... Ce qui pourquoi votre épouvantail m'a amené à vous, il y en avais un presque pareil près du lieu de ma ... de ma résurrection.....

Et avec une soudaine ironie tout en penchant la tête sur le coté . je poursuivis:

:- Et... Et je me suis vêtis de ses vêtements.....

je baisa la tête maintenant et l'ironie que j'avais dit avec un sérieux exemplaire, m'entraina soudain dans un fou rire , car je constata maintenant l'humour qu'il y avais dedans.

Je me mis à rire assez fort pour qu'il m'entende. Cela donna toute fois un aire diabolique , car j'avais laissé ma tête baisée vers l'avant...

Ceux qui me croivent fou , disent que je le suis.....

Pourtant je ne suis pas né dans un monde différent que celui-ci.....

La folie est dans l'œil de celui qui écoute et qui vois, mais n'a de sens pour lui....

Après tout. c'est peut-être vous le dément, qui est responsable de cette étourderie.........

-Très drôle... Tu m'as assez fait perdre de temps ainsi.
Alors, il baissa a nouveau la tête et les corbeaux levèrent les ailes. En poussant un croissement strident, les trois foncèrent en volant vers votre visage.

Je donna un coup de faux dans le vide (faux placé de profil), pour éloigner les corbeaux et éviter qu'il me blesse, mais non pas de les tuers. DU moin , tant que ce n'était pas nécessaire..

Ce geste était simplement expliqué par le présentement que si je tuais ses corbeaux, il ne pouvais qu'avoir davantage de rage et aussi par respect et compassion par cet oiseau , qui est mal aimé...

...et de mauvaise Augure...

Ce respect soudain n'avais toutefois encore , comme le reste de mon existence , aucun sens.. c'était un sentiment que je me devais de respecter , car c'est tout ce que j'avais comme piste de guérison , de ma , peut-être bien , amnésie....

Enfin je penses...

Voyant la faux dans la air qui leur passa au nez, les trois oiseaux cessèrent leur allure. Leurs petits yeux noirs fixaient la lame de l'arme, pendant qu'ils battaient immobilement des ailes. Derrière, l'homme était toujours à genoux dans la fumée violette, et un sourire narquois apparu sur son visage :
-Et bien.... interessant...

Un peu ésouflé par ce geste qui a fait image une fois de plus de mon courage qui dépassais mon entonnement
je répondis

:- Qui à t-il ?...

Ne montrant pas ma colère d'avoir dut faire face à une attaque orchestré par lui...

Mes yeux reflétait celui d'un corbeaux , mais je ne pouvais le remarquer par moi même , mais mon interlocuteur le voyais lui....

Je tendis la main pour qu'un corbeau se pose sur mon bras, peu imposte la souffrance qu'il couterais , je voulais fixer ces yeux qui avais éveiller en moi un frison provenant de mon échine allant jusqu'au bas de ma colonne vertebrale...

Au final , je m'était presque pris d'affection pour ces animaux...

Le corbeau vint se poser sur votre bras doucement. Tout semblait bien s'orchestrer, tout semblait de votre côté. Un deuxième vint se mettre sur votre bras. Il y avait une sorte de connexion entre vous et ces animaux. C'était... naturel. Mais malgré ça, l'homme à genoux ne changeait pas d'humeur. Il devint même encore plus heureux. Il dit :
-Quelle joie, cela fonctionne.
De derrière, vous entendîtes une petite voix, caverneuse et oublié, qui vous rapelait quelque chose, mais avec une nouvelle nuance, qui dit :
-Monsieur...
Jetant un bref regard derrière vous, le jeune mendiant, le plus vieux, avait délaissé son frère, alors qu'il était voilé lui aussi d'une fumée violette, ses yeux étants noirs, et son front sale. Alors, d'une voix plus ténébreuse, de la même voix que l'homme à genoux, il dit :
-Monsieur...

ça y est . la peur qui était maintenant au stade de la terreur , m'avais gagné. Les yeux écarquillé....

j'avais craqué....

je hurla de toute ma peur que je m'était efforcer de garder , mais à présent ce n'était plus la peine

:- AAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!

Les corbeaux par mon crie , croassèrent et volèrent dans tout les sens , tel la plus décadente des peintures....

Je me recroquevilla sur moi même... Je tremblais j'étais en état de choc...

Mais je me releva... Pour pouvoir enfin admirer mon courage, seulement je paraissais toujours et encore cinglé, grace à ce genre de revirement brusque d'émotion.... et je me mis à genoux face a la créature 'épouventesque' et je dit avec découragement et résumé à mourir , ma mission devenue dorénavant deux enfants démon....

:- Dites moi donc ce que vous me voulez.......

Après un moment, J'avais les dents serrées et je paraissais terriblement moin neutre à présent, mais bien enragé et déterminé à savoir ce qu'était ce guet-apens pour me forcer à hurler peut-être...

j'attendais ma réponse avec la plus grandes des impatiences , mais avec la peur qui régnait dans l'air encore et semblait perdurer....

-J'ai peur monsieur... répliqua la voix enfantine du jeune garçon, qui avait remplacé la grave voix de l'homme.
De derrière, vous entendîtes la voix qui dit :
-Voyons voir si vous réussirez à vaincre l'emprisonnement spirituel que je leur ai fait.
Le regard du jeune se modifia aussitôt et dans un élan il courru vers vous, désarmé.

:- Je vais te libérer mon enfant ,... Tu es toujours mon objectif numéro un.....

d'un coup je trancha la gorge immobile de la créature qui possédait en ce moment le jeune qui courais en ma direction...

Le sang giclais (inévitablement..) sur moi , ce qui me procura un bien bonne satisfaction...

Je me tourna rapidement pour stopper la course du jeune homme , et le plaquer au sol , le plus doucement possible...

L'homme à genoux ne broncha même pas, et sa tête partit d'un seul coup. Le liquide rouge écarlate vint tacher le sol, et vos propres vêtements. Sur le coup, l'enfant tomba sur le sol, dans un état de transe. (+20 exp.) Dans le ciel, la fumée violette comença a se dissiper, mais un murmure, comme le vent dans l'air vint se faire entendre :
-Ce n'est que le commencement.

Aussitôt ce message passée, je me rua vers l'enfant au sol , pour constater son état...

Pendant ce temps je fixa l'autre garçons , son frère. pour lui demander de venir me rejoindre un fois pour toute...

Je regarda le ciel enfumé... Et je pria pour que l'une de mes opus lyrique vienne l'aider , car cela lui plaisait beaucoup, au dernière nouvelle...

Mais je les dits à hautes voix pour que tout le monde (moi et les 2 garçons) entendent bien..

:-

Puisse notre seigneur accorder un souffle de plus à ta jeune vie....

Que le sombre voile de la mort s'écarter de toi par courtoisie......

Aussi que la chance te guide , vers ,malgré moi , le même chemin que je n'est guère choisi.......

D'où tu es, s'il te plait revient parmi nous, je t'en pris.........................................


silence de mort.

L'enfant était tombé au sol, mais à peine vous eûtes vous approché qu'il commença à bouger. La fumée ne montait plus au ciel, ses yeux étaient redevenus normaux. Avec son petit visage enfantin épuisé et massacré, il vous regarda avec pitié :
-Monsieur...
Mais il vous laissa fredonner votre air, qu'il écoutait avec joie. Le plus jeune vint s'agenouiller près de vous. Pendant le silence qui suivit, une voix se fit entendre derrière, aussi forte et claire qu'un cor :
-Hey! Le jeune! Tout va bien où vous êtes?
Ernest arrivait, trainait par deux hommes.

:- Cette aventures les enfants est sur le point de finir...

Dis-je avec un sourire.

Je leva les mains très haut dans le ciel et je dis

:- Ici Ernest ! On est Ici !

Je savais qu'il m'avait vue , moi et les enfants.. Eux ils sauraient probablement la route pour aller à la ville , ou je pourrais alors , m'organiser pour trouver un endroit pour ces deux malheureux, un logis....

J'étais soudain pris d'une brise qui balaya mes cheveux , et je sentis un frison encore,, mais un excellent frison... Celui de la satisfaction ! Je contempla le corps inerte de mon adversaire , et la fierté m'a pris. J'avais beaucoup travaillé pour sauver la vie des deux jeunes. Et j'en sentait le mérite à présent....


(poèmes à venir , pour l'instant , nul besoin d'en écrire un . Mais trêve d'inquiétude ^^ )