Augure... d'une vie

Les rires et les plaisanteries allaient de bon train dans cette charmante taverne du Sud du pays. Les hommes s'amusaient, les femmes dansaient, et le tavernier avait du travail plein les bras. Mais vous ne l'étiez pas pour autant... Dans votre coin de mur, vous vous étiez renfloué sur vous même dans une ombre ténébreuse. Rien n'était plus pareil autour de vous... Rien. Malgré votre solitude, vous entendiez assez bien les discussions des autres fréquenteurs de la taverne, et l'un d'eux, fort bruyant, attira votre attention :

-Et je vous dit, c'est à plus de 20 jours de bonne marche. C'est un pays de malheur et de souffrance. On aurait dit qu'il leur manque toujours de quoi. Nous avons combattu ces ombres. Elles sont atroces. Rien à voir avec les brigands et les gobelins du coin. Ceux là sont de vrais ennemis, atroces, assoifés de sang et avec quelque chose entre les deux oreilles. Et on m'a dit qu'elles pourraient venir jusqu'ici, en Instar... Elles cherchent quelque chose...

Son visage , à peine remit des traumatismes précèdent, se tourna vers ce cabotin en plein spectacle a la lueur des bougies...

Le récemment renommé Augure repris s'ajusta sur sa chaise. La bruyante conversation là bas suscitait en lui une grande curiosité et puis il Prit un moment pour réfléchir, ça allais être son 2e vrai contact avec un autre humain depuis cette traumatisante rencontre avec son supposé village natal... Il compta jusqu'à trois

:-1...

:-2.....

Il se leva avant même le signal qu'il s'avait mentalement donné. Il constata qu'il avait bien fait , car a trois , sa aurais été trop tard... il aurait perdu toute motivation. La réinsertion sociale était vraiment difficile pour lui.

:- Bonsoir Mon seigneur... Je n'est pas pu m'empêcher d'entendre votre conversation..

Il n'était pas encore rendu a lui que les mots avais déja déboulé de sa bouche.. Il se repris , une bonne fois arriver devant son interlocuteur.

:- Bonsoir Mon seigneur... Je n'est pas pu m'empêcher d'entendre votre conversation , et j'aimerais que vous m'en disiez plus sur ces environs et de ces fameuses créature rodant bien loin...?

L'homme allait surement se demander d'où il venait , alors il répondit tout de suite à la question.

:- Et je viens d'un village a 2 jours de marche d'ici , en piquant a travers la forêt !

Celui-ci ne semblait nulement vexé ou intrigué. Son sourire radieux laissait par contre deviner quelques bulles d'alcool dans son cerveau :
-Mais c'est un plaisir mon p'tit gars, viens t'asseoir avec nous, ça nous fera un plaisir de te raconter nos incroyables histoires. Je suis Ernest, du cinquième régiment. Ne t'inquiète pas, je ne suis pas un déserteur.
Il se recula d'en-dessous de la table, montrant à la place d'une jambe droite un mognon assez petit.
-La guerre m'a joué des tours et j'ai malheureusement eu la nécessité de venir ici. Tu veux savoir ce que je sais sur ces ombres. Bah, beaucoup de rumeurs circulent. Je peux t'affirmer qu'elles ne sont pas repoussantes du tout. C'est comme un petit brouillard noir que tu peux frapper avec une épée.
Un rire parcourut les auditeurs, et il continua ce qu'il disait.
-Sinon, on dit qu'ils viennent à la recherche de quelque chose. On raconte d'une forme de vie éternelle, ou quelque chose du genre. Mais ça ce ne sont que des rumeurs.
-Je sais pourquoi ils sont là : lança un des hommes à côté d'Ernest. Ils viennent gouter aux bonnes femmes robustes de l'Instar.
-Faut dire qu'avec des elfes noirs, il vont se décourager vite.
Et un nouveau rire parcourut l'assemblée.

AUgure ne sembla définitivement pas habitué à ce genre , il ne rappelais même plus se genre d'humour et ce qui poussais les hommes à y rire tant...

Il ne pouvais pas cacher son regard interrogatif mais le mot qui avais sortis plus tôt de la bouche de l'estropié lui avais donné un frison qui parcourra tout l'échine dorsal , le mot : éternelle. Ce mot fessait comme un écho dans sa tête... Il pris une bonne respiration et repris son calme.

:- je m'interroge surtout sur ce que vous voulez bien dire par ils cherchent une forme de vie éternelle ? Qu'est ce que sa veux dire ?

le fumet de la viande du tavernier, qu'il allait servir à une autre table, lui parcourra le nez. Ce fumet divin lui fesais l'effet de millions de chauve-souris dormante qui se réveillait suite a un bruit qui a alarmer toute les parties de son estomac: La faim.

Son estomac grouilla avec un bruit sourd, comme si sa fessais des semaines qu'il était vide. Augure se tut, mais son estomac parlais pour lui, mais il préférait attendre la réponse a sa question que de manger tout de suite... mais avec quel argent...

Avant de répondre à votre question Ernest vous lança gaiment :
-Servez-vous en tous un peu! Je paie le fumet. Toi aussi Augure, prends-en un morceau.
Les autres hommes se jetèrent dessus, et il restait de la viande de la cuisse de la dinde que l'aubergiste avait amené.
-Tu sembles assez ambitieux mon jeune homme : lança Ernest. Si tu veux mon avis, ce ne sont que des rumeurs ayant souffert du bouche à oreille. S'il y avait eu une source de vie éternelle sur quelconque place des terres connues, il est certain qu'on les aurait découverte. Mais pourtant, c'est assez difficile de savoir pourquoi ils viennent.
L'assemblée s'était tu et écoutait maintenant votre discussion.

Pris d'une vague de sentiment il ferma tout à coup les yeux, devant tout les regards fixé sur lui... Intrigués, surpris, pensifs, vexés. Tout cela n'était qu'un bref aperçu de l'émotion qui émanait des regards posés sur lui..

un mot s'échappa de sa bouche encore, mais cette fois ci cela apparaissait comme un cris du coeur avec un accent prompt au blasphème.

:- Peut-être que l'éternel recel de la mort elle même..

cela se poursuivit avec un brève pause.. qui ne fut interrompu par personne.

:- Elle éclaire les chemins des damnés et assombris le cœur des jeunes gens... Hautaine, elle prend la forme d'un voile réconfortant dans vos dernier instant..............................

Il ouvra les yeux et allais constater la réaction de tous... peu importe soit-elle.

en attendant ça. Plus sérieux et moins apeuré par le contact humain , il commença à manger , à commencer par une cuisse de poulet, qu'il manga avec appétit devant l'audience plus silencieuse. Qui aurais du d'ailleurs le mettre très mal a l'aise.

Le moment de silence fut quelques temps troublant, mais après quelques instants, les hommes éclatèrent tous de rire. Dans son amusement, Ernest lança :
-Ayoye, t'es un méchant rigolo mon p'tit gars. Aurais-tu pris un peu trop d'alcool ce soir? Tes idées semblent confuses.
-En effet, lança un autre homme, il n'a pris qu'un demi-verre!
Et les rires repartirent. Des musiciens entrèrent et une ambiance bonne enfant s'installa.

Augure N'en fut guère ofusqué, i se contenta de se dire à quel bande d'idiot il fesait affaire, des idiots souls en plus... Mais cela n'aida toutefois pas à sa confiance en sois qui venais d'être rudement secoué.

Augure fini de manger convenablement en compagnie des brillants hommes. Après, il se retira dehors pour y respirer la brise fine de la nuit qui en était à sa moitié. Il décida d'explorer les environs armé de sa faux particulièrement mytérieuse. Mais avant d'y aller , il tâta son intérieur de chemise, où il se trouvais la courois de cuir par laquel le livre était accroché, afin de vérifier si il n'aurait pas été subtiliser pendant se fameux diner. Ce livre était tout autant important pour lui que cette faux. Dans les vagues souvenirs venant de sa résurection, récuperer ses deux items avait été comme un réflex qu'il n'avait toujours pas compris. Mais quand le moment de poser de la question de l'utilité de ses objets, il opta pour les conserver. Peut-être y avais t-il quelque chose à faire avec sa ?....

Vous sortez de l'auberge et arrivez dans une petite ville... silencieuse, mausade, voir même macabre. Aucun son ne se déplace réellement. Un chat partit et traversa le chemin principal. Même la taverne était devenue silencieuse. Un brouillard se levait. De la fenêtre de la taverne sortit Ernest qui regarda dehors, inquiet, et qui lança :
-Qu'est-ce qui se passe?
Cette question vous tracassait autant que lui, car dans votre coeur, un nouveau sentiment se fit sentir. Un stress soudain, incompréhensible... La peur.

Augure n'aimais guère cette impression de stress intensse, cette ... Peur....

Il répondit a Enerst

:- JE ne le sais guère Monsieur, peut-être vos fameuse ombres !?

Il y avais un pointe d'ironie dans cette phrase, mais l'heure n'était plus à la rigolade , les hommes se préparaient à ce qui pourait bien être un affrontement. Et Augure en ferait parti...

Il ne préféra pas y songer , de PEUR que cette réfléxion apporte le malheure. Il pria pour que ce ne sois que les intempéries de la région.

Un sentiment d'effroi volait dans l'air, comme un spectre invisible qui hantait les coeurs des hommes. Jamais cela n'avait été sentit dans ce paisible village. Ernest, supporté par d'autres hommes en armes, sortirent de la taverne. Il dit :
-Ça ressemble à ces paysages au Nord... Je n'aime pas ça.
Tout autours le silence de mort reignait. Un silence de peur et d'appréhension. Le brouillard grossissait silencieusement, jusqu'à ce qu'un hurlement déchira la ciel, vers votre gauche, hantant la nuit.

Étant à ce que l'on peux appeler la limite de la couardise, je préféra mabstenir de faire sus a l'ennemie,laissant ma place à ces hommes d'éxpérience. Alors , je pris place en arrière des hommes d'armes qui criaent à la guerre , moi mon inquiétude ne fut guère innaperçue par les hommes quand j'eu enfin pris ma place au sein du rang qui se formaient à l'entré de la taverne.(Faux à la main) Craingant le pire, mon premier réflexe fut de constater mon livre que je n'avais toujours pas ouvert et , malgré la situation, piqua rudement ma curiosité. Je savais que se combat pouvais me ramener à ma tombe... Alors je préféra avant un éventuel trépas, regarder de quoi parlait se livre myterieux qui était près de ma tombe... même si l'heure n'était pas encore à la rigolade comme je dirais....


(ça commence ici , mon personnage commence a retrouver son ancienne pation qui était l'écriture et la poésie... alors a chaque fois il y aura une rîme ou quelque chose du genre qui représentera le décord tel que je l'imagine et tel que Augure le voit. Et ça sera en italique.
Au Plaisir des lecteurs^^ merci)

Ce sombre décord fesait allusion à la plus sinistre des poésies, des plus grandes infamies ou..À tout ces peuples endormis...

Il n'y avait que ces rîmes malveillantes qui guettaient mon esprit, ses idées dicidentes qui assombrissaient la nuit, mais.... C'est au petit matin que ce peuple réalisera l'empleur du délit...

Avant d'ouvrir le livre il fut ébahi d'entendre de tel phrase sirculer dans sa tête. Il comprit soudain ce qu'était ces vagues d'inspirations, dont l'intervalles d'avénement était plus fréquant. Et il aimait cela , ça le... passionais........

Tout bas , il dit
:- Note à moi même d'avoir toujours un parchemin sous la main et une plume. Il est temps de receuillir cette... Inspiration

Devant le petit contingent de 6 hommes (Augure comptant), trois chauves-souris géantes, de 2 mètres d'envergure, sortirent de la brume. L'une d'entre elle vint planter ses serres dans la tête d'un des hommes, qui hurla à son tour, mais les autres soldats, plus à l'affut, bloquèrent les pattes acérées. L'une d'elle vint, après l'arrivée, vers Augure, qui la vit instinctivement du coin de l'oeil.

(de quoi parlais le livre ???? tu as pas mentionné ...)


Tel un jeune écuyer sans expérience et ni de compétence réel, je mit ma faux devant moi pour me défendre d'un attaque qui ne saurais tarder. Déçu de ne pas avoir pu regarder le livre avant de me battre. J'avais si peur de mourir que je tremblais en tenant ma faux. Mais la peur n'avait toujours gagnée mon visage. Je restait impassible de l'extérieur, exeption faite des mes mains. Tout se passait dans ma tête, je regardais l'immonde créature ailée devant moi. Elle me regardait dans les yeux , tel la bête dans un combat titanesque opposant celle-ci à le genre humain. Mais se combat était pour moi... Je pris mon courage à deux main tremblantes. Le stress , l'adrénline , la peur , la rage , Tout m'avait gagné quand fit un pas en avant et fendit l'air avec mon arme sur la tête de ce monstre.

Je navais toujours pas remarqué que j'avais crier si fort que les autres autours de moi avaient fléchi les genoux ou avait tourné la tête.


Le crie avait retenti dans l'âme des alliés comme dans celui des ennemies, pour une fois , ma faux et moi, étions unis.

Dans ce dernier instant , dans cette parcèle égarée du temps.

Plus personnes n'était à présent , uniquement moi et mon opposant.

Nous affrontant pour notre survie, dans une douce symphonie de grognements démoniaques et d'attaque sans merci. Dans un moment indéfini...

(inquiète toi pas, ça va venir^^)

La faux fendit l'air, et elle transperça les ailes de la chauve-souris qui arriva. Augure la ramena jusqu'au sol, et la bête, malgré ses ébats, restaient clouée. Les soldats mirent fin à la vie des deux autres. Les yeux de la bête étaient fixés sur vous, ils renfermaient la haine, le trouble, et en même temps, vous ressentîtes cette peur, qui vous avait marquée un peu plus tôt.

Augure , à cause de sa peur, ne put achever la créature. Alors, il recula et continua à fixé la créature étrangement. ,même si ses pas allaient désormais vers l'arrière. Au bout de quatre pas, Augure arrêta et regardait du coin de l'oeil , si les hommes allaient avoir le courage qu'il n'avait lui même pas eu...

:- Ce n'est que partie remise..... Laisse moi encore du temps

dit-il silencieusement vaguement à l'intention de la chauve-souris géante.

Il fit ,de suite, volte-face , peut importe le risque, Augure en était lassé et me demandais qu'à se calmer et de reprendre son rytme cardiaque habituel.

La chauve-souris maintenant libérée, elle répartit à voler, mais ses blessures dans les ailes ne lui permirent qu'un vole instable et elle retomba au sol. Alors que vous la regardâtes, une épée vint transpercer son crâne, et elle s'effondra au sol (23 exp.) Le brouillard se dissipa et le village revint normal. Vous fûtes surpris de voir les trois cadavres fondrent litérallement en trois nappes noires épaisses, gélatineuses.

je m'en alla discrètement. Je ne désirais pas retourner dans cette taverne. Je voulais explorer les environs. Marcher

Je n'avait pas peur de la nuit. Bien au contraire. Je n'en était que plus exacerber, de ce quartier de lune qui éclairait la poésie qui était la mienne...

Je pensais a devenir troubadour.... Jaimerais bien ce métier...

Dans mes songes, je continuais à marcher dans les chemins sombres de l'Instar, perdu dans mes pensées.

Les soldats vous laissèrent tranquille. Ils repartirent dans la taverne, mais de moins bonne humeur qu'au paravant. Parcourant les petites ruelles de ce village, vous tombâtes sur deux personnes, deux jeunes enfants, qui arrachèrent une touffe d'herbe qui poussait et qui se la séparèrent en deux, pour ensuite la manger. Leurs habits étaient brisés, déchirés, tout comme l'était leur corps et leurs âmes. Vous voyant marcher ainsi, il se précipitèrent près de vous, et celui qui semblait un peu plus grand vous demanda d'une voix faible :
-Par pitié monsieur, un cuivre pour nous. Par pitié.

J'était vraiment sensible au sort de ces enfant démunis. Mais je malheureusement je n'étais pas plus riche qu'eux...
Je leurs répondîtes d'un regard triste et sincère puis:

Je les regarda de haut

:- Les enfants, je suis navré de votre sort, mais je dois vous avouer que j'aire sur ces routes avec autant de sous que vous... désolé , dieu vous bénisse , dans le cour de vos vies...

je repartis, visage encore impassible ,devant moi , la route s'étendait au loin. N'attendant que moi



Les pauvres malapris , promus à un avenir démunie....

Ça vous fend le cœur en morceau , même depuis le berceau

Mais tous , nous continuons avec ou sans la bourse pleine, laissant ces gens nécessiteux dans leurs peines

Là on reconnais le coeur des bons, quand ces regards vous accrochent et vous faites finalement un don...

Alors que vous repartiez tranquilement, vous sentîtes quelque chose qui tirait le bas de votre chemise. En vous retournant, vous vîtes le petit garçon, qui recula de deux pas, et pointa votre grande feau en demandant :
-C'est quoi cette grande fourchette monsieur? Et pourquoi vous parlez au sol?

Ce mot m'échappa encore un fois.....

:- La faux des pères.... faucheuse des âmes... Devant elle , nous sommes tous égaux. Devant mon exemple de neutralité parfaite, elle s'emparera de vous.

Je m'attendais, à mon grand désappointement, à un visage envahi d'intrigue et d'incompréhension.. Ce que je venais de dire je m'en était d'ailleurs toujours pas remit, car ce genre 'd'échappement' venais d'un endroit de moi même que je ne connaissait guère et qui me fessais ombre d'un périlleux mystère. Dont j'avais peur d'affronter.

Pourquoi ça survenait toujours quand on me posais des questions sur ce que je suis ou sur ces lugubres objets dont je m'était affublés.....


La faux des pères s'est hautement manifesté, au cours de ces siècles troublés...

Elle va et vient au fil des saisons, mais servira point à la moisson...

Elle fait son œuvre dans de nombreux village partout sur cette terre, Ô toi funèbre instrument qui fait de moi un être relié aux cimetières....

Vous qui vous permettez de lire mon opus lyrique, détrompez vous, je en suis guère un troubadour... Et un jour, à ma grande réjouissance, se sera votre tour....

Les yeux de l'enfant semblaient passionnés, mais alors que les vers commencèrent à sortir de votre bouche mélancoliquement, il fut pris d'un léger rire.
-À qui vous parlez comme ça? Mon frère aussi parle au plancher, mais ça c'est quand il dort!

:- Je parle à celui qui veux bien m'ettendre, garçon.

Je n'étas véritablement et decidément pas doué avec les jeunes hommes..

Mais, il était trop tard pour repartir en vitesse maintenan.. J'avais succombé à son regard rempli de lumière Alors je mintéroga :

:- Que compte faire maintenant jeune homme? Tu ne peu point rester dehors à cette heures à mendier les rares passants... Venez avec moi.. Je vais truver un moyen de vous quérir un logis pour la nuit..

Je ne me connaissais pas si généreux, mais je savais que ce que je m'appètais a faire, était bon...

Mais seulement je venais de rendre ma tache encore plus difficile , ces enfants était désormais sous ma protection.

En entendant vos paroles, vous pûtes voir luir dans les yeux du jeune garçon des perles fines et brillantes. Il partit à toute vitesse vers son ami, ou son frère, et ils revinrent :
-Vous seriez trop aimable de nous aider!
Alors qu'ils attendaient leur réponse, le deuxième demanda :
-Est-ce que vous pourriez recommencer les phrases avec les jolis mots s'il vous plaît?