Rey Le Réprouvé

-Mais bien sûr voyons! dit-il, un peu amusé et intrigué. Je trouve en effet cette question étrange. Vous n'êtes pas de la région hein?

Reyan ne répondit pas à la question. D'où il venait n'avait aucune importance, et d'ailleurs, la réponse était évidente par sa question.

-Ce que j'ai à vous dire ne vous plaira certainement pas, mais c'est important. J'ai été attaqué par une bande de puilleux au lac il y a quelques minutes. Ils ont jeté un cadavre à l'eau, et l'un d'eux m'a dit qu'il s'agissait de vous.

-Et bien, c'est fâcheux tout cela. Il est clair que de toutes évidence ce n'est pas moi, mais alors...
Derrière le maire, une femme svelte arriva et demanda :
-Éric, peux-tu bien me dire ce que tu fais à la porte à cette heure-ci?
-Ma chère, laisse-moi je te prie, j'ai une affaire urgente à régler avec ce monsieur.
-Ouin, je vais me coucher en tous cas... : lâcha la femme.
Alors, le maire Éric retourna son attention sur vous.
-Pourriez-vous me dire exactement ce que cet homme vous a dit à propos de moi. Peut-être pourrais-je y déceler quelque chose.

-Le maire du village des collines dit-vous... Cette appelation est fréquemment utilisée pour le village se situant sur la route Nord d'Imias, à environ 10 kilomètres d'ici vers le Nord-Ouest. Cette histoire est très étrange. Si quelque chose est arrivé à ce maire, il faut en prevenir immédiatement les autorités d'Imias. Je vais me changer et j'arrive... Nous partirons sur le champ. Veuillez entrer pendant ce temps, si vous voulez bien.
Le maire vous offre l'opportunité de quitter le cadre de porte pour venir vous asseoir sur une chaise en bois non-loin de ce lieu.

Reyan hocha l;a tête d'un geste sec, acceptant l'hospitaliter du maire. Il s'avança dans la maison, ne retirant ni manteau, ni botte. Il s,assit sur la chaise indiquée, plus ou moins à l'aise, peut habituer d'entrer chez les gens, encore moins de se voir ainsi offrir l'hospitaliter. Il attendit là que le maire soit près.

Cela pris deux minutes et le vêtement de nuit du maire fut remplacé par une veste de voyage, une cape à capuche, et un couteau à la ceinture.
-Dépêchons mon cher. La route est longue. Je vous laisse sortir en premier : vous dit-il en pointant la porte entrouverte.

(OOC: j'ai combattu 3 brigands déja mais je n'ai obtenu de l'expérience que por un, c'est normal?)

Reyan se leva lorsqu'il vit le maire revenir. Ce dernier lui ndiqua la porte, et il sorti le premier, à l'affut. Il avait l'agaçante impression que ce voyage ne serais pas qu'une promenade tranquille, qu'il y aurait des embuches. Une fois dehors, il attendi que le maire lui donne une direction.

(OOC : t'as que trop raison. +40 d'expé en tout)

Le maire alla vers l'arrière de sa maison. Voyant que vous n'étiez pas sur, il lança :
-Venez, je vais vous prêter un cheval, nous devons aller à Imias sur le champ. Si ce que vous dîtes est vrai, j'ai bien peur que le fléau brigand au coeur de notre royaume ce soit réveillé...
Il disparut derrière la maison, et vous entendirent des hénissement de chevaux.

Reyan suivit le maire derrière la maion. Il avait déja monté était jeune et travaillant à la ferme, mais ce temps était maintenant très loin. Il monta sur le cheval et il lui fallut un petit moment pour s'adapter. Une fois cela fait, il se dirigea vers Ismas. Ilconnaissait la route, comme tous les hommes de l'instar d'ailleur.

-Soyez très vigilent, sir. J'ai le sentiment que cette chevauchée ne sera pas de tout repos.

Rey et le maire partirent du village en ce milieu de la nuit. Ce dernier semblait très sérieux, et il se concentrait sur sa chevauchée. Sur le chemin allant vers l'Est, on voyait, assez lointain, des murs savament éclairement de torches et de feu de camp. S'ils étaient chanceux, il y serait dans une trentaine de minutes. Le maire prit les devant et Rey le suivit derrière rapidement. Mais la chance n'était pas avec vous, car quelques instants après, trois flèches percute le cheval du maire, qui se perdit dans son élan et tomba. Le maire fut projeté hors de la route, et à la vitesse que vous alliez, votre cheval dû sauter par dessus l'autre, et il ralentit de l'autre coté. Au sol, le maire se tordait, vous voyiez que vous étiez dans une route, assez calme, cette route traverssant une plaine, dans laquelle se trouvait quelques bosquets sans vrais arbres. À distance de tir, il devait facilement y en avoir dix. La maire était étendu près de l'un d'eux.

(OOC: Pourquoi j'ai toujours des archers. Je déteste les archers =_=)

Reyan fit aire demi tour à son cheval. Son but était de percuter l'homme près du maire et de descendre de ceval ensuite pour le protéger.

(OOC : C'est le destin qu'est-ce tu veux!)
Arrivant près du maire, vous entrevoyez le bout d'un arc à travers les branchages, et le maire semble inconscient. Il n'y a plus de flèches qui se tirent. Vous apercevez de plus un regard, à travers ces même branchages, et l'arc monta alors devant ce regard.

Reyan vit que l'homme allait tirer. Il sauta alors en bas du cheval et se coucha au sol, réduisant ainsi les chances d'être atteint. Il rampa alors vers le maire, pour tenter de le traîner vers le cheval.

Aucune flèche ne traversa les buissons, mais par contre, vous remarquez et déduisez que l'homme derrière fait le tour du buisson, et qu'il va arriver derrière vous.

(OOC : tu devrais ajouter les 40 d'expé que j't'ai donné plus tôt sinon on va perdre le compte.)

Comprenant qu4e le brigand avait probablement décidé d'abandonner son arc, Reyan choisit de l'atendre, semi relevé, Ezsak-Penge sortie de son foureau.

Se tassant du buisson, vous vîtes un arc tendu, derrière vous, porté un tabard de bleu azure teinté de cavaliers blancs qui s'entrevauchent. L'insigne des Hommes de l'instar le représentait fièrement, alors qu'il lança :
-Au nom du Roi, on ne bouge plus!

Reyan fut presque heureux de voir ces gens arriver pour une fois. Bien qu'il respectait ces hommes se battant pour la justice, il y avait eu à plusieurs reprises quelques intercations entre les soldats de l'Instar et lui-même, en raison de son tempérament explosif et de ses manières souvent grossières et même outrageuses. Cette fois-ci, leur présenc pourrait lui éviter quelques ennuis.

Rey termina donc de se relever lentement, abaissant son épée vers le sol. Il attendit la suite au millieu de la ampagne de Instar, ses vêtements claquant dans le vent.

De plusieurs buissons sortirent des soldats dans les mêmes habits. Ils montaient le guet autour de la ville. Le maire, quant à lui, se tint au sol, sans bouger. Gardant son arc braqué sur vous, le soldat dit fortement :
-Qui êtes-vous, au nom du roi, et que faites-vous dans cette prairie en une telle nuit?

Dévisageant le maire, le soldat resta septique. Voyant la délicatesse du moment, le maire se releva, et sortit de son manteau un papier. Rapidement, Rey remarqua le sceau du roi en bas et en haut le titre : Attribution du titre légal de maire. Le soldat prit quelques secondes pour survoler le titre, et il redonna le papier au maire, en disant :
-Bien, dans ce cas, qu'allez-vous faire au milieu de la nuit?

Le soldat sembla s'impatienter un peu, et lança plus fortement :
-Je me fous de l'heure... Je veux savoir votre raison d'aller voir le roi!

Reyan lui lança un regard glacé et répondit d'une voixx froide.

-La raison, c'est que nous avons un message au roi, il me semblait l'avoir déja dit. Ce message est destiné à notre roi, et il lui sera remis, à lui seul. Il est important, et avec le temps j'ai apris à me méfier de tous. Ça n'est pas personnel, mais vous n'avez toujours pas gagner ma confiance. Si vous voulez, vous pouvez nous escorter jusqu'au châeau, mais nous serons ceux qui transmettrons ce message au roi.

-Alors je vous bloque le passage par devoir sacré. Nous avons reçu l'ordre de ne laisser passer aucune personne pouvant représenter des doutes, alors nous vous demandons de bien vouloir retourner d'où vous venez, où nous nous verrons obliger d'user de violence.
Tous les hommes (5), avaient une flèche prête dans leurs arcs, sauf le chef devant vous. Ils étaient près à braquer n'importe quand.