Livre I : Un allié destabilisant

Je dit a mon loup de tuer rapidement lautre soldat, puis je retourne voir rey

Le soldat est déjà mort, et vous partez vers l'infirmerie et le palais. À votre grande surprise, Rey n'est plus en dehors, et il y a une sorte de petite armée portant l'étendard de l'Instar mal orgnaisé qui patrouille entre le palais et l'infirmerie. Rey doit avoir été transporté dans l'infirmerie.

Je pars vers l'infirmerie en courant

PS: dsl pou le ps mais je dois savoir, je peu tu genre chevaucher mon loup?

(Réponse du P.S. : Le loup n'est pas à la base un animal de monture. Par contre, s'il grossit, s'il devient plus fort, et s'il se rapproche de vous, peut-être serez-vous capable de le monter. (Calculer minimum niveau 7))
Vous entrez dans l'infirmerie, où à votre grand désaroi, il y a plein de malades, de blessés et d'infirmiers, parcourant la pièce de part en part, entres les civières. C'est presque comme un carnaval. Par contre, à votre droite, vous apercevez Rey, dans une civière, parlant avec Feredar, le soldat qui vous a rejoint après la mort d'Araf.

Je vais voir feredar et dit:
- la situation n'est pas geniale en bas, peut-etre devrions nous fair quelke chose

Feredar vous répond:
-Ce médecin va aller soigner Rey. Nous devrions peut-être aller nous deux voir ce qui se passe en bas. Rey viendra nous rejoindre quand il sera rétablie.

Jaquiesse et on retourne en bas

Vous sortez de l'infirmerie, et arrivez au dehors. La troupe mobilisé avant semble maintenant aux aguets, écoutant ce qui se passe à travers les maisons. Par une fenêtre, vous voyez un homme, un citoyen, protégeant ses enfants et sa femme, espérant que sa porte barricadée protégera ses biens et sa famille. C'est ainsi que la ville est rendue. Dans un sentiement de crainte et d'insécurité. Malgré tout, vous entendez de l'agitation dans la direction du mur Est.

Je dit a mon compagnon que on se dirige vers le mur est, puis javance vers la en sprintant quand japproche des ennemis je sneak

Il vous suit, et vous passez le premier coin de maisons, pour voir les brigands en déroute, qui vont se cacher dans les habitations. Feredar, peu habile en furtivité, tente au mieux de ses capacités de se tapir derrière une maison, et vous vous cachez derrière un tonneau. La horde de brigands retournent, selon ce que vous voyez, vers le Sud-Ouest, où ils ont beaucoup d'hommes. C'est alors que vous voyez, cachez dans des poubelles, dans une ruelle, un soldat de l'Instar, terrorisé.

- feredar reste ici.
Je sneak vers l'homme et lui dit de venir avec nous,
- c'est mieu que attendre quils te trouve non?
Puis je retourne vers feredar ave le garde

-Je vais retourner voir les hommes: dit-il avant de partir.
Vous allez vers le soldat, alors que les brigands sont partis se cachés. Tapis dans la pénombre, il vous regarde, inquiet, mais en même temps rassuré de voir du monde de son côté. Lorsque vous lui parlez, il sort de sa cahchette, regarde tout autours de lui, et va vous voir. Il vous dit:
-Merci. Je vous suis très reconnaissant. Je viens de la partie Sud-Est de la ville. (Il marque une pause.) J'ai de très mauvaises nouvelles pour vous.

Je lui fais signe de me suivre
- C'est pas pour vous interrompre mais je crois que on devrais retourné vers la garde, dite moi la nouvelle en chemin

je cour avec le garde jusqua un lieu moin a découvert

Le lieu le plus sûr au moment où vous êtes : le palais et sa cour, où Feredar vous attend. Vous partez en cette direction, et le garde vous dis:
-On m'a envoyé au début de la journée pour aller garder la partie Sud-Est de la ville avec deux de mes compagnons. Et c'est alors que la cité s'est révolté. Ils nous ont attaqués. Mes deux amis sont morts, et j'ai eu de la chance de me cacher. Un rôdeur a réussit à soulever la ville. C'est pas croyable. Même les plus durs citoyens ont changés de diplomatie. Il est très convaincant. Avec le peuple, ils ont abbatu le mur à l'extrême sud-est, et chaque heure, des dizaines de brigands et rebelles entre dans la ville, grossissant leurs troupes.
Vous arrivez à la cour du palais, qui est vide...

Je me retourne vers l'homme
- alors je dois le neutralisé, merci l'ami tu peu aller te refugier au palais
Je vais voir feredar
- Feredar, il me faudrais un arme speciale pour assassiné le brigand qui fait toute cette emeute: une lame retractable que je peu acccrocher a mon poignet.
Je le prend par l'épaule
- Écoute si je peu avoir cette arme je pour le prendre en embuscade et le tuer avant meme qui s'en appercoive

Feredar et la garnison ne sont PAS là. La cour impériale est vide.

*soupir* je traverse la citée en courrant pour trouver qulkun

Vous passez par les ruelles, quittant l'ombre sécurisante du palais. Les rues et maisons sont vides, ou alors très silencieuses. Rien n'est perceptibles. Quelques chats parcourent les vidanges à la recherche de nourriture. Vous arrivez près de la porte Est, où la herse est complètement détruite. À travers les meurtrières des remparts, vous voyez du mouvement.

Je cour pour y aller en momntrant que je suis un allié et que je suis desarmée

Vous arrivez à la porte qui donne accès au rempart, mais elle est verrouillée à clé.

*changement de personnalité
Je cris ocmme un defoncer
- OUVREZ MOI CETTE PORTE QUI QUE VOUS SOYEZ!!!! VOUS VOULEZ QUE JE CRÈVE OU QUOI?!?!?!?

Personne ne vous ouvre, et il n'y a aucune réponse. Par contre, après votre tapage, vous entendez soudainement des pas venant de la herse brisé, et un elfe sylvain, habillé en soldat, arrive de l'Est.

- HEY TOI TU FAIS QUOI ICI? OUVRE MOI CETTE FOUTU PORTE

Il s'approche doucement, chuchotant quelque chose, mais il fige lorsque vous lui criez après.

*changement de personnalité
Je redeviens calme
- Aller, ouvre la, ou rejoin moi.