Prologue : L'instance de la survie

Je fouilles aux alentour a toute vitesse en appelant mon compagnon a l'aide pour m'aider a chercher

Vous fouillez les maintes pièces de la maison de font en comble, mais sauf des meubles et des débris détruits, il n'y a rien. Vous compagnon, ayant entendu votre appel, arriva. Il avait prit la modeste cape du voleur, et il faisait chic avec son couteau ensanglanté. Par contre, dans sa main, il tenait un papier chifonné, qu'il vous montra:
-Regardez, regardez, le voleur avait un message. Je l'ai trouvé dans sa poche.

- merci !
je lis la lettre

Il y a peu d'écritures, mais elle veulent tout dire:

À exécuter à date du début,
Détruire village elfe. Tuer seigneur. Tuer aussi tous les habitants. Moi occupé. Assaut sur la capitale des hommes. Autres hommes occupés aussi. Attaque villages de l'Instar. Tâche doit être fini à midi. L'ombre ne veut pas de survivants. Faire mission avec tes hommes. Vite. Discrètement.

Araf de la côte

- OOOH MON DIEU!
je reflechis un moment puis
- L'instar qui attaque l'instar c'est pas normal...on dois i aller....
(( c'est ma destiné qui m'y a apporter))
je dis a mon esclave de me suivre puis on pars pour l'instar

-Je vous suis, mon maitre. Je suis prêt.
Il tient fièrement son couteau, pour vous montrer sa détermination. Le village est désert, et vous entendez le faible son du vent dans les arbres. Par les routes, trois choix s'offrent à vous. Soit vous allez vers le Nord, dans le royaume des Bois Argentées sur un autre village des Elfes. La route du Sud vous donne les mêmes avantages, sauf qu'elle n'a aucun accès sur l'Instar par après. La dernière va vers l'Ouest, directement sur le l'Instar. Cette route se rend sur la capitale.

- plus vite nous serons arriver, sera le mieu
je prends la route e l'ouest en me dépêchant sans toutefois courir

Votre compagnon vous suit docilement. La route est assez bien entretenu, et les belles routes elfes, en terre battue et enjambée de quelques racines, vous enchante. Par contre, plus loin, sur la route, le cri d'un enfant, que vous voyez étant poursuivi par un loup, vous titille l'oreille. Votre compagnon, affolé, sort son couteau, et regarde partout autour de lui.

- nous n'avons pas de temps a perdre avec sa, si nous continuons notre route nous pourrons sauver des millier de vie peut-etre alors que si ont sauve cet enfant, mille vie vau plus que une

et je continue mon chemain

L'enfant, qui est une elfe sylvaine, vous hurle de l'aider, et elle saute dans les bras de votre compagnon, avec le loup qui la suit derrière elle. Elle hurle, et votre compagnon, terrorisé, paralyse.

-... que des ennuis stupides..
J'attend que le loup saute pour lui enfoncer mon épée dans le torax, il va se planter tout seul avec son poid

Comme vous vous y attendez, le loup saute en votre direction, vu que vous êtes la cible la plus proche, mais au lieu de s'embrocher, il mord votre épée avec ses dents. Croyant qu'il s'est blessé à la bouche par sa tactique risqué, vous êtes surpris de le voir vous l'enlevez des mains comme un simple jouet, et il retombe au sol, vous faisant reculer. Il tassa l'épée plus loin, et s'étant coupé à la langue, saignait de la bouche, mais avait d'autant plus l'envie de vous tuer.

- mais il sort d'ou ce loup, recul ammene la fille et protege la (M'adressant a mon compagnons)

Je donnes plusieurs coups dans la direction du loup, puis je me tasse dun pas a gauche pour evité toute attaque éventuelle

Vous avancez, faisant une modeste parade pour surprendre le loup, qui n'en semble pas. Il recule, et fonce sur vous férocement. Votre écuyer, suivant vos directives, recule d'un cinquantaine de mètres avec la fille, très énervée. L'avancée du loup semble innarêtable, mais vous donnez un coup d'épée latéral, qui prend la tête du loup, et pénètre, pour s'arrêter dans son crâne. Celui-ci tombe, mort instantannément. (20 exp.)

Je me retourne apres m'avoir assuré quil est mort
je regardes la fille
- Retourne chez tes parents on doit i aller

Le loup est effectivement mort, ça, vous n'en avez aucun doute. La fille, après que vous lui ayez parlé, vint vous remercier profondément, en vous donnant un câlin, comme le font les jeunes enfants. Elle ne semblait pas riche, mais son coeur était pur, et elle vous était très reconnaissante.

- mmm... merci, je te laisse partir a present, fait attention aux loups la prochaine fois
pis la je pars en disant a mon ecuyer de me suivre

Étonnament à la direction d'où elle venait, elle part vers votre village. C'est alors qu'en appelant votre écuyer, vous vous souvenez l'avoir vu dans votre village, habitant dans une maison non-loin de la votre.

-....ecuyer...ramenne la petite fille, je continu la route, c mieu quelle ne voit pas le village en feu

Votre écuyer s'incline, et repart vers la petite fille gambadante. Quant à vous, vous prenez la route de l'Ouest, vers l'Instar. Vous continuez la route, mais votre écuyer ne revient pas. C'est alors que devant vous, vous voyez un pont, très grand et très large, surmontant une puissante et profonde rivière, servant de séparation entre l'Instar et les Bois Argentés.

je regarde derriere moi pour voir si mon ecuyer arrive puis je me retourne pour ocntinuer ma route en courrant

Il n'est pas là, mais vous entendez des pas incertains et légers en arrière de vous (les elfes ont une ouïe très fine), qui ressemble vaguement à sa manière de marcher. Vous avancez sur le pont, mais au moment où vous approchez du milieu, deux planches de bois cassent, juste sous vos pieds, et vous tombez dans le trou créé. Vous n'arrivez pas à vous accrocher au pont, mais à une penture, juste à 2 mètres au-dessus de l'eau qui descend avec une force incroyable.

Je monte sur la penture et essais d'écouté les pas arrivant ensuite je saute pour remonter sur le pond

Avec toute votre force, vous vous aggripez aux pentures, et tentez de remonter. Vous réussissez à prendre pied sur la penture, juste en dessous du trou. C'est alors que vous entendez les pas de tout à l'heure venir sur le pont, depuis les Bois Argentés. Vous écoutez, et c'est alors que, depuis le trou, vous voyez une tête affreuse et répugnante, sortir. C'est un gobelin.

Aussi tot quil a passer mon petit trous je saute et le prend par surprise par la gorge
- Dis moi, il est ou mon ecuyer?