Kordag, Lame du Sud

L'horizon est une chose qui vous a toujours fascinée. Vous vous trouvez devant celle-ci pour la énième fois de votre vie. À la sortie d'une immense grotte, vous tenez fermement votre arme par la poignée, le bout posé sur le sol. Vous êtes en haut d'une montagne dans laquelle un trou, reliant le réseau de tunnels nains se trouve et devant lequel vous vous tenez. Derrière vous arrivent par l'entrée quelques nains, suivants avec des marchandises sur le dos. En bas du flanc, vous voyez s'étendre au loin le grand royaume des Bois Argentées, certi d'arbres et de vallée. Mais juste à la base de la montagne, il y a une ville. Non, plutôt une ruine. Une cité complète en ruine, dans laquelle vous pouvez voir de votre perchoir grouiller des créatures autant méconnus qu'effroyables. Un coup de vent vint vous faire brasser la barbe, alors qu'un de vos nains arriva derrière vous en disant :
-Et voilà Kor, on est presque tous arrivé. Le col à gauche, c'est là que nous allons passer j'imagine. De toutes manières, c'est la seule route que je connaisse pour aller à l'avant-poste en haut de la montagne, comme nous a demandé le roi. N'est-ce pas?

Je gratta ma barbe en survolant les ruines des yeux. Je leva ma mace et l'accota sur mon épaule a la guerrière et dis sans me retourner a mon interlocuteur:
- Bien sur Gorlek, de toute manière emprunter une autre route que celle déja étrablis serait trop risqué. regarde *je pointe vers la ruine au loin* ça grouille de créature si nous nous éloignons des routes. Vaut mieu rester sur nos garde.

Je marqua une courte pause puis me retourna vers Gorlek:
- Ah et aussi, demande a deux soldats de garder les arrières, deux de garder le flanc droit et deux le flanc gauche. Je sais pas pourquoi mais j'ai un mauvais présentiment, vaut mieu être pret a une bonne baston que se fair embusquer et tuer sans défence.

-Parfait, je vais faire arrager cela : répondit le nain, Drain, qui partit voir vos autres compaires qui trimbalaient les marchandises. Trois jours plus tôt, un officier du roi vous avait demander, à vous et à votre compagnie, d'approvisionner en nourriture l'avant-poste se situant en hauteur dans la montagne au-dessus du flanc de la cité abbandonnée de Ftelraldas. Lorsque les nains furent placés, la compagnie reprit la marche, vous en tête. L'avant-poste se situait plus haut que le point duquel vous étiez sortit de la montagne. Passant le col de l'entrée, vous arrîvites devant une vallé dans la montagne. Mais malgré la beauté du paysage votre oeil était sceptique... L'avant-poste, qui devant se trouvait dans un coin plat sur la droite de la vallée, n'était pas là...

Je fis venir Drain et Gorlek d'un signe de main:
- Allez fair inspecter les environ , ensuite vous deux venez avec moi nous allons inspecter la zone. Et laissez quelques hommes avec ceux qui portent les charges

Je pris ma mace a deux mains et serra le manche tout en avançant dans la zone déserte

Vous avanciez doucement, mais sûrement. La neige n'était pas assez épaisse pour caller, mais les vents étaient frisquaient. Hormis l'hymne du vent, il n'y avait aucun son, et aucune signe de vie, malgré l'avancement. Le lieu où l'avant-poste était était désert. Aucune trace.

Je retourne dans les rangs et ammène mes sous-commandant:
- Je crois que nous allons créer un faux camp. Montez un faux camp ici , nous allons dormir plus bas dans la côte

Devant les visage incrédule, je poursuivis:
- C,est un piege, si jamais nos amis se sont fait attaquer ça devrais se répeter dans un camp non protégé: Je crains le pire, les gobelins

Ils approuvent vos commandements et ils commencent à monter le camp. Celui-ci est monté en une demi-heure à peine, permettant d'héberger toute la compagnie. Mais contre vos espoirs, les vents commencèrent à se lever, et vous vîtes votre vallée se faire recouvrire d'un épais nuage gris, annonçant l'arrivée d'une puissante tempête hivernale.

- Il n'est pas question de rebrousser chemin, nous avons tout ce qui faut pour survivre, des tentes, des armes et de la biere. Allons ne vous laissez pas abattre !

Je continue a renforcir le camp et je dicte a mes homme de monter une barrière avec la neige le plus vite possible avec les pelle et fair comme un fort entourant le camp pour protéger contre le vent.

Les nains prennent les pelles et s'acharnent à ériger des murs de neige de plus en plus haut, mais les vents augmentants ne vous aide pas. La neige déjà en vole ne s'entasse pas comme vous le vouliez, et le vent empêche les murs de se monter à plus d'un pied du sol. Ça ne marche pas.

J'ordonne à mes hommes de rester dans leurs tente et d'envoyer deux hommes avec moi pour surveiller le camp et si des créatures avaient attaqué l'autre camp.

Les vents sont très forts. Les deux nains ont quasiment de la difficulté à tenir debout et vous même trouvé que la neige commence à glisser sous vos pieds. (dans le sens expression) Vos oreilles sont inutiles dans cet cacophonie naturelle, et vos yeux d'autant plus. La tempête est un réel monstre à cet endroit.

Je dis au groupe de rbrousser chemin dans les tunnels c'est inutile et dangereux de rester ici

(désolé, j'ai besoin d'une précision^^ tu pars comme ça en laissant tout ou tu ramasses le campement que vous avez fait?)

Ramase le plus qu'on peut

Les nains se dépêchent de tout prendre et de tout ramasser. La plupart des tentes réussisent à être démonter, mais quelques-une sont enfouis sous la neige, innateignable. Votre compagnie se remet en marche rapidement, à travers le blanc, vers l'entrée de la grotte. Après avoir traversé le petit col, vous arrivez devant l'entrée de la grotte... et au même moment, la tempête tombe, d'un coup sec et sans préavis.

Je dis a tout le monde de se reposer dans la grotte nous allons reprendre la marche plus tard, c'est suremment de la magie a l'oeuvre

Le campement est fait à l'entrée de la grotte, et tout le monde s'en va à dormir, sauf les quelques gardes qui font à tour de rôle le guet. Alors que vous êtes à la sortie de la caverne, vous voyez du mouvement sortir de la forêt vers la ville en ruine, en bas des falaises, à la lumière du soleil couchant.

J'observe voir si je peut voir des gobelin, humain ou elf.

Vous êtes extrêment éloigné de cette ville (vous êtes très haut sur la falaise) et vous ne discernez que des formes, mais malorganisé, défaites en morceaux. À vue d'organisation, ça ne vous semble, ni des elfes, ni des nains, ni des gobelins, car l'organisation militaire ne ressemble pas à ce que vous connaissiez.