L'arrivée de l'ombre

Ça faisait maintenant une bonne semaine que je parcourais les landes du pays de l'ombre. je chassais a mes dépends et utilisais mes couteaux de lancés et mes réflexes digne d'un dieu pour attraper les animaux avec une facilitée étonnante.

Lorsque j'arriva à la civilisation.

J'appercevis des petites maisons et un gigantesque lac au nord de celui ci. Perché dans le haut d'un arbre je voyais ces belles terres qu'était les terres arables: Le trésor de notre nation comme certins le disent.
Je descendis agilement de l'arbre de branches en branches et atteris au sol. Je piqua une course pour arriver près du village et me mis a marcher en direction du centre du village normalement en cachant mon visage avec mon capuchon.

Vous êtes en fin d'après-midi, et beaucoup d'elfes sont entrain de finir leurs emplettes de la journée. Ils bougent, ils échangent, ils parlent. C'est une journée normale dans un village paisible. Vous avancez sans grande peine. Même qu'un des elfes vous dit salut. Vous trouvez étrange de voir comment ces elfes qui pourtant sont si proches de tant de malheurs ne voient pas cette réalité et ne font que profiter de leur bon pain. Un autre villageois après vous accoste, vous disant :
-Monsieur, monsieur, désirez-vous acheter des mes bons légumes? Allez-y, gouter!

Surpris par cette action je repond tout de même amablement:
- Combien les vendez vous?

-5 pièces de bronze l'unité, monsieur. Ils ont été fraîchement cueillies de ce matin. (La texture semble en effet fraîche, et vous savez que dans la capitale, des légumes à l'unité de cette grosseur coûte environ 4 pièces de bronze.)

Il vous montre des carottes, des pommes de terre et des oignons qui se trouvent dans un petit panier en bois un peu mal fait.

Je m'avance et j'en prend un dans ma main et je l'observe pour voir si il serait empoisonner. Je lui en prend alors 10 si ils ne sont pas empoissoné et je lui donne ses pieces de bronzes puisque il est loin d'être arnaqueur.
- À la prochaine

Je repartis en direction du centre du village manger un repas plus gros que cela fait des semaines

Le repas est excellent. Les légumes sont frais et très appréciés de votre estomac. (Ils vous ont coutés 50 pièces de bronze.) Alors que vous finissez de digérer, votre intuition vous agace en sentant une présence derrière vous.

Je fais un semblant de trébucher pusi me retourne et lance le panier vide de légume au visage de celui qui me suis puis le maitrise en en dessous de ma cape je lui pique un couteau sur le ventre juste opur qu'il le sente :
- Bonjour, as qui ais'je l'honneur?

La vitesse de vos mouvements est claire, mais de manière bien embiguë, vos réflexes se retrouvent stopper devant la présence d'une immense araignée. Le sac à légumes s'en va derrière (l'araignée est plus petite de l'endroit où vous pensiez avoir affaire à une tête), et le ventre est impossiblement facilement atteignable dû à l'anatomie de l'arachnide.

J,empoigne deux couteaux et en lance un dans la tete de l'araignée et un dans l'abdomen, je recul puis tir un carreau d'arbalète:
- Tu vivra plus bien longtemp face à ta decision de me suivre

L'araignée semble être moins sot que les précédentes. Elle avance en se pliant au sol, évitant votre couteau de lancer, et le deuxième en sautant immédiatement après. Le carreau passe à côté. Elle vous arrive dessus, en vole, les crocs en premier plan et le dard ventrale en deuxième plan.

Je recul et je lance 5 couteaux l'un après l'autre et je me pitch ensuite au sol par en arriere sur le dos pour tirer une autre flèche de carreaux que je recharche et tir

Votre recul la prend de cours, et elle retombe au sol, où deux de vos couteau se plantent dans son dos. Elle pousse des plaintes stridentes, mais retourne vite à la charge. Le carreau arrive sur sa pince, sur laquelle elle rebondit. L'araignée s'envient directement sur vous, mais l'instant suivant, elle a une longue flèche dans la gueule, et tombe au sol, morte. (mettons 10 exp. vu que chui gentil.) Jamais vous n'avez tiré cette flèche et elle venait de derrière vous.

Je me retourne et recharge mon arbalete pour fair face a celui qui avait tiré cette flèche, je pointa mon arbalete de poing vers d'ou venais la flèche: D,un coup que c'est moi qu'il visait:
- Montrez vous

Derrière vous se tenait un elfe tenant un arc bandé, un grand sourrire aux lèvres, et vous répondit :
-Il était moins une...

Je le fixe et lui repond:
- Je m'en aurais sortis seul, mais, j'accepte votre aide ça m'a économisé une bonne minute de mon temp.

pis chu sensé monter de level en passant XD

-Ce fut un plaisir mon cher. Qu'est-ce qui nous vaut le plaisir de la visite d'un étranger ? (étranger dans le sens que vous ne venez pas de la région, il l'a remarqué)


(+1 NIVEAU oui, désolé. Tu peux controler un type d'arme supplémentaire et tu as 10 points de caractéristique à placer.)

Je croise les bras , l'arbalète en main:
- Rien en particulier, et que me vaut l'aide d'un étrangé?

-Vous rien en particulier. Je chasse les araignées pour le poison des glandes qu'ils produisent. Je les vends ensuite au forgeron qui peut enduire les flèches des chasseurs. Ce poison est particulièrement puissant contre les morts-vivants, qui font fureur de nos jours : répondit le chasseur avec un brin de sympathicité dans sa voix.

Je décroisa les bras et rangea mon couteau:
- Je me nomme Vandaniel Lazare. Je serais fort intéréssé à vous aider dans cette industrie si vous me permettez, j'en est tué une couple avant d'arriver ici

C'est très gentil de votre part, mais je me dois de refuser. Ce marché est tout de même chargé d'une grande compétition et je gagne à peine de quoi nourrir ma femme et mon fils avec ça, je ne saurais avoir à partager mon butin avec un autre. Merci tout de même : refusa-t-il avec un air toujours aussi sympathique et amical.

Je souris:
- Je vous payerai. C'est autant pour l'argent que pour l'amusement que je propose ceci. Voila, je vous propose un montant d'argent que vous désirez et vous m'accepté dans l'équipe. point final. Donc, combien voulez vous?

L'elfe sembla alors sur le coup déconcerté, pris au dépourvu. Il balbutia un peu, mais finit par dire aussi normalement qu'avant :
-Ce n'est pas nécessaire, je travaille seul.
Vos yeux remarquent alors la ceinture de l'elfe. Elle est remplie d'outils de toutes sortes. Des lames, des dagues, des couteaux, des flèches, des carreaux, et mêmes des dards... mais aucune signe d'outils pour extraire le poison d'un croc d'araignée...

- J'aime bien quand les gens me mente, ça me donne au moins une raison pour les tuer. Malheureusement pour moi ça ne serais point mon intention aujourd'hui si tu me dirais la vérité
je met la main sur mon arbalete de poing sans me fair voir

Le regard un peu perdu du chasseur devint nette et dure en voyant l'arme levée. Il banda d'un coup son arc et décocha une flèche, mais le mouvement était tellement perceptible que les chances qu'elles vous touchent sont bien plus faibles que celles qu'ils vous touchent.