Un Poète parmi les citadins

Je pris un instant.. Pour admirer la beauté du monde moderne. Cette cité si grandiose. Cette muraille si grande...... Je me souvain que je me devais , a mon grand engoument, recommencer à faire de la poèsie. J'avais fini ma quête. Un nouveau monde soffrait à moi... Une nouvelle vie qui ne demandais qu'a être batti. Je m'avais déja beaucoup investi dans le combat contre le mal. mais je ne savais pas si c'était ce que le destin me reservait. mais je savais toutefois , que le prêtre m'avait promis un avenir des plus glorieux, mais aussi , par conséquent, des plus difficiles.

J'aime écrire , j'aime toutes ces idées qui parcourent mon esprit ,ce sentiment.... dont j'ai quête d'un nom à lui donné....

ENCORE une QUÊTE , la Vie est une quête finalement , dis-je tout bas en marchant tranquilement vers la herse....

De loin j'imaginais que de voir un type avec un magnifique corbeau sur le bras , était

De Mauvaise AUgure....

:- hahaha....

Je n'était certainement pas destiné à être forgeron ou fermier..... Certainement PAS !
Je fini, à me disant que peut-être ma voie , ou un indice quelqu'onque , ce trouvait entre ces murs fortement fortifié
ET, en m'adressant poliment , (du mieux que mon visage exsangue pouvait le faire...) au garde

:- Bien le Bonjour mon sieur......

mon corbeau croassa encore, cela me déplu guère , mais encore un signe qui démontrait de mes traits peu commun..................

Encore une preuve que malgré mes déplacements et le temps , des choses ne changent pas........... Ils surgissent à un moment ou un autre, des sombres caveaux de ton être, pour te rappeler malgré tout, qui tu es.. Ta VRAI nature..............................................................

Je m'assombri soudain.

Destin qui se cache entre les murs, qui puisait être si pure.........

Celui d'entre nous qui cache sa vrai nature, c'est lui la vrai raclure !.........

Quand l'importance des murmures, va au dela de ton armure.......

C'est que tu malgré ton parjure , Tu es prisonnier de ta propre souillure..........................

Augure et ses écritures, sont de retour.

Un peu mal à l'aise, mais fort tenu, le garde répondit sur un ton sur et net:
-Bonjour jeune homme. Puis-je connaître votre motif de votre venue en ces lieux.
Devant vous se dressait l'entrée de la citée à travers la muraille. L'entrée était constitué de deux herses, qui bloquaient le passage. La grande muraille faisait le tour de la citée, et elle était percée de meurtrières à de nombreux endroits. Alors que le garde finissait sa phrase, un autre homme, sûrement un garde, lança à son compatriote à travers une des meurtrières :
-Hey, Feredas, viens à la porte Nord s'il te plaît. Ya un drôle de type qui semble pas commode qui veut rentrer et je pense que tu le connais.
Un peu dérangé, le garde qui semblait se nommer Feredas dit :
-Est-ce vraiment important, assure toi qu'il est conforme et laisse le passer.
-Justement, il ne l'ai pas. Viens-t-en.
Feredas poussa un soupir, et vous répondit :
-Suivez-moi jusqu'à la grille Nord mon cher, je vous ferrai rentrer en même temps que le cas de l'autre.
Feredas commença sa marche, restant près de la muraille.

Je suiivi l'homme sans aucun doute... Je le suivis de près jusqu'à ce que nou arriverions vers cette fameuse porte Nord où il y avait , suppoément, un abruti de première qui ne réussisait pas à passer la frontière , alors que même le plus des hommes, en l'occurence moi, certainement à pu passer sans inconvénient....

Je ne voulais pas me mêler à trop de gens, j'hésitait à présent à rentrer là dedans, mais j'avais déjà pris mon élant. je me devais de continuer. Ce n'était qu'un stress passager. Certainement.......

Bref mon oiseau s'envola et survola au dessus de moi. Avec une fidelité que je ne lui connaissait pas , mais je l'appréciait d'autant plus.

Je marcha , vers cette fameuse prote Nord , accompagné de ce garde.

Aucune rîme me vaint en tête. Il n'y avait pas grand choses à dire sur ce qui se passait. Il me servait à rien de me forcer à faire de la poèsie. Quand ce sentiment étrange ne vient pas, c'est qu'il n'y a rien à faire........

Après quelques minutes de marche, le chemin de l'entrée Nord se fait voir. Devant, il y a un homme, assez étrange, avec un loup à ses pieds, qui regarde vers la grille. Soudain, alors que vous êtes à environ 50m de lui, Feredas arrête, et chuchote :
-Par tous les dieux...

Déplacement dans le sujet : Nostalgie

(Retour au sujet)

Vous voyez à peine le soldat vous transpercez le corps que votre esprit disparait dèjà. Vous sentez un sensation de chute, comme si vous voliez. Ouvrant les yeux par rélfexes, vous remarquez que vous êtes dans un étrange d'endroit, flottant à travers une fumée noire. Le corbeau était devant vous. Un immense corbeau, identique à Malnoch, mais immense, 3 fois plus grand que vous. Ses yeux étaient intenses, mais vide. Malgré le macabre paysage, vous ne sentiez aucune peur, aucun effroi. Simplement, simplement un déjà vu. Alors, soudainement, sans que le corbeau ne bouge le bec, une voix vint résonner dans votre tête, une voix sombre, caverneuse, et indescriptiblement profonde:
-Ton retour est de bon Augure, Lucian...

je souris, malgré moi, vraiment malgré moi. J'étais sans doute mort. Que pouvait t-il m'arriver de plus, mis à part revivre une fois de plus.....

C'était un sourire plutôt macabre, j'avais l'impression que quelqu'un d'autre agissait pour moi, mais c'était bien moi.

Bref, après avoir souris au corbeau. Je me metti à genoux et fixa la sombre bête, mais à la fois majestueuse et rempli d'une macabre grace qui lui donnait un charisme plutôt noir.

Je respectait cela , car c'est ce même charisme que je recherchais avec Malnoch et les autres corbeaux. Je voulais être quelqu'un sur cette terre......

Je me disais bien qu'il pouvait lire dans mes pensées, car sa voix résonnait dans ma tête et non dans mes oreilles, donc il avait en plus, des pouvoirs qui dépassaient l'entonement.

je pouffa d'un petite rire narquois pour voir si la bête fesait aussi preuve de sagesse , ou ce n'était qu'encore une bête qui ne voyait pas plus loin que son nez. je la testa donc

:- Mon retour ! Pfffff... Bien sure, je suis déjà mort , car je sais voyez vous que je suis déjà revenu à la vie, mais je ne me doutait point que le royaume des morts comportaient un si sombre décors et des corbeaux gigantesque comme major d'homme. Eh Bien ! j'en suis comblé, je dois être au paradis alors...

je me tut, je ne voulais point être d'une plus grande impertinance qui frolait l'éloquence encore.

je parla sérieusement

:- Qui m'a tué ? et comment savez vous mon nom ?...... Augure qui plus est.....

je tenais le livre fermement dans ma main, c'était le seul bien de valeur qui me restait. Malgré mon incapacité à le comprendre.

je ne fit pas de poèsie , de peur que ça m'entende. Je n'étais pas prêt à lui livrer mon opus lyrique.

Le corbeau n'avait pas d'expression, il était neutre et sombre. La voix continua dans votre tête, faisant réponse à vos anciennes déclarations :
-Le mot tuer est bien grand, car dans ton cas, tu n'es pas mort encore.
Soudainement, une sphère immatériel se forma entre le corbeau et Augure. À travers celle-ci, on voyait une rue, où un homme et un loup regardait désespérement le corps mi-vivant mi-mort d'Augure, avec une lame profonde et noir, n'ayant aucune définition matérielle. Augure voyait l'endroit où il avait supposément été tuer.
-Tu as été poignardée par une lame des ténèbres, comme ainsi je puis dire. Je l'avais donnée à ce revenant afin qu'il te ramène à moi, lorsque j'ai constaté que tu revenais à Imias. N'ai crainte, tu n'es point mort. Cette lame à comme seul caractéristique de permettre à son possesseur d'arracher l'âme de la victime à son enveloppe charnel pendant un court moment. Mais je ne veux pas te parler de technique. Tes actes sont rendus corrompus Lucian. Aider ces enfants n'est pas dans ta nature. Tu dois être cruel. Tu dois être mon serviteur. Je sais que pour l'instant tout peut te sembler perdu, mais tu es jeune encore, et tu découvriras bien vite ce qu'y t'ai réservé. Mais ne t'éloigne pas de ta voie Lucian, je t'en avise immédiatement. Sinon les pouvoirs qui t'ont été conférés pourraient t'être enlevés.

Les yeux vitreux du corbeau deviennent plus intense et profond, comme la lame que vous voyez traverser votre corps.

je ne fis rien (neutre)

Je ne répondis rien (encore plus neutre)


J'avais tout perdu.

Je lança mon livre sur le corbeau, étant la seule chose, toutefois inrésolue, que j'avais.

Je voulais mourir. JE VEU MOURIR. À quoi sa sert... Même se corbeau qui semble tout savoir ne peu m'expliquer clairement ce pourquoi je suis ici......



Longue cette agonie, lorsque malgré tes efforts tu reste démuni...........

Tu penssais l'avoir et tu à perdu, pris d'une colère et d'une peine éperdu.....

Tu vivais pour le passéà la recherche de l'inconnu, tu l'apperçois maintenant et tu n'en veux plus................

Je tourne le dos à l'espoir et la vie, pour marcher d'un pas ralenti, vers la voie obscure de l'infini....................................

Un rire grave et profond se fit soudain entendre alors que le livre volait vers sa cible. Le corbeau se volatilisa encore et vous vous mîtes à tomber, tomber à une telle vitesse que vous vintes vous écraser au sol. Le sol d'Imias. Dans un corps solide et dispo. Dans un vrai corps. Le livre était juste devant vous, mais étrangement, il brillait un peu.

«Les enfants...»

Cette lumière vous paraissaient mi-rêve, mi-réalité.

«Les enfants...»

Ces deux mots résonnaient dans votre tête. Ils y restaient, comme s'il y avait quelques choses de lié à eux.

«Les enfants...»

Comme un souvenir qui voulait revenir. Mais malgré tout vos efforts, ce sont ces seuls deux mots qui vous venaient à l'esprit. Vous étiez sur le sol froid, un peu inconscient de ce qu'il y a autour, fixant le livre, et la lame, maintenant de métal, tombé au sol.

Rapidement, Masef arriva vers vous, et vous prit durement par les épaules, vous soulevant un peu. Vous reprenez contact avec l'extérieur. (Va dans le sujet nostalgie et ça va être a toi de répondre la.)