Vandaniel Lazare, Vandal

Cette neige était encore nouvelle, et cela vous écoeurait. Vous haïssez la neige, peu importe qu'elle soit faible, forte, blanche, grise, froide, tiède. Elle est comme une annonce que le froid va continuer. Vous n'aimez pas le froid. Vous êtes dans cette grande ruelle depuis déjà quelques heures, à aiguiser ce couteau pour la cinquième fois, assis entre deux murs de pierre. Vous n'aimez pas cette ruelle. La nuit était tout de même bien avancée pour si peu de temps ''mort'' que vous aviez. De toutes manières, vous saviez qu'elle serait encore longue. Vous n'aimez pas la nuit, il ne se passait pas assez de choses. Dans la noirceur du soir, vous aviez abandonné l'espoir de votre peuple dans sa lutte contre le mal, contre les ombres. Mais encore, pouvait-il y avoir de la pitié? C'est alors que quelqu'un entra dans la ruelle, ayant les bras croisés. Il semblait être un pauvre mendiant elfe noir cherchant dans les endroits isolés de quoi se mettre sous la dent. Vous n'aimez pas les mendiants. Votre regard se pencha à nouveau sur votre couteau sur lequel alla se poser quelques légers flocons. Vous aimiez ce couteau...

(YÉ ;D ta bien refleté mon perso XD surtout pour la neige, mais il aime l'obscuritée par contre xD)

Je reste dans mon coin, dans la noirceur . Je regarde le mendiant passer comme si de rien n'était

Le mendiant ne vous voyait pas parce que vous étiez assis, dans l'ombre. Il avança doucement, et lorsqu'il accrocha votre pied, il se tourna doucement vers vous. Montrant une petite poche ayant à peu près quelques piècettes de cuivres, il dit :
-Êtes-vous un envoyé divin? La charité s'il vous plaît.

Je ne bougea pas un instant our le fixer. Je me leva par la suite et sans rien dire je lui planta le couteau que j'avais entre les mains directe en dessou des côtes pour remonter dans son corp et le pousser contre le mur derriere lui, je plaqua aussitot ma main sur sa bouche pour l'étouffer du meme cou dans le silence...

Le pauvre elfe noir devint avec les yeux gros comme des billes, et vous vous retrouvèrent assez vite avec la main couverte du sang chaud de votre confrère. Vous gardèrent le couteau dans votre main pendant qu'il se décrispait, et lorsqu'il tomba, vous récupèrent la jolie petite bourse tintante dans votre main inocupée.

Toujours sans fair de bruit je tenta de dissimuler le corp dans la neige et m'éloigna de cette ruel pour observer les alentours

Vous mettez le corps dans le trou où vous étiez, à l'abri des regards indiscrets. Par la suite, vous sortez tranquilement de la ruelle vers le chemin principal qui traverse le petit village. Vous étiez entre deux maisons, et la neige continuait doucement de tomber. La nuit étant bien avancée, personne ne se trouvait dans le chemin, mais quelques maisons avaient les lumières allumées. Le village était dépourvu de taverne, de lieux publics, à l'exception d'un ébéniste elfe, qui fabriquait des arcs pour les chasseurs du village. Cela faisait seulement quelques heures que vous étiez là, et vous étiez venu ayant apris qu'un questeur de la royauté elfique était le responsable de la pauvreté misérable de ce pays, étant donné qu'il quadruplait le taux des impôts pour en faire une somme immense personnelle. Il devait passer dans la nuit, mais pour l'instant, aucun signe de lui.

Je me dis qu'il arriverais sur la route principal bien à la vue. Donc je m'arrangeas pour trouver une pelle dans un batiment de stockage extéieur ou une branche assé épaisse pour creuser plusieurs trou d'un ou deux metre de profondeur. sur le chemin principal a l'intérieur de la ville.

Je tenta par la suite d'entrer par la cheminée de l'artisant d'arc

Vous trouvez une pelle en fer près d'une des portes de maisons et vous la prenez sans faire d'histoires. Vous commencez à creuser dans le sol glacé, mais à l'Est, vous entendez le sombre hénissement d'un cheval à travers la neige, qui avait augmenté en intensité.

Je sort de mon dernier trou et me précipite ou javais laissé le mendiant pour mort. Je mis son habillement et déposa mon linge dan sun petit coin sur. Je cacha mes couteaux dans mon habillement et je retourna dan sla rue feignant l'attitude d'un pauvre quêteux

Les tissus délabrés de l'elfe vous faisait à merveille. Lorsque vous sortirent de la ruelle, un grand contingent : deux elfes noirs à cheval, un carrosse tiré par 5 chevaux dans celui-ci vous aperceviez une forme elfique. Le questeur était là, comme les rumeurs l'avait prédit. Lorsqu'il arriva près, il s'arrêta.

Je continu a fair le faible et me laissa tomber au sol a quatre pattes

La porte du carrosse s'ouvrit, et vous étiez à quatre pattes devant ses escaliers. Vous trémoussant, vous sentîtes une présence au-dessus de vous, et soudain, comme de rien, un pied léger se posa sur votre dos.

Je planta un couteau rapidement dans le pied qui se tenais juste devant moi. je roula sur le coté et tempta de couper la veine du cou a celui qui était sur moi avant de partir a la course sur le grand chemin parsemmé de pieges...

Votre couteau sort en quelques instants et vient à grande vitesse se planter dans le pied de l'elfe questeur, même que vous eutes craint qu'elle aille jusqu'à votre dos (- 1 couteau de lancer). Le questeur tombe et vous partez de votre plus vite vers vos pièges. Étonnament, les deux gardes ne vous poursuivent pas, et vous continuez un peu. Mais votre corps se crispa au complet lorsqu'un carreau d'arbalète vint se ficher dans votre bras gauche. Au même moment, sans porter attention, vous mettez le pied sur un piège et vous tombez dedans, dans le trou d'environ deux mètres de profondeurs. (-4 PDV pour la flèche et la chute, enlève les toi même). Vous êtes immobile, dans le trou, et vous entendez des pas venant de la place où est le carrosse.

(chpeu anticiper des coup mais pas mes propres pieges? XD wtf le but stais des eviter pour qu'ils tombe dedans)

J'essais de me sortir de mon propre piege en m'aggripant avec mes couteaux, je lance des couteaux si le sgardes approches.

Dès que vous sortez la tête, vous voyez l'arbalétier qui vise son arme vers vous, et vous n'avez pas besoin d'y penser que le carreau est partit. Vous lâchez par réflexe et retombez au sol, dans le fond de votre trou. Le garde continue d'avancer.

Je me baisse et creuse le plus rapidement que je peut un petit trou avec mes dague sur le coté du grand trou de 2 mètre,juste pour que les gardes me voient pas

Le garde arrive sans que vous ayez le temps de faire grand-chose (OOC : un trou ça se creuse malheureusement pas en 20 secondes, désolé). Celui-ci se tenait au-dessus de vous, et il commença à préparer son arbalète. Sous vous, vous sentîtes la poche de couteau de lancée, pleine.

Je lui lance un couteau et tente de toucher la gorge

Le couteau se plante dans sa gorge, et il tombe par en arrière, échappant son arbalète. (-1 couteau de lancée, +36 exp.) Vous voyez ses bottes trésaillirent, et s'arrêter, inerte.

Je me planque contre un mur et si un garde se pointe je lui lance un couteau toujours a la gorge

En sortant du trou, vous ne voyez plus de mouvents près de la carriole. Arrivant près du mur, vous voyez un elfe en beaux habits, traînant une caisse, descendre de la cabine. Il chercha des yeux son garde, et celui-ci s'arrêta sur le cadavre de l'elfe mort.

J'use de l'effet de surprise pour m'approcher le plus possible pour pas rater mon coup et lancer trois couteaux de lancer sur lui (si il meurt pas après 1 en lancer un autre ect)

Le premier manque sa cible par inadvertance et le questeur est tout de suite aux alertes. Vous remarquez qu'il porte un lourd sabre à sa ceinture. Le deuxième touche sa cible au bras, et il échappe sa caisse. Des centaines de pièces d'or s'éparpillent partout au sol et il gémit de douleur. La troisième se plante dans sont ventre, mais n'attends pas de parties vitales. Le sang gicle par contre, et à cause du cri, certaines portes des maisons commencent à s'ouvrir, laissant voir le regard chercheur d'elfes noirs en quête de réponse et de curiosité.