Mordilus, 'Sang'renue

Résigné par la vitesse de mes cibles je recherche alors un moyen plus rapide de locomotion
OCC : OK ouin mais ses un peu difficile parce que si le nain est pousuivit par des hommes à cheval il se serait pas arreter pour me parler et il ne serait pas entrin de marcher non plus, non ?

OOC : C'est justement là où y faut que t'utilise ta logique, parce que je t'avise que tous les éléments sont pensés, et donc si quelque chose semble absurde... c'est peut-être que ce que certains t'ont dit ou les indices visuels ne sont pas tous vrais.

Sauf quelques cerfs aucunement domestiques, la plaine est vide, vous n'avez aucun moyen d'aller plus rapidement. Mais soudainement, vous remarquez que les soldats se sont arrêtés, environ 100 m plus loin de vous, et reviennes vers vous.

Je m'approche moi aussi des gardes, intrigé par leur intention.

Les gardes arrivent près de vous au grand galop, et sans préavis, les trois vous entourent rapidement, et descendent des lances pointées sur vous. L'un d'eux lève son casque et vous dit :
-Déclarez votre identité et dites moi si vous avez vu un voleur nain dans les parages!

Dissimulant ma joie soudaine d'avoir trouvé mes cibles,
-Je me pésente Mordilus Shiffer ravie de vous rencontrer gardien de la loi.
-Malheureusement, je n'est appercu aucun nain dans les parrages, mais si vous voulez puis-je vous offrir mes services pour le trouver avec vous ?

Jetant un petit regard autour, le garde vous dit:
-Désolé, nous devons le rattraper au plus vite et je vois que vous n'avez pas de monture. Par contre, avertisser la garnison du village au Sud si jamais vous le voyez, ils sauront nous rejoindre. Bonne journée messire.
En un hennissement de cheval, les hommes partirent de bon vent, vers le Sud, au grand galop.

Je me rappela alors que le nain parlait d'un homme venant du nord qui voulait lui prendre ses biens, mais des gardes ne feraient pas cela.

Comprenant que je n'ai pas encore trouvé ma cible je continua mon chemin vers le nord pour la rencontrer

Les hommes sont partis. Vous avancez sur le chemin sans qu'il n'y ait de changements, d'imprévus. La plaine est calme, sans bruit, et la température est belle. Nulle signe d'un ennemi potentiel. La route continue encore relativement longtemps.

"" Je m'ennuis du sang ""

Je continue mon chemin

Alors que vous continuez la route, vous entendez des bruits familiers loin derrière vous... des bruits de sabots.

Je me retourne rapidement pour ne pas me faire piétiner par le sabots de chevaux au loin .

Les chevlaiers gardes arrivent à nouveau près de vous, mais cette fois, ils vous encerclent, et vous menacent. Le chef des trois vous dit :
-Donne-nous l'arme, et tu auras peut-être la vie sauve voleur. Nous savons ce que tu as et pourquoi, alors n'essaie pas de te défiler.

Avec un aire surpris
-Euh............. De quelle arme parlez vous ?